Pour devenir plus zen au quotidien

Les éléments du changement

Faire des changementsOn vit pour faire des changements. « Si l’on n’accepte pas le fait que tout change, on ne peut pas atteindre un état parfait de sérénité. Malheureusement, bien que cela soit vrai, il est difficile pour nous de l’accepter. Et parce que nous ne pouvons pas accepter le caractère transitoire de la réalité, nous souffrons. » Shunryu Suzuki

Faire des changements, voilà une chose qui peut être difficile à aborder.

La plupart des gens veulent changer leur vie, d’une manière ou d’une autre.

Le problème, c’est qu’ils ont du mal à se lancer ou à maintenir le changement sur la durée.

Je suis heureux d’annoncer qu’après des années de pratique, je suis devenu assez bon dans ce domaine (même si je continue d’échouer tout le temps).

En réalité, je savoure le changement, non pas parce que je sens que je dois améliorer ma vie, mais parce que j’apprends de nouvelles choses grâce au changement.

Qu’ai-je appris à propos du changement ?

Je pourrais écrire un livre sur le sujet (et je le ferai probablement un jour), mais l’essentiel peut être trouvé dans la différence entre l’inévitabilité du changement, et la résistance incroyable que nous et les gens autour de nous manifestons envers le changement.

Nous voulons changer, et pourtant nous ne le faisons pas.

Comment pouvons-nous gérer cette résistance ?

Cela peut être incroyablement difficile, ou merveilleusement joyeux.

Je suis ici pour vous montrer les éléments de la voie joyeuse du changement.

Les changements que j’ai récemment effectués

J’ai effectué une dizaine de changements ces dernières années, mais voici une courte liste de ceux que j’ai effectués cette année seulement :

  • J’ai perdu plus de 18 kg depuis l’an dernier. Ce qui me préoccupait n’était pas tant de perdre du poids (ce n’est qu’un chiffre), mais plutôt de perdre un peu de graisse et de retrouver une forme optimale. La perte de poids n’a été qu’un effet secondaire de cette décision. J’ai essayé beaucoup de méthodes différentes, mais j’ai trouvé que seules deux choses comptaient vraiment, et elles sont ridiculement évidentes : diminuer les calories que j’ingurgite et augmenter celles que je brûle grâce à de l’activité. Trouver des moyens de faire ces deux choses a été la partie la plus amusante.
  • J’ai progressivement cessé d’utiliser notre voiture. Désormais, je marche, je fais du vélo ou j’utilise les transports publics. Puis nous avons radicalement changé de cap, il y a quelques semaines, en vendant notre van, en déménageant à San Francisco et, depuis, nous n’avons plus de voiture.
  • J’ai commencé à marcher davantage. Évidemment, cela va de pair avec le fait d’être sans voiture, mais même lorsque nous avions notre van, je marchais souvent pendant une heure ou trois pour le simple plaisir de marcher.
  • Manger des aliments sans ou avec peu d’emballage. J’utilise des récipients réutilisables, si possible. Je m’efforce de consommer des fruits frais et une grande variété de légumes, ainsi que des haricots, des noix, des céréales complètes et des graines. Aucun de ces produits n’a besoin d’être emballé, et tous sont excellents pour la santé.
  • J’ai abandonné presque tous mes avoirs. Je réduisais lentement mes possessions, puis j’ai fait un grand pas lorsque nous avons vendu ou donné presque tout ce que nous possédions avant de déménager à San Francisco. Nous avons acheté quelques meubles (la plupart d’occasion), mais nous sommes loin d’avoir la quantité (modeste) de biens que nous avions auparavant.
  • J’ai commencé à travailler moins. Aujourd’hui, une tâche doit atteindre un seuil d’importance élevé pour que j’envisage de l’accomplir. Cela signifie que je travaille moins d’heures, mais que je suis plus efficace pendant ces heures.
  • J’ai considérablement réduit le temps que je passe en ligne. J’aime lire du contenu en ligne et me connecter avec d’autres personnes, mais cela peut vraiment dévorer votre vie si vous ne faites pas preuve d’un certain contrôle.
  • Je me suis davantage concentré sur le fait de vivre l’instant présent.
  • J’ai cessé de me fixer des objectifs rigides et de faire autant de planifications qu’auparavant. J’avais pour habitude de planifier de façon rigide mes journées et de me fixer des objectifs à atteindre quoi qu’il advienne, il y a seulement quelques années. Vous pouvez le constater en lisant mes anciens articles de blog. J’ai abandonné cette habitude en grande partie.
  • À la place, j’ai choisi de me laisser porter par le flux de mes journées.
Les lecteurs de cet article ont également lu :  Pourquoi nous luttons avec le changement

Encore une fois, il ne s’agit ici que de quelques changements que j’ai effectués. Il y en a d’autres qui sont moins remarquables, et probablement quelques-uns que j’oublie.

Les éléments nécessaires pour faire des changements

Quel est le chemin joyeux qui mène à ces changements et à d’autres ?

J’ai décomposé ce chemin en six éléments, dont beaucoup se chevauchent et partagent des limites très floues.

Ils sont néanmoins utiles pour envisager de procéder à des changements potentiels dans votre vie.

Les voici :

 Point 1 : Combattre l’inertie

Nous expérimentons tous l’inertie ; cette résistance au changement, surtout aux changements majeurs qui bouleversent nos habitudes de vie ou notre façon de penser.

Parfois, il n’est pas difficile de la surmonter. Nous pouvons être enthousiastes à l’idée de faire un grand changement et vouloir restructurer une certaine partie de notre vie.

Cependant, le chemin joyeux se situe entre l’absence de changement et le changement radical. C’est le chemin des petits changements ; aussi petits que possible.

Les petits changements vous montrent qu’il n’est pas difficile de commencer, mais aussi qu’il est possible de faire des changements durables.

Si vous faites un changement radical, il y a de fortes chances qu’il ne tienne pas très longtemps.

Si vous ressentez cette inertie, envisagez de faire un changement aussi petit que possible.

Sortez simplement et marchez pendant 5 minutes, ou commencez à écrire, à peindre ou à jouer de votre violon pendant 5 minutes.

Vous pouvez faire n’importe quoi pendant 5 minutes. Cela doit sembler ridiculement simple, mais c’est justement l’idée.

repousser les résistances aux changements

Point 2 : Combattre la résistance des autres

Cette résistance peut même être plus difficile à combattre que votre propre inertie.

Très souvent les gens ne veulent pas de changement. Ils seront négatifs, ou essayeront activement de vous empêcher de changer.

Il y a de nombreuses stratégies pour vaincre cette résistance : demandez leur aide et mettez-les de votre côté, ou trouvez un moyen de faire ce changement sans interférer sur leurs vies ; ou si nécessaire, éloignez-vous un peu d’eux.

Faire des changements point 3 : Trouver le plaisir

Voici la clé de tout. Oubliez le reste de ces étapes si besoin, mais n’oubliez jamais celle-ci.

Il est possible de faire une chose que l’on n’aime pas pendant un petit moment, mais vous risquez de ne pas tenir la longueur. Si vous détestez courir, vous ne maintiendrez jamais cette habitude longtemps.

Vous devez trouver le plaisir qu’il y a à faire cette activité, et quand vous l’aurez fait, vous réussirez.

Les lecteurs de cet article ont également lu :  L'idée reçue du dimanche : Lire avec un faible éclairage abîme les yeux

Ainsi, soit vous choisissez une activité que vous aimez, soit vous trouvez quelque chose à aimer dans cette activité, et vous vous y accrochez.

Faire des changements point 4 : Garder ce plaisir vivace

Le plaisir peut être éphémère, et pour qu’il reste, vous avez besoin de le nourrir. C’est une forme d’art, et je ne peux pas vous donner d’instructions étape par étape sur ce point.

Si j’en étais capable, je serais milliardaire, car cela changerait le monde.

Voici cependant un conseil : soyez reconnaissant pour ce plaisir, chaque jour.

Profitez de chaque instant de cette activité, plutôt que de laisser votre esprit divaguer.

Remettez régulièrement ce plaisir à jour, en recommençant, en abordant les choses sous un nouvel angle, ou en faisant les choses un peu différemment.

Trouvez de nouvelles personnes avec qui partager ce plaisir, des personnes qui aiment cela autant que vous.

Faire des changements point 5 : Célébrer les petites victoires

Nous sommes souvent découragés parce que nous n’allons pas aussi loin que nous le voulons : nous n’avons pas encore ces tablettes de chocolat (après des mois d’exercice) ou nous ne sommes pas encore blogueur à plein temps (après trois mois de blogging).

Le problème, c’est que nous oublions que nous venons de loin. Chaque étape de ce chemin est une victoire, pas parce que nous avons accompli un objectif, mais simplement parce que nous avons passé cette étape.

Célébrez ces étapes, sautez de joie, criez ALLÉLUIA, vantez-vous-en sur Facebook (si vous avez encore un compte Facebook), affichez un message victorieux en caractères gras sur votre réfrigérateur.

Faire des changements point 6 : En faire une partie de sa vie

Qu’un changement soit permanent ou éphémère, il a une valeur, dans la joie momentanée que vous éprouvez à le faire et dans ce que vous apprenez à travers lui.

Mais enraciner un changement peut être une excellente chose. Pour intégrer ce changement dans votre vie, vous devez faire en sorte qu’il fasse partie de votre routine quotidienne.

Si vous voulez méditer, vous devez le faire régulièrement : juste après avoir pris votre café et avant de prendre votre douche pour aller travailler, par exemple.

Prendre ce café devient alors votre déclencheur pour cette nouvelle habitude, et comme ce café est déjà partie intégrante de votre vie, sa prise devient la fondation sur laquelle asseoir votre nouvelle habitude.

Plus vous ferez cette habitude après ce déclencheur, plus elle sera solidement ancrée.

Et pour finir

Une dernière remarque, pour tous ceux qui font des changements : vous échouerez.

Je ne dis pas cela pour vous décourager, mais pour vous libérer de la peur de l’échec, car si vous savez déjà que cela arrivera, vous n’aurez plus de pression.

L’échec est une partie inévitable du changement, et en fait il devrait être célébré — sans échec, nous n’apprendrions rien.

Échouez, échouez souvent, et apprenez.

Vous serez alors mieux armé pour la prochaine tentative.

Trouvez de la joie dans chaque tentative, dans chaque victoire, dans chaque échec, et le changement sera une récompense en soi.

« Essaye encore. Échoue encore. Mais échoue mieux. » – Samuel Beckett

Article original écrit par Léo Babauta.

L’idée même du changement effraie pas mal de gens. Pourtant quand on considère l’histoire du monde, il apparait de façon évidente que le changement est inéluctable. C’est cette question que j’aborde dans la vidéo complémentaire ci-dessous que je vous invite à regarder.

13 commentaires
  1. Je n’aime pas trop ce type d’articles qui reprend des idées dans « l air du temps » d’abord parce que le terme de changement est inadapté dans le contexte décrit. Le changement est, c’est une réalité, une vérité, peut être la seule. Nous naissons pour mourir et chaque jour qui passe nous changeons physiquement, voire plus. Pour paraphraser une phrase bien connue »Nous ne nous baignons jamais dans la même eu du fleuve ». le temps qui s’écoule inexorablement fait que tout change sans cesse.
    Dans l’article le terme de changement s’oppose à routine et explique que nous devrions changer pour nous améliorer. Il y a une connotation un peu « moraliste » de ce que nous devrions faire ou pas et c’est ce qui me gêne.
    Alors bien sûr, mieux se connaître et avoir une idée de perception de nous mêmes est louable mais pourquoi en faire un credo universel. Chacun est libre de conduire sa vie comme il l’entend, celui qui veut « changer » tout comme celui qui ne « veut pas »

  2. Je suis sympathisante bouddhiste. J’aime cet article car il exprime simplement des choses complexes et c’est très bien pour grand nombre de personnes qui se cherchent dans la difficulté et donc la souffrance. De plus, je sais combien il est compliqué d’écrire sur ces sujets et donc généreux est l’etre qui le fait. Nous ne sommes pas dans l’aire du temps mais bien dans une époque ou les piqures de rappels sont plus que nécessaires. franchement, j’en prend ma part car parfois, les petits détails qui font qu’on en est là se sont enfouis dans notre mémoire et manquent à notre poursuite du chemin.

    Dire que chacun est libre de conduire sa vie comme il l’entend manque singulièrement de nuance. C’est exactement ça qui conduit notre monde et voyez où nous en sommes. Non, nous n’avons même pas à nous donner le droit de ne pas vouloir. C’est vraiment faire fi de l’interdépendance des êtres et des choses. Nous ne sommes qu’en fonction d’un tout. Sans le TOUT nous n’existons pas (et c’est aussi un principe de physique quantique. ) J’espère avoir posé une petite pierre pour cet édifice que devrait être le monde. Namasté

  3. Bonjour,

    Ces idées SONT dans « l’air du temps », certes…mais surement parce que le changement a toujours été dans « l’air du temps » et heureusement !
    Changement rutine, sécurité : Le changement pose des problèmes à ceux qui préfèrent la sécurité, garder les deux pieds sur terre, la rutine, les chemins tout tracés. Nous voyons tous les jours comment ces personnes (qui n’aiment pas le changement) s’attachent à leur vie sans risques. « Pour quoi changer si tout va bien ? ». Rester ancrés dans un point A, si tout va bien pour eux, leur suffit car la notion d’avancer est étrange à ce type de personnes. Mais c’est aussi une philosophie de vie et respect à tous ceux qui l’adoptent (dans un article précédent de ce même blog, Léo Babauta nous disait qu’il est important de ne pas juger les autres).
    Changement = évolution = mouvement : D’autre part, ceux qui cherchent à évoluer, s’adapter aux nouvelles conditions, imaginer des nouvelles choses, prendre des risques, aller d’un point A à un point B, ne nécessitent pas de credo universel. Ils bougent et vont à la rencontre de « leur propre autre », celui du lendemain avec ils se sont donné RDV. Ce sont des personnes qui aiment le changement qui ont révolutionné le monde. Sans ces personnes, nous serions encore à l’âge de pierre.
    Alors, Changer ou ne pas Changer c’est un peu comme To Be or not To Be ! Pour certains d’entre nous c’est presque une question de survie : Nous nous fixons des nouveaux objectifs, nous voulons gouter une nouvelle nourriture, nous prenons un chemin différent pour aller au travail, nous quittons le confort de la maison pour aller découvrir le monde, nous écourtons une nouvelle musique, nous lisons de nouveaux livres à la recherches de nouvelles méthodes pour améliorer nos vies. Tout sauf la rutine car comme quelqu’un l’a déjà dit « ne pas avancer, c’est déjà reculer».
    Merci Olivier pour partager avec nous ces lectures qui nous font grandir et avancer dans nos vies. Bonne lecture.

  4. Ce genre d’article ne m’apporte pas grand chose ! je suis assez originale pour aimer le changement Il faudrait plutôt que je calme le jeu,pour mener à bien l’ecriture……..

    J’ai un souci de classement ! vos numerotation articles ,twitter e t c ? J’ai des imprimes notés n% differents ? ? ? ?exemple le 8 mais de dates differentes Je suis fatiguée de changer ces numeros !!!!

  5. Bravo pour ta perte de poids. Pour ma part, dans mes bonnes résolutions de l’année 2013, je n’ai noté qu’une seule chose :
    PERDRE 9 kg, puis j’ai mis un post-it sur mon frigidaire où j’ai simplement inscrit le poids à atteindre, puis j’ai attendu que l’idée mûrisse pour l’intégrer peu à peu. Et maintenant c’est décidé, je me sjuis inscrite à un forum Comment perdre + de 10 kilos ? pour me stimuler et j’ai déjà perdu 2 kilos.
    Le prochain objectif est faire de la marche ou du vélo, et comme pour le régime se persuader que faire du sport est un plaisir.
    Je te remercie pour tes articles qui me permettent de relativiser et de ne pas trop se prendre la tête.

  6. Le changement va de soit.Il nous faut surtout ,garder les deux pieds
    sur terre.Chaque jour nous changeons ,d’une façon ou d’une autre.
    Merci a tous.

  7. Je pense que Helson a très bien résumé les choses. Je pense que je ne saurais résumé mieux les choses qu’il ne l’a fait!

    J’aime à dire qu’on ne change on évolue! Et en tant que consultant en conduite du changement cette approche est un peu plate…

    Sorry, je dis quand c’est bien, mais je dis aussi quand c’est pas le cas

    A+

    Jordane

  8. Quelque soit le sens donné au changement, les éléments à prendre en considération sont les mêmes. Je trouve que cet article est utile à tous et pour toutes les formes de changements.

  9. Bravo Olivier! Je remarque que tous vos changements ont été motivés par une volonté à perdre du poids, l’envie de déménager dans un autre pays (donc la nécessité de tout vendre ou presque ses biens), une volonté à vivre de façon économe (stop au gaspillage) et à une volonté de profiter de la vie en dehors du temps de travail. Je vous envie et bravo encore une fois!

  10. Félicitation ! À toi HOMME EN MARCHE ET VIVANT DE MANIÈRE CONSCIENTE. Eh bien !… Je comprends que faire la nuance entre faire (apparence, illusion)et être( vrai,lucidité) débute par la réactivation au mouvement authentiquement essentiel de son unicité. Une sorte de réunification de soi, en passant par un autre chemin que les besoins énegivores que nous nous autocréons par soi-même… Étant peut-être des êtres humains plus influençable que nous n’osons pas reconnaître ???? Mais, se l’avoué en toute reconnaissance de cause est déjà un pas vers le changement réel. Puisque nous avons encore la liberté d’accès à notre <>. En favorisant l’évolution, au lieu de se laisser envahir par l’angoisse paralysante vis-à-vis l’acceptation…inévitable des modifications physiques et psychiques de l’humain. Que nous sommes en fait, ici, sur terre pour défricher d’autres terres, idées,pensées,actions, réalisations, innovations différentes de nos ancêtres. Sinon !!! Pourquoi aurions-nous besoin de venir au monde ? Je crois qu’il est inconcevable de penser que se serait simplement pour notre nombril. Bravo pour ces petits bijoux textuels que vous partagez avec nous. de Patricia (Patm)

  11. « On commence à vieillir quand on finit d’apprendre » Proverbe chinois.
    Et même si le vieillissement est un changement en lui-même, il devient plus rouillé, moins réalisable.
    Trop vieux pour changer ?
    Moi je dis : toujours assez jeune pour trouver l’énergie suffisante et avoir envie de continuer à le faire…

  12. Merci encore pour cette belle liste!

    Nous voici désormais en possession d’une belle liste d’éléments pour mettre en place nos changements.

    Par dessus tout, nous avons enfin 3 belles astuces:
    1. Combattre l’inertie avec les petits pas.
    2. Trouver le plaisir; se retenir pour entretenir la motivation
    3. Se préparer à échouer car sans échec, on n’apprendrait rien.

    Merci pour ce bel article.

    A bientôt,

    Brice.

  13. Merci pour cet article.
    Égoïstement, Nous allons en profiter et rebondir dessus pour fêter nos victoires à nous depuis 1 an (et les partager avec vous…)
    Mag, perte de 20kg, Stef changement de job, déménagement a 600km en famille pour une meilleure qualité de vie, épargne automatique mensuelle de 10 à 15% de nos revenus, lancement dE 2 Blogs, inscription à la formation blogueur pro d’Olivier, organisation de son 1er séminaire « les ateliers de la reconversion » pour Mag les 2 et 3 juillet prochains, lecture livres, stop la TV et les infos, eau citronnée le matin…
    Ce qui est génial a faire cet exercice, c’est de s’apercevoir que grâce a l’effet cumulé on est capable de mettre tous ces changements en place avec plaisir, petit à petit sans vraiment s’en rendre compte…mais que ça fait une vraie différence au bout …d’un an….quel KIFF…
    Osons, gardons le cap et passons à l’actions.
    Fêtez vos victoires, ça fait un bien fou !!!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bienvenue sur Habitudes Zen, qui propose quelques uns des meilleurs articles du blog Zen Habits de Leo Babauta, traduits en Français par votre serviteur, avec sa permission, plus quelques articles personnels.