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J’ai remarqué que nous passons une grande partie de notre véhicule de vie a constamment relié notre identité à notre corps.
Lorsque nous sommes fiers de notre physique, nous nous sentons vraiment bien dans notre peau.
Par contre, nous avons souvent le sentiment que quelque chose cloche chez nous lorsque nous n’avons pas le corps de nos rêves.
J’ai déjà abordé ce sujet à plusieurs reprises sur ce blog. Il est donc inutile de tergiverser ici.
Je vous promets qu’il m’arrive encore d’avoir les pensées susmentionnées ; n’allez donc pas penser que je suis immunisé contre cela.
Quand une partie de mon corps correspond à un véhicule de vie ou à l’idéal que je me fais, je me sens bien dans ma peau, mais le plus souvent, je vois mes « défauts » et je me sens mal dans ma peau.
Agir ainsi revient un peu à relier notre identité à la tasse de café dans laquelle nous buvons.
Cela revient à relier notre valeur personnelle au véhicule de vie.
Notre corps est un véhicule de vie pour l’expérience de la vie. Il n’a rien à voir avec notre valeur ou notre bonté en tant que personne.
Nous pouvons illustrer la chose en prenant l’exemple d’une voiture.
En effet, nous pouvons passer beaucoup de temps à nettoyer notre voiture, à placer des autocollants dessus, à la peindre, à la personnaliser, à essayer de la rendre parfaite, etc.
C’est même très amusant comme expérience.
Malgré tout cependant, la première utilité d’un véhicule, c’est de nous emmener d’un point A à un point B ; c’est de nous servir d’outil pour effectuer un voyage.
La voiture elle-même n’est pas le voyage.
Nos corps ne nous remplacent pas nous-mêmes. Ils ne remplacent pas non plus nos expériences.
Au contraire, ce véhicule de vie fait partie de l’expérience. Le problème, c’est que nous nous concentrons généralement sur la voiture plutôt que sur le paysage que nous traversons, sur la chanson qui passe ou sur la lumière et les éclats du soleil dont nous profitons.
Que se passerait-il si nous considérions le corps non pas comme le représentant de la personne que nous sommes, ni comme un indicateur de notre valeur ou de notre identité, mais simplement comme un véhicule de vie pour l’expérience de la vie, un vaisseau pour l’expérience ?
Cela pourrait nous aider à ne plus nous préoccuper de notre apparence, mais aussi nous inciter à prendre soin de ce véhicule de vie, à le rendre plus fort et plus sain, juste assez pour que nous puissions profiter pleinement du voyage de la vie.
Article original écrit par Léo Babauta.
Le fait d’avoir un idéal auquel on rattache son bonheur et ses humeurs est un énorme piège anti-bonheur. En effet, toute chose en dessous de cet idéal sera jugée insatisfaisante. Je vous invite à découvrir d’autres pièges anti-bonheur à travers la vidéo ci-dessous.
Vous avez raison merci pour vos conseils agréable journee