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Lettre à un jeune de 18 ans sur la voie professionnelle la moins pratiquée

Note : cet article sur La voie professionnelle est une traduction de l’article Letter to an 18-year-old on the Career Path Less Traveled de Léo Babauta. C’est donc lui qui s’exprime dans le “je” de cet article !

Carrière - La voie professionnelleRécemment, un jeune de 18 ans qui va, en effet, sortir de l’école m’a écrit, en me demandant conseil sur la façon de choisir une carrière sans avoir suffisamment de vécu ou d’expérience professionnelle pour prendre une décision intelligente.

Il a dit « Est-ce que je devrais suivre la voie moins pratiquée, qui pourrait être risquée et effrayante, ou choisir un cours à l’université qui m’intéresse dans une certaine mesure et voir à quoi cela mène ? Je suppose que je ne veux pas finir comme Monsieur Tout-le-monde qui travaille au bureau de 9h à 16h. Je veux être différent de la masse, avoir un impact sur le monde, me réaliser. Comment est-ce que je prends le meilleur départ dans l’âge adulte ? »

C’est en réalité, une question vraiment excellente. Cependant, ce que j’aime est qu’il se pose la question d’entrée – la plupart des jeunes de 18 ans prennent simplement le chemin sûr.

Néanmoins, voilà ce que je dirais : prends la voie professionnelle la moins pratiquée.

Alors, si vous ne voulez pas être ce bon vieux Mr Tout-le-monde, avec un travail de bureau aux horaires de bureau, ne suivez pas la même route que tout le monde.

De plus, si vous voulez être différent de la masse, vous devez prendre un chemin différent.

En réalité, j’ai pris le chemin sûr quand j’avais 18 ans. J’ai, de ce fait, pris un travail et je suis allé à l’université, cela ne m’a pas perturbé… Mais cela m’a également pris près de 20 ans avant de trouver finalement ce que j’aimais faire. C’était, en effet, une lutte, sur une route très fréquentée, parce que j’étais relégué dans une carrière que je n’aimais pas vraiment.

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Oui, la voie professionnelle moins fréquentée est plus effrayante. Il n’y a donc aucune garantie. Vous prenez des risques, vous mettez votre tête sur le billot, vous êtes différent, vous faites probablement face au mépris des autres. C’est, en effet, un chemin qu’on emprunte seul.

Mais la solitude est temporaire. Bientôt, vous trouverez d’autres personnes qui font les choses différemment, et vous aurez un lien avec eux bien différent de celui que vous pouvez avoir avec ceux qui ont pris le chemin sûr. Hormis cela, vous serez inspiré par ces nouvelles connaissances, et vous les inspirerez en retour.

Par ailleurs, la peur est une leçon qui vaut la peine qu’on l’apprenne. Alors si vous pouvez surmonter un peu de peur, vous pouvez tout faire. Vous n’êtes donc pas limité au monde du confort et de la sécurité.

Alors que faites-vous sur ce chemin effrayant, seul, et excitant ?

Cela dépend entièrement de vous – vous avez le pouvoir de découvrir les choses par vous-même.

Mais voici quelques idées :

  • Apprenez sur la personne que vous êtes. Méditez et bloguez. Ce sont les deux meilleurs outils pour apprendre sur vous-même.
  • Devenez autodidacte. Internet possède tout ce que vous voulez apprendre, de l’écriture à l’animation 3D, la programmation, la charpente ou la guitare. N’arrêtez jamais d’apprendre.
  • Découvrez comment vous motiver. Il y aura des fois où vous n’aurez pas envie de faire quoique ce soit. C’est un bon problème auquel faire face, parce que vous devrez trouver comment le résoudre ou alors aller trouver un travail ennuyeux dans lequel quelqu’un vous motive. Résolvez-le. Vous serez bien mieux préparé pour le chemin qui vous attend.
  • Découvrez ce qui vous passionne. Ce n’est pas facile, parce que cela demande beaucoup d’essais et d’erreurs. Testez beaucoup de choses. Quand vous êtes bon dans quelque chose, soit dit en passant, vous l’apprécierez d’autant plus. Mais vous serez mauvais dans tout au début.
  • Aidez les autres. Quand quelqu’un ne sait pas comment faire quelque chose, apprenez-lui. Quand cette personne a besoin d’un coup de main, tendez-lui la vôtre. Enfin, quand elle est coincée, soyez là. Cherchez des moyens d’aider. Cela vous apprendra beaucoup y compris sur qui vous êtes et sur ce qui vous passionne. C’est aussi une bonne motivation.
  • Connectez-vous avec les autres. Trouvez des gens qui aiment ce que vous aimez, qui font des choses étranges, qui voyagent, qui créent leur propre chemin. Ce sont des gens incroyables et amusants avec qui passer du temps.
  • Apprenez à avoir besoin de peu. Si vous avez besoin de très peu, vous n’avez pas besoin d’en faire beaucoup. Cela vous libère pour que vous puissiez apprendre et explorer davantage.
  • Explorez le monde. Vous pouvez voyager pour très peu cher si vous avez besoin de peu. Rencontrez de nouvelles personnes. Apprenez de nouvelles langues. Trouvez des emplois bizarres.
  • Devenez vraiment bon dans quelque chose. Pratiquez, lisez plus, regardez les autres qui sont déjà bons, volez des idées et faites-les vôtres, travaillez sur des projets qui vous passionnent et apprenez au fur et à mesure que vous travaillez dessus, et pratiquez plus encore.
  • Enseignez quelque chose qui a de la valeur. Si vous apprenez la programmation, enseignez à un débutant. Si vous apprenez le poker ou la guitare ou les arts martiaux, enseignez cela. Les gens vous remercieront.
  • Faites-vous payer pour du travail en freelance. Quand vous avez appris une compétence, louez vos services en ligne. Il n’est pas nécessaire que vous soyez fantastique, ne vous chargez simplement pas trop. Essayez de vraiment faire le travail. En temps et en heure. Soyez digne de confiance et votre réputation grandira.
  • Vendez quelque chose. Faites un petit produit, que ce soit dans le monde digital ou réel, et vendez-le. Vous apprenez beaucoup de choses en vendant.
  • Apprenez à être une bonne personne. Arrivez à l’heure. Faites de votre mieux pour respecter les délais. Soyez honnête. Apprenez la compassion. Tenez votre parole. Particulièrement envers vous-même.
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Si vous faites la moitié de ces choses, vous adorerez cette voie. Si vous les faites quasiment toutes, votre impact sur le monde sera perceptible.

Et quand vous aurez arpenté cette voie pendant 6 mois ou plus, réécrivez-moi et dites-moi comment ça se passe.

Tendrement,

Leo

Crédits photo : © kantver – Fotolia.com

8 commentaires
  1. Qu’est-ce que j’aurais aimé qu’on me dise cela à 18 ans ! Cela m’aurait évité bien des erreurs et déceptions sur le chemin de Mr Toutlemonde…
    Merci beaucoup pour cet article !

  2. Bonjour,
    J’ai eu besoin de répondre.Je n’ai plus 18 ans mais suis une « dame » de 57 ans !
    Oui, 2 X oui…et + encore si vous vous sentez assez fort car il faut l’être.
    Faut pas se raconter « d’histoires », Surtout à soi-même !!
    Prenez le temps d’y réfléchir mais pas trop, quand même.
    Prenez « appui » sur des gens dont vous admirez la trajectoire et lisez ce qu’ils on fait..
    Perso, rien ne vaut l’action et savoir garder sa propre intégrité.
    C’est vraiment dans l’action que j’ai le plus appris et encore maintenant… sur moi, ce que je voulais, ne voulais pas, les autres…ect, la vie, quoi !
    Croyez toujours en vous et en ce que vous faites (pas les « bêtises » et âneries, évidemment).
    Avancer et ne regarder pas en arrière.
    Prenez la « voie » qui vous plait le plus, choisissez ce que vous ressentez le plus au fond de vous et peu importe qu’elle ne soit pas celle de Mr. tout le monde…D’ailleurs, qui sait : Mr. Tout le monde !?
    Je n’ai jamais eu de parents qui m’ont élevée et j’ai vécu des moments très difficiles.
    Jusqu’au jour de mes de 18 ans où j’ai tout quitté…je passe les « détails ».
    Pour résumer ++, quand j’ai eu 19 ans, j’ai fait un A/R en stop de Paris à Athènes, voyager dans toute la France et les pays limitrophes avec pas grand chose, rencontrer plein de gens différents…On me disait être un « oiseau sur la branche » avec un « certain » ton mais je m’en fichais pas mal.
    Et, puis, ne connaissant pas beaucoup ma famille because…! (mère, tante, 2 demi-frères, oncle…)depuis mon plus jeune âge, j’ai choisi de « monter » sur Paris et de la rencontrer.
    Mais, pour çà, j’ai décidé aussi de ne pas suivre une « branche » que j’aurais pu prendre (Entrée au conservatoire de musique de Bordeaux)/
    Et là, Mal m’en a pris car il se fichait pas mal de mon retour. Personne ne m’a d’ailleurs hébergée et j’ai dû me débrouiller seule, comme d’hab.
    Mais, j’ai, tout de même, était présente pour pouvoir aider ma mère qui était très souvent »en dépression », l’accompagner chez le médecin, lui rendre visite à l’hôpital…etc. Même vivre un petit moment avec elle…Mais, cela n’a pas duré. Passons…, c’est sa vie.
    Enfin, ce n’est pas « tout à fait » comme cela que j’avais envisagé les choses…et encore maintenant à l’âge de 57 ans…, n’ayant pas eu le même environnement qu’eux et bien des choses, moments que nous n’avons pu partager ensemble, je suis en quelque sorte : en « dehors ».
    Alors, maintenant,à mon grand regret, Basta…> j’ai laissé tomber. Il est impossible de se comprendre, de communiquer tranquillement avec bienveillance…. leur tolérance est au degré zéro.
    Je regrette parfois d’avoir fait ce choix mais çà passe très vite car là, pour le coup, le choix était, quelque part, pris d’avance. Le besoin d’une cellule familiale était très important et l’ai toujours.
    Je pense que c’était ma priorité…Et,j’ai la mienne, à présent !
    Et, ce « couac » si je peux l’écrire ainsi ne m’a pas empêché de toujours apprendre et d’essayer d’être le + libre possible.
    Je n’ai pas suivi métro, boulot, dodo…disons que j’étais, assez souvent, sur une route « parallèle » mais, c’est certain que je n’ai jamais retrouvé les sensations d’avant mon départ pour retrouver ma famille. C’est ainsi.
    De toute façon, peu importe l’âge auquel on fait des choix que l’on peut qualifier un peu facilement « hors normes »…
    A un moment, on retombe sur nos « pattes ».
    Par exemple, en ce moment, à l’âge de 57 ans, je prépare une formation d’écrivain public …et ce n’est pas du tout un hasard mais un véritable choix.
    Quand on a un tempérament curieux, bienveillant, critique aussi sur ce que l’on voie, du caractère (il en faut) pour ne pas se laisser embarquer…on peut trouver sa place…il faut quelquefois un peu de temps, tout simplement.
    Une chose importante pour moi est aussi de bien faire attention aux personnes que l’on rencontre car le hasard, s’il existe, peut « placer » sur notre chemin des personnes formidables qu’il ne faut pas rater. Cà peut changer notre vie.
    Je pense que j’ai assez bavardé et vais m’arrêter là.
    Je remercie celles et ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’au bout !
    Bonne et longue route à toi sur la/les voies que tu choisiras.
    Bien à vous tous, Bonne journée. Brigitte

    1. Bon matin Brigitte
      Je lis ton commentaire et le soleil fait briller les premiers flocons de neige. J’ai 58 ans et j’ai toujours eu l’impression de vivre en parallèle des autres, de ne pas être confortable avec les choix que me propose ‘Mr toutlemonde’. Il n’y a aucun mépris ou jugement pour personne, mais aujourd’hui et souvent dans ma vie, j’ai écouté ma petite voix intérieure ou mon intuition pour faire des choix au plus proche de ce que je suis vraiment.Je t’écris car je suis en train de monter plusieurs blogs dont l’un d’eux sera sur ma passion pour l’écriture, l’écoute de l’autre et la liberté que m’offre le voyage. Alors ton apprentissage en tant qu’écrivain public me parle beaucoup. Il y a peut être des chose que nous pourrions partager. Je crois que c’est de la rencontre que né la vie. Mon blog est livre-et-liberte.com et je ne sais pas si je peux laisser mon courriel sur ce commentaire, je suis encore un débutant dans le monde des blogs et de l’informatique. Belle et lumineuse journée. Patrick LP PS je suis un fan de tout ce que fait Olivier Roland. Il m’inspire beaucoup, Merci à lui

  3. Merci pour la publication de ce nouvel article ! Il est vraiment très inspirant 🙂

    A 21 ans j’ai les pieds en plein dedans, alors en attendant de trouver vraiment ma voie, j’étudie, j’apprends, je partage…
    Deux années sabbatiques (voyages, woofing, petits boulots, retour aux sources, etc…) post-lycée ont réussi à me m’envoyer en études de langues et à cerner déjà un peu plus mes envies, mes points et faibles, mais ce n’est pas encore ça !
    Je pense qu’il faudra encore un bon moment avant de trouver ma voie et les conseils proposés ici sont tout à fait ceux que j’appliquerai jour après jour dans mon quotidien.

    Bref merci pour cet article et pour ce blog au fait, c’est tellement encourageant de voir de telles pensées positives !

  4. Merci pour la traduction de cet article qui tombe à pic! J’ai 18 ans, mon bac en poche et en première année de Lettres Modernes… Ce n’est pas un choix par défaut, mais ce n’est pas ce qui me passionne non plus. On verra ce que la vie nous réservera. Je profite de ma jeunesse pour apprendre et me connaitre un peu plus. On a pas mal de pression avec la crise et le chomage… Ce qui nous pousse à rester conventionnels… J’ai très peur de faire des choix imprudents, d’être dans la difficulté et surtout dans le regret. Choisir est si dur…Je ne pense pas être malheureuse mais ce n’est pas toujours le bonheur! Bon courage à tous les jeunes, à la recherche de leur Voie! D’ailleurs à tout le monde, le chemin n’est jamais vraiment fini non?

  5. Je réagis, car je trouve cette phrase excellente: « trouver un travail ennuyeux dans lequel quelqu’un vous motive ».
    C’est exactement ça quand on exerce un travail « alimentaire » : la motivation propre est en dessous de zero…et c’est ton boss qui doit te motiver. Mais ça ne marche pas. La motivation doit venir de l’intérieur…
    Alors, même dans un travail alimentaire, tu peux essayer de t’auto-motiver : mettre ta touche perso, apporter de la joie et du changement dans l’environnement de travail, les relations, veiller à créer une bonne ambiance, des activités fun.
    Un job inintéressant où tout le monde tire la tête ou ce même job où on fait les clowns reste un travail ennuyeux mais au moins…il sera moins …ennuyant! C’est ce que j’ai fait dans plusieurs expériences et finalement, en changeant soi même de comportement, les autres changent !

    Quoi qu’il en soit, pouvoir faire ce que l’on aime et aimer ce que l’on fait, reste la seule voie de l’épanouissement professionnel et ce que je souhaite pour tous !
    Et, oui, la bonne nouvelle c’est que chercher sa voie ou changer de voie peut se faire à tout âge !
    Ecoutez vos talents (vous les connaissez, et vos amis vous le disent), exploitez les, faites de vos passions votre travail, réalisez vos rêves..
    .Tout est possible en ce siècle et avec l’Internet car les frontières n’existent plus ! Allez-y !
    Christine (45 ans)

  6. Bonjour Olivier Roland et les amis de habitudes Zen!

    Avoir le bonheur dans la vie, c’est faire, avoir et devenir ce que vous voulez faire, avoir et devenir naturellement le moment opportun sans vous sentir coupable ni envers vous-même, ni envers les autres.
    Vous apprendrez dans mon commentaire deux façons de résoudre vos problèmes de bonheur. Lisez!

    Supprimez les superficialités qui vous trompent !
    Le monde classifie les êtres humains en fonction de leur superficialité. Le monde peut se tromper de la vraie nature d’une personne qui passe toute la journée si elle est suffisamment camouflée de diamants, de boucles en or, de talons français et des sourcils épilés.

    Chaque personne qui a appris très tôt dans la vie de quel type il est, capitalisera ses penchants naturels pour réussir.

    « trouver un travail ennuyeux dans lequel quelqu’un vous motive ».

    Je crie non ! Cela peut marcher pour un temps. Mais si ce qui vous motive vient de l’extérieur de vous, vous n’irez pas bien loin. Par contre, si ce qui vous motive est à l’intérieur de vous, vous irez très loin.

    Ne forcez personne à faire quoi que ce soit
    Rien n’est plus dangereux que de tenter de motiver une personne à faire ce qui ne relève pas de son type. Ce sont des vernis posés par l’éducation, les enseignants, les prédicateurs, les traditions et d’autres forces de la suggestion, et c’est un placage si mince que les bagatelles grattent.

    Le Type Réel est toujours là !
    Mais l’individu réel est toujours là, rempli des tendances de son type, de flexions toujours vers elles, en cherchant constamment des opportunités de s’exécuter comme il a été construit pour courir, cherchant toujours son auto-expression.
    C’est cette envie toujours active qui l’amène à revenir, dans le collecteur des activités de la vie quotidienne, les méthodes, les mœurs et les particularités communes de son genre.
    Cela signifie que si le type réel d’un homme ou d’une femme entre dans un environnement, une vocation ou un mariage qui ne lui permet pas de faire ce qu’il veut vraiment faire, l’homme ou la femme sera misérable, inefficace, sans succès et parfois criminel.

    Les causes de la criminalité
    Que ce soit la véritable explication de la cause de la criminalité ou pas, cette explication a été reconnue pendant de nombreuses années par les grands penseurs.
    Deux gardiens de prison; Thomas Tynan de Colorado et Thomas Mott Osborne de Sing Sing tous effectivement initiés aux réformes pénales fondées sur la criminalité.
    Chaque crime, comme tout problème personnel, pose une sorte de situation où l’instinct primitif de la personne est contrecarré par une influence extérieure majeure.

    Partenaire et Vocation Sûrs vous apprendra à reconnaître, sur la vue, le prédominant instinct de tout individu. En bref, ce que cette personne est inclinée à faire dans toutes les situations générales de sa vie. Vous savez ce que le monde essaie de le contraindre à faire. Si l’écart entre les deux est au-delà de la portée de son genre, il refuse de faire ce que la société exige. Ceci et cela reviennent de chaque digression humaine, des indiscrétions à assassiner.
    Il est aussi vain de prétendre éradiquer ces tendances innées pour les remplacer par d’autres. C’est comme si vous essayez de remplacer une machine à coudre par un moulin ou un chêne par un pin. 

    Ce que l’homme peut faire le plus pour son prochain est de le comprendre et l’inspirer. Le meilleur qu’il peut faire pour lui-même est de comprendre et d’organiser ses propres capacités innées.

    J’insiste « Le meilleur que l’homme peut faire pour lui-même est de connaître, comprendre et d’organiser ses capacités innées.»

    Malheureusement, c’est là que la majorité des êtres humains échouent. Vous cherchez le bonheur en dehors de vous avec toutes les considérations extérieures possibles face à la contrainte matérielle et vous passez à côté de vous même sans vous en rendre compte.

    Voici 02 Façons de Résoudre Vos Problèmes de Bonheur.
    « Le plus grand secret du bonheur, c’est d’être bien avec soi. »[Fontenelle]

    1. Trouvez votre propre type
    La solution du premier problème de votre bonheur est de savoir le type d’homme que vous êtes. Puis vous construirez votre merveilleux futur en conséquence de cette connaissance primordiale.

    2. Apprenez à connaître et à aider les autres
    La solution du second problème de votre bonheur est d’apprendre à connaître les autres afin que vos relations avec eux soient harmonieuses et mutuellement avantageuses.

    Prenez chaque individu en fonction de la façon dont il est né, acceptez-le comme ce genre de mécanisme et traitez avec lui d’une manière convenable à ce mécanisme. C’est de cette façon, et seulement de cette façon que vous serez en mesure d’impressionner ou d’aider les autres.

    c’est seulement de cette façon que vous serez en mesure d’atteindre un réel succès. C’est seulement de cette façon que vous serez en mesure d’aider vos semblables à trouver le travail, l’environnement et le mariage où ils peuvent être heureux et réussir dans la Vie.

    Êtes-vous du même avis que moi? Connaissez-vous d’autre manière de réussir, d’avoir de bonnes relations avec les autres sans prendre la peine de mieux se connaître et connaître aussi les autres ? Partagez aussi commentaires! MERCI!

    Magloire de SUCRE

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