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Comment résister à la pression sociale avec cette technique simple

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Transcription texte de la vidéo sur comment résister à la pression sociale :

Bonjour, ici Olivier Roland et bienvenue dans cette nouvelle vidéo qui fait partie de mon défi d’une vidéo par jour pendant que je suis aux Philippines.

Alors ce que j’aimerais partager avec vous aujourd’hui, c’est tout simplement une technique pour résister à la pression sociale quand vous vous retrouvez dans un environnement où il y a des gens qui vont essayer de vous influencer pour faire des choix qui vont à l’encontre de vos objectifs. Je vous donne un exemple concret.

Donc là, je me trouve actuellement aux Philippines. Et hier, il y avait des amis, des gens avec qui on a sympathisé pendant notre séjour ici aux Philippines, qui partaient après être restés deux semaines et qui donc organisaient une soirée dans l’hôtel, dans l’auberge de jeunesse où je suis. Et clairement, c’étaient des Britanniques et leurs objectifs, c’étaient de se mettre une mine, de boire le plus d’alcool fort possible et de finir complètement bourré.

Alors, moi je leur ai dit : j’étais tout à fait OK pour participer à la fête. Mais pas pour boire, en fait, de l’alcool fort. Au début, ils ne voulaient pas que j’emmène de bière. J’en ai quand même ramené. Et ensuite pendant cette soirée, et bien, il y a différentes personnes qui, je pense que vous avez tous vécu ça à un moment ou à un autre, m’ont poussé en disant « Allez Olivier ! Vas-y, si t’es un homme, tu peux boire plus. Vas-y. Nous, on est tous là à boire des shots là de rhum et tout ça. Vas-y ! »

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En fait, je m’étais déjà amusé cette semaine-là. Le lendemain, j’avais un truc à faire le matin et je n’avais pas envie, en fait, de me bourrer la gueule; je n’avais pas envie d’avoir mal à la tête le lendemain. Donc, je voulais rester seul. Je buvais ma petite bière tranquille et je participais à la fête, mais sans boire. Et ce que je leur ai dit à ce moment-là, c’est la technique que j’aimerais partager avec vous aujourd’hui, c’est une technique qui vous permet finalement de faciliter les choses quand il y a cette pression sociale qui s’abat sur vous et qui n’est pas forcément facile à supporter. Je leur ai dit : mon jeu aujourd’hui, c’est de résister à la pression sociale. Donc, allez-y.

Et à partir du moment où j’ai dit ça, ça a changé vraiment la dynamique. Il y a certaines personnes qui, du coup, se sont arrêtées parce qu’elles se sont dit « Ce n’est même pas marrant. » Et d’autres qui ont essayé encore plus, mais moi, j’avais l’approche qui faisait qu’en fait, plus on essayait de me convaincre de participer à ça, plus je me disais : c’est trop drôle, je n’ai pas du tout envie de le faire parce que mon jeu aujourd’hui, c’est de résister à la pression sociale.

Donc je disais : ben ouais, non, c’est un bon argument, mais je ne suis pas convaincu. Vas-y, balance encore, balance encore.

Voilà, une technique toute simple que vous pouvez utiliser si jamais vous sentez qu’il y a des gens qui essaient de vous mettre la pression pour faire des choses que vous n’avez pas envie de faire juste pour vous conformer au groupe. Alors, je ne dis pas qu’il faut tout le temps être un rebelle et ne jamais s’intégrer au groupe. Je veux dire avoir un comportement qui… Il y a des comportements qui font qu’on s’intègre plus rapidement à un groupe ou non. Ça ne veut pas dire pour autant qu’on doit perdre toute individualité et qu’on doit perdre aussi de vue nos objectifs.

Il y a beaucoup trop de personnes malheureusement qui se font influencer négativement par leur entourage; par les gens qui sont autour d’elles, et qui aimeraient, qui aspirent dans leur cœur à quelque chose d’autre; mais qui n’arrivent pas à résister à cette pression-là. Si vous utilisez cette technique, déjà un, ça vous distingue de la masse immédiatement. Deux, c’est marrant. Et trois, ça vous aide vraiment à résister à cette pression sociale.

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On pourrait, je pense, l’utiliser dans des tas de circonstances. Si, par exemple, vous voulez faire un régime, vous voulez manger plus sainement, vous allez manger avec des collègues à la pizzeria et tout le monde mange une pizza, vous pouvez prendre une salade. Et si quelqu’un vous pose la question, vous dites : voilà, en ce moment mon jeu c’est de résister à la pression sociale et de faire vraiment ce qui m’importe et pas de faire comme tout le monde.

C’est ce que je voulais partager avec vous, donc, testez-le. Dites-moi ensuite ce que ça a donné pour vous. En tout cas, pour moi, c’était très amusant et finalement, je me suis très bien amusé à cette soirée. Et le lendemain, alors que tout le monde a été dévasté, moi j’avais la pêche et ça faisait plaisir. Donc, voilà.

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Merci d’avoir regardé cette vidéo. À très bientôt pour de nouvelles aventures. Au revoir.

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pression sociale
10 commentaires
  1. Olivier, je préfère lire tes propres expériences à celles de Léo Babauta. Si tu les as vécu toi-même, elles nous paraissent plus authentiques et donc plus efficaces.

    Bonne soirée

  2. Bonjour Olivier,dire simplement « non merci » ou « c’est gentil de le proposer mais j’ai une journée importante demain je ne peux pas me permettre » fonctionnent aussi; à force de le répéter les gens finissent par se lasser…En fait, ce n’est pas la phrase qui importe, c’est la répétition et la constance de SON vouloir ou non vouloir à ce moment là qui font que les personnes s’arrêtent. La pression sociale est une perception extérieure. Vous auriez bien pu vous dire « ok je ne prends pas de bières mais je m’arrête au premier verre! » c’était un autre choix!

    En fait, dans l’idée de la pression sociale c’est surtout de se dire que l’on a toujours le choix!

    Bien à vous.

    1. Oui mais vous aurez beau dire « Non » de facon claire, ferme, assertive, toussa, il y en a toujours qui pensent qu’ils ont raison et ne vous lâcheront pas, utilisant tous les arguments pour vous pousser à « rentrer dans le moule ».
      Et c’est fatiguant d’avoir à se justifier, en plus : « Zut, je t’oblige pas à ne pas XXX, pourquoi tu te sens autorisé à me pousser à XXX ? ». On est obligé de sortir nos arguments, qui ne sont pas forcément très clairs pour nous d’ailleurs, ni très construits, et seront remis en cause, démontés, ridiculisés… ce qui, même si on tient bon, est désagréable.

      Ce que j’apprécie dans cette démarche ludique, c’est
      1 – qu’elle « décentre le problème » : je ne fais pas ça parce que je pense que j’ai raison mais parce que j’ai décidé de faire ce que j’avais envie, même si c’est pas comme tout le monde. Point.
      2 – qu’elle renverse la charge d’argument : c’est aux autres de trouver des arguments pour vous faire changer, tout en sachant que c’est un jeu (donc les arguments farfelus sont vivement encouragés, ce qui détend l’atmosphere)

      Mais comme le « jeu » clairement annoncé est celui de la résistance à l’influence, et non l’objet même (boire, fumer, sauter, prendre un risque idiot), cela détourne l’attention et dédramatise le fait de ne pas faire comme tout le monde : cela devient un jeu, un sujet de complicité et non d’affrontement.

      C’est ce que j’apprécie dans cette approche et ce qui me donne envie de la tester. Au cas où on tenterait de me forcer la main ouvertement, ce qui arrive rarement cela dit.

      Pour moi, bien plus pernicieux sont les comportements présentés comme tellement évidents qu’on ne cherche même pas à vous convaincre : ca ne se discute pas, point. Comme le fait de manger de la viande, d’éduquer des enfants sur une base punitions/récompenses, de s’en faire obéir, de les inscrire à l’école, d’avoir un « vrai travail » (cad pas à la maison 3h/jour), d' »être un homme » etc

      Prendre conscience que, ben si, ca peut se discuter, et proposer (ou défendre le fait qu’on a envie) de faire autrement, de façon ponctuelle ou durable, sont des problematiques encore différentes, et pas évidentes.
      Pour rester dans la même veine on pourrait dire « J’ai décidé de me greffer dans la tete un enfant de 3 ans, cad d’interroger tout ce que je fais d’un POURQUOI, et de chercher éventuellement d’autres chemins qui me conviennent mieux. Sortez-moi des trucs évidents pour vous, je vous demanderai ‘pourquoi’ ou ‘pourquoi pas’ jusqu’à (ce qui semble être) l’absurde »

    2. Bonjour Eleonore,

      Effectivement c’est une manière de voir les choses que je n’avais pas perçue. C’est clair que lorsque je me remémore des situations de ce genre (je ne fume pas et ne boit pas par ex.)je me visualise en attaque-défense mais peut-être est ce la déformation sportive…je fais du sport de combat lol. Je testerais cette méthode pour en vérifier la véracité. Bonne journée à vous

  3. Bonjour Olivier,
    C’est bien le principe de dire NON même à la pression sociale !
    Très bien !
    Belle Journée

  4. Merci Olivier,

    Je suis tes newsletters car c’est comme ci tu étais réceptif à tout ce qui m’arrive et que tu m’apportais une réponse.

    J’ai en effet subit l’attaque d’un de mes proches, l’un de mes frères, qui souhaite me montrer l’exemple, pour revenir dans son monde…
    J’ai gardé mon sang-froid, et il a du changer son comportement, tout en continuer de biaiser pour m’influencer. Je rigolais de ses paroles qui sonnaient le faux.

    Et la prochaine fois, je vais appliquer ta méthode pour le bloquer, car il compte bien revenir me montrer comment je dois travailler dans des domaines qu’il n’a pas étudié, car il apprécie hautement son confort de vie… et qu’il est heureux de partir en retraite à 58 ans !

    Merci Olivier, bonne journée ensoleillée.

  5. Et au fait, bravo pour le plan américain, ca marche bien ! Encore un petit effort sur les mains « à l’italienne » ;o) : elle peuvent bouger pour soutenir le discours de temps en temps… mais cela perd de sa force si c’est tout le temps (comme un fortissimo permanent en musique) !
    Mais ca c’est très dur à travailler ! Peut-être essayer, exprès, les mains dans les poches ou dans le dos pour prendre conscience ? Bravo en tout cas !

  6. Merci Merci Olivier !
    Depuis le temps que je cherche un moyen de communiquer dans de telles situations pour continuer à faire ce qui correspond à mes valeurs sans pour autant me couper des autres !
    Je vais tester à la première occasion ta technique de « résister à la pression sociale » en la présentant sous une forme ludique comme tu le suggères !
    Encore merci et bonne fin de séjour aux Philippines 🙂

  7. Bonjour Olivier, je vais le tester, effectivement on a beau dire non les gens sont collants, et c’est vrai que je ne supporte plus de me justifier pour avoir la paix, merci pour la vidéo c’est génial;

  8. Bonsoir Olivier, Joyeux NOEL et merci pour vos mails , qui m’inspire, car c’est difficile de menez sa vie, car on toute une fratrie, qui veulent vous ramenez à leur façon de vivre, autrement on te connais plus, on t’humilie , et si tu ne veux vivre comme eux pas de salut, tu passe NOEL toute seule ect. Bref je te soute un bon NOEL et encore merci pour vos articles. je vois que vous compris beaucoup de choses de la vie. Bien cordialement

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