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Être épanoui socialement vous rend heureux

Être épanoui(e) socialement joue un rôle clé dans notre recherche du bonheur.

En plus d’avoir été programmé par des centaines de milliers (voire millions) d’années d’évolution pour interagir avec les individus de notre espèce, aujourd’hui plus que jamais nos relations sociales nous rendent heureux(ses) ou au contraire, malheureux(ses).

Aujourd’hui, je vous propose de voir ensemble ce qui fait que les relations sociales que nous avons sont déterminantes dans notre recherche du bonheur et de notre épanouissement.

Après avoir compris les principes fondamentaux qui nous poussent à « être » ainsi, je vous exposerai des techniques pour atteindre ce tant recherché « Épanouissement Social ».

Note : Cet article invité est proposé par Guillaume du blog Réussir-Socialement, dédié aux relations humaines qui aide à dépasser la timidité.

Vous êtes prêts ? Alors c’est parti 🙂

comment être épanoui socialement rend heureux

Que signifie être Épanoui(e) Socialement ?

Le terme étant un peu flou, je tiens à commencer par une rapide explication de ce que j’entends par être « Épanoui(e) Socialement ».

En fait, il n’y a pas de standard. Je sais, ça ne nous facilite pas la tâche… :p .

Être épanoui socialement, c’est selon moi, tirer le plus de bonheur possible des relations que l’on entretient ou que l’on développe. Il peut donc s’agir de :

  • Avoir une excellente vie familiale,
  • Avoir un cercle d’amis très développé ou au contraire, quelques amis seulement mais avec qui on se sent extrêmement aligné,
  • Développer et d’entretenir un réseau de connaissances professionnelles étendu,
  • Passer des journées plus excitantes les unes que les autres car vous les passez avec des collègues que vous adorez,
  • etc…

Comme vous le voyez, la liste peut être longue. On peut donc résumer ce concept en parlant de relations épanouissantes.

Soit parce qu’elles nous permettent de passer des moments de bonheur, soit parce qu’elles participent à l’atteinte d’un objectif ou encore parce qu’on aime interagir avec ces personnes ou en approcher de nouvelles.

A titre purement personnel, je considère l’épanouissement social comme l’ensemble des relations qui constituent ma vie et que je m’efforce d’entretenir à l’aide de mes compétences relationnelles.

Bien sûr, j’y intègre les relations que je crée et développe chaque jour. 🙂 Je considère vraiment que chaque personne a de merveilleuses choses à offrir.

Du savoir, des moments de rires ou d’émotion, un état d’esprit ou une vision. Il m’est donc capital de trouver ces belles choses chez chaque personne que je rencontre.

Si ces relations et notre cercle social jouent un rôle si important dans nos vies, c’est parce qu’elles répondent à des besoins fondamentaux que nous avons.

Nous pouvons même dire que nous avons été programmés pour ressentir un certain bonheur lorsque nos relations sont épanouissantes.

Quoi de mieux pour tisser de telles relations que d’apprendre à gagner la sympathie des autres ? C’est ce que je détaille dans cet article 😉 .

Maintenant que nous y voyons un peu plus clair sur la notion d’Épanouissement Social, voyons comment cela peut vous rendre plus heureux ou heureuse !

homme riant au travail être épanoui socialement

Pourquoi nos relations avec les autres sont-elles si importantes ?

Une question d’évolution

Nous vivons dans une société qui a énormément évolué ces dernières centaines voire dizaines d’années. La population mondiale n’a dépassé le milliard de personnes qu’au 19ème siècle, soit il y a à peine plus de 200 ans !

En 1910, elle n’était « que » de 1,750 milliard pour finalement quadrupler en 100 ans ! Les progrès technologiques sont également plus que récents.

La révolution industrielle n’a pas encore fêté ses 200 ans. Et, je ne parle même pas d’internet, qui a complètement révolutionné notre manière de communiquer et de voir le monde !

Mais il est une chose qui n’a pas évolué aussi vite que notre société : c’est notre cerveau ! Je sais, on croirait entendre le début d’une conférence d’Idriss Aberkane 😉 .

Il est vrai qu’il m’inspire beaucoup dans ce que j’écris. Mais, il n’est pas au centre de ce que je veux vous exposer ici. Si vous souhaitez consulter ses travaux, je vous invite à lire le résumé de son livre Libérez votre cerveau.

L’âge de l’homme remonte à plusieurs centaines de milliers d’années, 300.000 pour être exact avec le premier homo-sapiens.

Si l’on se base sur l’apparition du genre humain, alors c’est plus de 2,8 millions d’années qu’il faut compter ! Vous voyez où je veux en venir ?

Notre cerveau a eu le temps d’évoluer pendant toute cette période. Mais surtout, ce n’est pas les changements drastiques des temps modernes qui modifient (pour l’instant) la manière qu’il a de fonctionner !

Notre cerveau est ainsi fait que son but reste primaire : la survie et l’assouvissement de nos besoins.

Il était important d’introduire ces faits avant d’aller plus loin car cela va nous permettre de mieux comprendre mon propos qui va suivre 😉 .

Notre besoin d’appartenance

Pour ceux d’entre vous ayant suivi des cours dans une école de commerce, il y a fort à parier que vous ayez entendu parler de la « Pyramide des besoins » selon Maslow.

Nous y reviendrons plus tard car malgré ses détracteurs, cette pyramide est une représentation intéressante des « besoins » de l’individu.

Pour faire le lien avec ce qui a été dit plus haut sur notre cerveau, l’explication la plus terre à terre du « besoin d’appartenance » est le besoin d’appartenir à un groupe. Et c’est là tout ce dont il s’agit !

Réfléchissons un instant à ce qu’était la vie d’un homme durant la préhistoire.

En fait, de ce qu’était sa vie jusqu’à l’apparition des villes telles que nous les connaissons.

Un chasseur cueilleur n’avait pas d’autre choix pour survivre que de… je vous le donne dans le mille… Chasser et cueillir !

Tout à fait ! Mais comment chasser des animaux plus rapides ou plus féroces que soi-même ? Comment connaître les lieux de cueillette ?

Comment se défendre contre les bêtes sauvages et les tribus revendiquant aussi ces mêmes lieux de chasse ou de cueillette ? Vous l’avez deviné :

  • Il faut appartenir à un groupe.

être épanoui socialement dans un groupeEn fait, les chances de survie d’un individu seul étaient proches de zéro. Être exclu d’un groupe signifiait la mort, tout simplement.

Si durant des centaines de milliers voire des millions d’années, notre survie dépendait du fait d’être en groupe et de socialiser, notre cerveau a évolué en conséquence.

Si aujourd’hui la survie (physique du moins 😉 ) est possible lorsqu’on est seul parce qu’une certaine sécurité existe dans notre société, cela n’a pas été le cas durant la majeure partie de notre évolution. Et encore, la survie lorsqu’on est véritablement isolé(e) est plus que questionnable.

Comment trouver de quoi manger, boire, se soigner etc. sans un minimum de personnes à qui s’adresser ?

Vous voyez où je veux en venir ?

Nos relations avec les autres sont importantes parce qu’instinctivement, notre cerveau nous pousse d’une manière ou d’une autre, à nous rapprocher et à vivre avec nos semblables. Il a assimilé le fait que relation = survie.

Pyramide de Maslow

Un scientifique du nom de Abraham Maslow a développé une théorie sur les besoins qui régissent la vie et le comportement humain.

Cette théorie peut être résumée grâce à une pyramide des besoins selon Maslow. Portant ainsi le même nom.

Maslow explique que l’homme est un agrégat de besoins et que pour être épanoui, nous avons besoin d’assouvir un à un les besoins de cette pyramide.

Toujours selon Maslow, il n’est pas possible de s’occuper à assouvir un besoin faisant partie d’un étage « supérieur » à un besoin encore non assouvi.

Les lecteurs de cet article ont également lu :  L'art de ne rien faire

Ainsi, viennent au fur et à mesure les besoins moins « nécessaires ». Je vous laisse consulter la liste de ces besoin ici, l’article de Wikipédia reflétant assez fidèlement la pensée de Maslow.

Aujourd’hui, la théorie de Maslow est remise en cause voire carrément écarté par ses pairs psychologues et scientifiques.

Argumentant notamment que nombre d’individus se focalisent sur certains de leurs besoins des « étages supérieurs » sans nécessairement avoir assouvis un besoin plus « nécessaire » au préalable.

Quoi qu’on en dise, il est intéressant de retrouver au centre de la pyramide, le besoin d’appartenance à un groupe.

Maslow explique qu’après les besoins physiologiques : respirer, manger, boire, avoir des relations sexuelles, dormir… et les besoins de sécurité : avoir un toit sur sa tête, ne pas craindre pour sa vie en marchant dans la rue… arrive le besoin d’appartenance.

Finalement, selon lui, dès que la « survie est assurée » arrive le besoin de socialisation.

C’est là que la controverse fait son apparition : le besoin de sécurité, selon l’époque ou le lieu dans lequel on vit, peut être assouvi grâce au fait d’appartenir à un groupe.

Quoi qu’il en soit et où qu’on le place, le besoin de socialisation est partie intégrante de notre existence. Le fait de l’assouvir ou non va avoir un impact conséquent sur nos vies et bien sur notre bonheur.

Les relations d’aujourd’hui

Après autant de belles paroles un peu « historico-scientifiques » mais non moins importantes à savoir selon moi 😉 , intéressons-nous au présent et à notre comportement actuel.

Nous avons vu les raisons fondamentales, liées à notre histoire et à notre évolution, nous poussant à faire de nos relations avec les autres, une question existentielle. Mais en quoi les relations que nous entretenons aujourd’hui, au 21ème siècle sont importantes ?

Nos moments de bonheur

Quand on y réfléchit, quels sont les moments que l’on pourrait qualifier de « Moment de Pur Bonheur » ? Une lecture très récente recommandée par, vous vous en doutez : Olivier Roland lui-même 😉 m’a emmené à me poser cette question. Il s’agit du livre : Le principe 80/20 – Faire plus avec moins.

Pour vous éviter d’avoir à tout lire, je vous ai mis le lien vers la chronique rédigée par Olivier.

Dans ce livre, l’auteur fait l’apologie du principe 80/20 – normal, me direz-vous… C’est le titre du livre -. M’adressant à l’audience d’Olivier, je ne vais pas expliquer ce principe.

Pour ceux ayant besoin d’une piqûre de rappel, le premier paragraphe de la chronique l’explique très clairement. N’oubliez pas de revenir ici après 😉 .

épanoui socialement avec sa famille

Dans l’un des chapitres, l’auteur expose l’utilisation du principe dans notre vie personnelle et pour notre bonheur.

Il demande au lecteur de réfléchir au 20% des moments qui provoquent 80% de notre bonheur. On se rend vite compte que la plupart d’entre eux sont composés de moments passés avec nos proches et les personnes que l’on aime.

En fait, si certains moments « solitaires » vous ont procuré un bonheur immense, la plupart des moments de Pur Bonheur que vous avez eus se sont très probablement déroulés avec d’autres personnes.

Il n’y a pas de meilleure victoire que celle que l’on partage…

Nos relations sont au centre de notre bonheur, même pour les plus introvertis d’entre nous.

Bien sûr, on pense rapidement à notre environnement proche : famille, amis d’enfance, conjoint(e)… Mais s’épanouir socialement et faire la rencontre de nouvelles personnes ne peut que multiplier les moments potentiels de Pur Bonheur. Car plus vous tissez de relations fortes, plus la fréquence de ces moments augmentent… CQFD, comme dirait l’autre.

Notre image auprès des autres : l’effet pervers

Un effet un peu plus pervers prend place aujourd’hui dans nos sociétés.

Sans dire qu’il s’agit d’une vérité absolue, je pense qu’il est important de parler de la preuve sociale que l’on tire à avoir de nombreuses relations.

La preuve sociale est le fait de « gagner » ou d’avoir une « légitimité » de par le nombre de personnes (et leur « niveau » dans l’échelle sociale) que nous fréquentons.

Il peut également s’agir du nombre de personnes qui nous suivent, sur les réseaux sociaux, dans un parti politique etc.

Les réseaux sociaux en sont la preuve formelle, c’est à qui aura le plus de likes, le plus de partage ou de commentaire en dessous de sa photo ou de sa publication.

Facebook a bien compris qu’afficher le nombre d’amis qu’une personne a, peut jouer un rôle essentiel dans la flatterie de son propre égo. Et donc de son besoin de reconnaissance, nous y reviendrons plus tard 😉 .

Que celui qui n’a jamais dit la phrase « J’ai un ami qui… » me jette la première pierre.

Pourquoi tenons-nous à prendre un selfie avec une célébrité lorsqu’on en croise une ? Pourquoi la plupart des étudiants tiennent à trainer avec la bande la plus populaire de l’établissement ?

Comment se fait-il que l’on vive mal le fait de ne pas avoir été invité à une soirée ou à un événement ?

Je parle d’établissements que l’on pourrait assimiler à un milieu scolaire, mais analysez rapidement votre environnement de travail et vos collègues, est ce qu’il n’y a pas une part de vérité dans ce que je dis ? 😉

Les relations que nous entretenons jouent un rôle essentiel dans l’estime que nous avons de nous-même et dans l’estime que nous pensons avoir auprès des autres.

Sans dire qu’il s’agit d’un mécanisme sain, c’est un fait.

Être reconnu auprès des autres est une part importante de notre épanouissement et entretenir des relations avec un grand nombre de personnes voire, des personnes connues et influentes, peut augmenter la reconnaissance par nos pairs.

Je sais, j’ai ruiné l’ambiance. Après avoir parlé de Pur Bonheur, je développe sur le côté malsain des relations et des réseaux sociaux. Mais je voulais démontrer l’impact de ces forces étant à l’œuvre 😉 .

Comment s’épanouir socialement et être plus heureux(se)

Venons-en au fait. S’il est maintenant clair que s’épanouir socialement nous rend plus heureux et qu’il s’agit d’un besoin, la question qu’il nous reste à poser est : comment s’y prendre pour être socialement épanoui(e) ?

Si le bonheur est un état global de plénitude et de sérénité, ou le sentiment agréable, équilibré et durable d’être parvenu à satisfaire tous ses désirs et besoins, quelles sont les actions à entreprendre au niveau de nos relations avec les autres pour l’atteindre ?

Je dirais qu’il y a trois catégories de relations à développer pour être plus heureux chaque jour :

  • Les relations nous procurant du bonheur – nous prendrons ici le cas des relations proches voire de l’environnement intime.
  • Le développement de relations alignées avec la personne que l’on est.
  • Des relations pour grandir.

En tous les cas, il faut garder à l’esprit que les relations que nous tissons sont intimement liées à nos besoins profonds, d’où l’importance pour moi de se connaître.

Cet article étant déjà relativement long, je ne vais pas développer cet aspect.

En revanche, j’ai écrit un billet très proche de cette thématique et qui aborde le sujet de la connaissance de soi dans nos relation, cliquez juste ici pour le consulter : Comment se faire des amis ?

Les 20% de relations nous apportant 80% de notre bonheur

Oui, c’est la deuxième fois que je cite et même utilise le principe 80/20 😉 . Mais il est justement très applicable en ce qui concerne nos relations.

L’exercice qui va suivre est d’une simplicité sans nom (si si, faites le vraiment) :

  • Prenez une feuille de papier ou un document Word (/open office, bloc note etc. Après tout, cet article n’est pas sponsorisé par quelque logiciel de bureautique que ce soit :p ).
  • Dressez la liste des personnes que vous fréquentez le plus (disons, une dizaine de personnes minimum)
  • Remémorez-vous les instants de bonheur, où vous étiez juste heureux(se) d’être ici et maintenant, que vous avez vécu. Puis, déterminez avec quelles personnes ces moments ont eu lieu. Étonnement, il s’agit plus souvent des moments passés avec ses enfants que son patron 😉 Mais chaque cas est différent, évidemment.
Les lecteurs de cet article ont également lu :  Un puissant algorithme en trois étapes pour être heureux

En faisant cet exercice, il est probable qu’un petit nombre de personnes ressortent comme étant celles avec lesquelles vous passez la majorité de vos moments de bonheur, voire de Pur Bonheur.

Mon objectif n’est pas de vous dire d’arrêter de fréquenter les personnes figurant en bas du tableau. Mais mon conseil est le suivant :

Renforcez vos liens avec ces personnes !

Entretenez ces relations et prenez en soin comme la prunelle de vos yeux !

Cela peut se matérialiser par un plus grand nombre d’heures passées avec elles, par plus de petites attentions ou que sais-je encore.

Généralement, la prise de conscience de l’importance de ces relations est déjà un pas en avant, car votre comportement en sera modifié et cette posture positive affectera l’autre et votre relation en même temps 😉 .

Une dernière chose : Analysez ce qui caractérise les personnes figurant dans vos 20% de relations vous procurant 80% de bonheur.

Ainsi, vous pourrez rechercher ces caractéristiques dans les personnes que vous rencontrerez, afin de tisser de nouvelles relations toujours plus épanouissantes !

C’est d’ailleurs le sujet de mon prochain conseil.

comment être épanoui socialement avec ses amis

Développez des relations alignées avec la personne que vous êtes

L’exercice que je vous ai proposé plus haut avait une véritable importance.

En effet, si vous l’avez correctement fait, vous savez maintenant quels sont les types de relations qui vous rendent heureux ou heureuse.

Du moins, celles que vous pensez qui vous rendent heureux(se). Je ne les remets pas en question, c’est juste un point important pour mon dernier conseil sur lequel je reviendrais plus tard 😉 .

La question de ce que l’on cherche dans nos relations est difficile mais simple. Si on la ramène à ce qui compte le plus : s’épanouir et être heureux, elle devient enfantine.

Chacun étant différent, je ne peux dire pour vous les relations qui vous rendent heureux(se) et les personnes à rencontrer en conséquence. Mais je peux vous parler de l’importance de tisser ces relations avec des personnes alignées avec vous.

Pour prendre mon exemple personnel dont vous pourrez vous inspirer je l’espère, je pense avoir trouver le type de relations que je cherche à développer. Que ce soit les gens avec qui je travaille, mes amis, ma partenaire, mon réseau professionnel etc.

Avant toute chose, je cherche des personnes ne se prenant pas au sérieux. Comme dirait Jacques Brel « Vivre c’est formidable, mais ce n’est pas sérieux… Ce n’est pas grave ! ».

J’ai besoin d’un environnement où les gens sont enthousiastes, curieux et joviaux. Non pas que certains aspects de la vie ne doivent pas être pris au sérieux, mais j’aime rigoler, passer du bon temps et prendre la vie du bon côté.

Je cherche aussi à ne fréquenter que des gens qui apprennent de leurs erreurs et cherchent à avancer, à évoluer.

Peu importe le domaine. Il est primordial selon moi de toujours chercher à s’améliorer, à réfléchir et à aller de l’avant.

Enfin, j’aime me rapprocher de personnes passionnées. Parce que sans passion, la vie devient vite moins belle.

C’est la passion qui pousse Elon Musk à inventer la voiture de demain ou Queen à écrire Bohemian Rhapsody. Serait-on à l’air du smartphone si Steve Jobs n’avait pas révolutionné l’industrie de par son amour du design et de la simplicité ?

Steve Jobs a d’ailleurs expliqué lors de son discours à Stanford que s’il n’avait pas fait ce qu’il aimait : Quitter une université prestigieuse pour étudier la calligraphie, le Mac et la « beauté » des ordinateurs personnels ne serait pas ce qu’ils sont aujourd’hui.

« Vous devez trouver ce que vous aimer, et le faire. »

Steve Jobs durant son discours à Stanford le 12 juin 2005

Et vous, si vous deviez dessiner le portrait des personnes que vous aimeriez voir composer votre vie, à quoi ressemblerait-il ? 🙂

Le dernier conseil que j’ai à vous donner en terme de relation et en lien avec cette citation de Steve Jobs est le titre de la prochaine sous partie :

Nouer des relations qui vous font grandir

Si nos relations sont notre principale source de bonheur, elles sont également notre principale source d’enrichissement tant personnel, qu’intellectuel, que culturel et j’en passe.

Aussi, je parlais du fait que l’on a une croyance vis à vis des relations qui nous rendent heureuses et celles qui nous rendent malheureuses.

Mais il existe peut-être des relations, des types de personnes ou des activités qui pourraient vous rendre extrêmement heureux(se), que vous ne connaissez simplement pas à l’heure actuelle !

Donc parmi les relations que vous développerez, assurez-vous de vous entourer de personnes qui vont vous faire grandir.

Soit en vous faisant découvrir une nouvelle activité, soit parce qu’il s’agit d’une personne dont vous n’auriez même pas noter l’existence mais qui s’avère être très riche culturellement, soit parce qu’elles peuvent vous aider à avancer dans un problématique que vous rencontrez etc.

Chercher à vous améliorer, grâce à vos relations !

Un excellent moyen de tisser ce type de relation tout en appliquant le principe 20/80, c’est de vous trouver un mentor ! Olivier a publié beaucoup de contenu sur les mentors et comment les rencontrer, je vous laisse donc vous y référer.

Bon allez, comme je suis sympa, je vous partagerai avec vous l’une de ses vidéos après la conclusion  😉

Conclusion

Bon, je me suis un peu laissé emporter et vous avez eu pas mal de lecture. Par conséquent, voici un petit récapitulatif en « bullet-points » :

  • Être épanoui socialement signifie atteindre un état global de satisfaction et de sérénité quant aux relations que vous avez et que vous développez. Tant d’un point de vue familial, amical que professionnel. Arriver à tirer le plus de bonheur possible de nos relations est aussi une définition acceptable 😉
  • Le fait de tisser des relations et de créer des liens sociaux sont des besoins fondamentaux présents chez l’écrasante majorité des individus. Ces besoins sont dus à notre évolution (et notre nécessité de survivre grâce à un groupe), notre besoin d’appartenance et de reconnaissance.
  • Aujourd’hui, moins que la survie, c’est notre bonheur qui est principalement lié à nos relations. D’où l’importance de les entretenir et d’en développer de nouvelles ! Tout en gardant en tête que le bonheur est l’enjeu principal, bien sûr. L’application du principe 80/20 est fortement recommandée !
  • Pour ce faire, il est nécessaire d’apprendre à se connaître, d’identifier les relations qui nous procurent le plus de bonheur. Et, de développer notre curiosité au travers de nos rencontres.

Guillaume du blog Réussir-Socialement

Crédits Photos : Matthew Henry, Nicole De Khors, Nicole De Khors, Nicole De Khors

Source :

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