Bienvenue sur Habitudes Zen ! Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute lire le livre "Zen et Heureux" pour moins de stress et plus de bonheur dans votre vie 🙂 : cliquez ici pour télécharger le livre gratuitement ! 🙂
Bienvenue à nouveau sur Habitudes Zen ! Comme ce n'est pas la première fois que vous visitez le blog, vous voudrez sans doute lire le livre "Zen et Heureux" pour moins de stress et plus de bonheur dans votre vie 🙂 : cliquez ici pour télécharger le livre gratuitement ! 🙂
Il nous est souvent très facile de repérer les gens qui se plaignent.
J’avoue qu’il est assez simple de reconnaitre ces personnes.
Elles sont toujours en train de se plaindre et sont, tout le temps, coincées dans une grande négativité doublée d’une posture victimaire.
Mais que se passe-t-il quand c’est nous qui manifestons l’habitude de se plaindre ?
Autant dire qu’il n’est pas aisé de le constater ou de le reconnaitre, n’est-ce pas ?
En fait, d’après mon expérience, la plupart des gens développent l’habitude de se plaindre, que ce soit à haute voix ou de façon plus personnelle.
Devinez quoi ? J’en fais partie !
Je connais des gens qui ont mis en place un régime spécial « anti-plainte » et qui ne se donnent pas la permission d’émettre une quelconque plainte pendant un mois.
C’est une pratique incroyable !
Cependant, si nous essayons d’arrêter de nous plaindre, nous manquerons une merveilleuse occasion d’intégrer la pleine conscience à ce processus.
Voici une façon concrète de voir la chose : quand nous nous plaignons, quelle est l’émotion sous-jacente à cette plainte ?
Nous est-il possible de faire consciemment face à cette émotion ?
Pouvons-nous accepter de faire face à la peur qui est à l’origine de cette émotion ?
Grâce à cette forme de pratique de la pleine conscience, les plaintes deviennent une occasion de faire face à notre expérience, à nos peurs et à nos émotions, au lieu de simplement fermer les yeux sur ce qu’une partie de nous ressent.
Voyons cela de plus près si vous voulez bien.
Pourquoi développons-nous l’habitude de nous plaindre ?
Nous nous plaignons quand les choses ne se passent pas comme elles le devraient.
Voici une façon plus honnête de le présenter : « Les choses ne se passent pas comme je le veux. Je veux qu’on les fasse à ma façon ! »
La plainte est donc une frustration, une irritation, une colère liée au fait que nous n’obtenons pas ce que nous voulons.
Qu’y a-t-il de mal à ne pas obtenir ce que l’on veut ?
Sommes-nous à ce point dans notre bon droit ?
En réalité, il n’y a rien de mal à ce que les choses ne se passent pas comme nous l’entendons.
La vérité, c’est que nous avons peur que le résultat final ne nous convienne pas si les choses ne se déroulent pas comme nous le souhaitons.
Nous avons peur de ne pas avoir le contrôle de la situation.
En d’autres mots, nous avons donc peur de ne pas avoir le contrôle, peur de souffrir si nous ne parvenons pas à nos fins.
Nous ressentons alors de la frustration, de l’irritation, de la colère.
Puis, nous créons un récit pour expliquer que les choses ne devraient pas être comme elles le sont actuellement, qu’elles devraient être différentes.
Voici entre autres le genre de déclarations qui composent ces récits : « Les gens ne devraient pas se comporter de cette façon, pourquoi agissent-ils toujours ainsi ? Je devrais être une meilleure personne, je ne devrais pas être à ce niveau. »
C’est ce qui se passe quand nous essayons de nous débarrasser de nos plaintes — nous avons l’impression que quelque chose cloche chez nous.
Nous devons donc changer, car nous ne devrions pas nous comporter ainsi.
Se débarrasser de l’habitude de se plaindre est avant tout une forme de plainte.
Une opportunité de s’entrainer
L’exercice auquel je vous invite aujourd’hui consiste à accepter les choses telles qu’elles sont.
Cela signifie que lorsque nous nous plaignons, nous devons faire consciemment face au fait que nous n’aimons pas les choses telles qu’elles sont.
Nous devons faire face à notre irritation, notre frustration et notre colère.
Cet exercice nous invite à reconnaitre la peur qui se cache derrière ce que nous ressentons : la peur de perdre pied si nous ne contrôlons pas la situation.
Une fois imprégnés de tout cela, nous pourrons alors être avec la personne ou la situation, telle qu’elle est.
Nous pourrons accepter la réalité.
C’est aussi simple que cela : ouvrir notre conscience et nous reposer dans ce que nous pouvons percevoir, tel quel.
Nous pouvons même trouver des raisons d’être reconnaissants.
Cette pratique est magnifique et son application dure toute une vie.
Article original écrit par Léo Babauta.
Se plaindre tout le temps est sans conteste une mauvaise habitude qui nuit d’une manière ou d’une autre à vos relations. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin en ne parlant que la mauvaise habitude de toujours se plaindre. Et si on parlait d’autres mauvaises habitudes ainsi que de la façon de procéder pour les éradiquer ?
C’est ce à quoi je vous invite dans la vidéo ci-dessous !
Ma mauvaise habitude est l’accro au sexe
Salut Grace, bon courage ça doit pas être simple mon ami