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Lorsque vous faites une erreur grosse ou petite, chérissez-la comme si c’était la chose la plus précieuse au monde. Parce que d’une certaine façon, ça l’est.
Pour la plupart, nous nous sentons mal lorsque nous faisons des erreurs ; nous nous flagellons en y pensant, nous les prenons comme des échecs, nous nous en voulons terriblement.
Et c’est tout naturel : la majorité d’entre nous s’est vu seriné depuis son plus jeune âge que les erreurs ; c’est mal, que nous devons essayer d’éviter les erreurs. Nous nous sommes faits sermonner quand nous faisions des bêtises ─ à la maison, à l’école et au travail. Peut-être pas à chaque fois, mais probablement assez de fois pour faire de ce sentiment de culpabilité une réaction inconsciente.
Pourtant, sans erreurs, nous ne pourrions pas apprendre ou grandir.
Si vous y pensez de cette façon, les bêtises devraient être chéries et célébrées comme une des plus fantastiques choses au monde ; elles rendent l’apprentissage possible, elles permettent d’évoluer et de s’améliorer.
Par les tentatives et les erreurs ─ essayer des choses, se tromper, et apprendre de ces erreurs ; nous avons pu découvrir la lumière électrique, nous avons pu peindre la Chapelle Sixtine, nous avons pu voler.
Les erreurs permettent au bambin d’apprendre à marcher, permettent de parler, permettent les actes de génie.
Pensez à la façon dont nous apprenons : nous ne consommons pas simplement des informations sur une chose et les retenons immédiatement ou retenons comment le faire. Vous ne lisez pas simplement des textes sur la peinture, l’écriture, la programmation informatique, la cuisine, ou le piano, et savez immédiatement comment faire.
Au lieu de cela, vous obtenez une information sur quelque chose en lisant, par une autre personne, ou plus généralement en observant… et vous construisez un modèle dans votre tête… ; vous le testez en l’essayant dans le monde réel… et vous faites des erreurs… ou vous corrigez votre modèle à partir des résultats de votre expérimentation réelle… et vous répétez, faites des bêtises, apprenez de ces erreurs, jusqu’à ce que vous sachiez relativement comment faire.
C’est comme ça qu’on apprend quand on est bébé ou bambin ; et c’est comme ça qu’on apprend quand on est adulte. Essayer, se tromper, et apprendre quelque chose de nouveau à chaque erreur.
Les erreurs sont la base de tout nouvel apprentissage ─ parce que si vous arrivez à faire quelque chose, c’est probablement parce que vous saviez déjà comment faire. Vous n’avez pas beaucoup évolué grâce à ce succès ─ au mieux c’est la dernière étape de votre voyage, pas le voyage entier. La majeure partie du voyage était composée d’erreurs, si c’est un bon voyage.
Donc si vous attachez de la valeur à l’apprentissage, si vous attachez de la valeur à l’évolution et à l’amélioration, alors vous devriez attacher de la valeur aux erreurs. Ce sont des choses incroyables qui permettent de créer un monde rayonnant.
Célébrez vos erreurs. Chérissez-les. Souriez.
Pour avancer dans la vie.
Chaque erreur sont des challenges à surmonter, pour mieux se connaitre.
Bonjour Olivier
Quelle bonne initiative d’avoir traduit cet article de Leo. Effectivement depuis notre plus tendre enfance, nous sommes continuellement sermonné pour nos erreurs. De l’école primaire au monde du travail, l’erreur est traquée comme un « brigand de grand
chemin »!
Pourtant, sans erreur, nous ne pouvons avancer. D’ailleurs, l’erreur n’est qu’un résultat que nous ne souhaitions pas, non ?
Amicalement
Christian
J(adore cet article et j'en vois le bon côté évidemment… je dois avouer qu'aujourd'hui je suis hyperpositive… J'ai presque envie maintenant de faire une erreur pour avancer encore et encore!
Je partage ce point de vue mais qu'est-ce que c'est ancré dans les moeurs, dans les entreprises notamment où les erreurs sont cachées, niées,…
Pour positiver on peut employer le terme "expérience" à la place d'"erreur".
Yoh !
Très enrichissant comme article, j’approuve ce que dit Léo Babauta. Je pense que les erreurs c’est fait pour prendre du recul pour aller plus loin afin de dépasser nos limites et d’en prendre conscience de celles-ci !
En effet nos erreurs nous permettent de grandir, de nous construire et nous devrions les célébrer encore et encore… Merci Roland
Cet article était fait pour moi… j'adhère à 200%. Je me plais à positiver de cette manière. Une manière d'apaiser le sentiment d'echec. Merci Olivier
zen attitude…, j’adhère!
La vie est un risque…
Quand nous ne voulons pas faire d’erreur, quand nous ne l’acceptons pas,c’est que nous ne sommes peut-être pas près à considérer le résultat de notre action comme « imparfait ».
Le sentiment de notre Soi aujourd’hui, se bâtit sur l’image que nous offrons au monde… et cela notamment à travers nos actions… il nous faut être le plus parfait possible pour pouvoir être digne d’être considéré ou aimé…
Un peu comme si l’homme (parfait dans son essence) ne pouvait se satisfaire à lui-même! Que nous faut-il de plus que ce que nous sommes déjà pour bien vivre l’instant?
RIEN car l’idée de demander quoique ce soit de plus porte en elle l’insatisfaction de l’imperfection…
Alors, l’action devient parfaite et ne demande plus de résultat pour y trouver son sens. L’action se suffit à elle-même et devient le résultat.
Car finalement l’intérêt de nos choix est de permettre notre évolution à travers des expériences de vie, et les « erreurs » de ce point de vue n’en sont plus, elles ne sont qu’expériences…
Vivons l’instant car ni hier ni demain ne peuvent devenir aujourd’hui.
Merci,
pibi