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Bonjour, je suis Chantou du blog ménopause zen. Un blog qui parle de ménopause et de transitions du milieu de vie au féminin. Un blog pour les femmes de la quarantaine, de la cinquantaine ? Pas uniquement, certains articles s’adressent aussi aux hommes !
Je remercie Olivier de m’offrir cette tribune pour partager avec vous un sujet particulièrement sensible pour les hommes et les femmes : la transition du milieu de vie.
Que l’on soit un homme ou une femme, entre 35 et 50 ans un processus particulier se met en œuvre dans le corps et dans la tête des individus que nous sommes : il s’agit de la « crise du milieu de vie » populairement appelée « crise de la quarantaine ». En réalité, ce processus n’est pas vraiment une crise, mais une transition.
L’éminent psychologue suisse Carl G. Jung situe la transition du milieu de vie entre 35 et 50 ans. D’autres psychologues tout aussi renommés comme Daniel J. Levinson, la situent entre 40 et 65 ans. Avouez qu’il y a une grande amplitude entre ces nombres ! Cependant, il y a une chose à retenir : entre 35 et 65 ans, quelque chose de fondamental se joue dans votre vie.
Si, à en croire ces spécialistes, tout individu tôt ou tard passe par cette phase transitoire durant laquelle émerge un besoin profond et irrésistible de changement, comment, dès lors, transformer cette transition en opportunité, mieux, en mine d’or et non en un tsunami ravageur ?
Avant tout : assurons-nous de parler le même langage pour avoir un référentiel commun et précisons simplement ce qu’on appelle « transition du milieu de vie et crise du milieu de vie ».
Transition du milieu de vie versus crise du milieu de vie : une opportunité de croissance personnelle pour vous
Quand on parle de crise du milieu de vie (souvent appelée « crise de la quarantaine »), la plupart des gens ont spontanément à l’esprit des images d’Épinal :
- un homme, une femme, une famille qui décident de tout plaquer (le travail bien payé, la ville, une situation sociale enviable) pour ouvrir des chambres d’hôtes, ou élever des chèvres dans le Larzac !
- un homme quittant femme et enfants pour une autre beaucoup plus jeune ;
- une femme qui se revendique cougar ;
- la déprime qui s’empare soudainement d’un couple heureux et sans histoire lorsque les enfants ont quitté le nid pour faire leur vie ;
- un sentiment de mal-être, voire dépressif… alors qu’on a tout pour être heureux : un travail, une famille, des amis ;
- etc.
Avouez que la crise de la quarantaine renvoie des images pas toujours glamours. Mais la vérité, c’est que seuls 8 % des personnes entre 25 et 64 ans expérimentent une vraie crise du milieu de vie ! Toutes les autres personnes (soit 92 %) vivent une transition du milieu de vie (1). Et, cette transition du milieu de vie n’est pas obligatoirement déclenchée par l’âge, mais par le vécu d’évènements spécifiques, parfois douloureux et en tout cas suffisamment intenses pour remettre en cause ses croyances, ses propres habitudes et des situations de vie afin d’aller vers quelque chose de meilleur.
La transition du milieu de vie est donc une opportunité, une promesse qui nous est offerte : celle de choisir de croître, de s’épanouir aussi bien au niveau professionnel, émotionnel, spirituel, physique que relationnel !
Mais soyons honnêtes, le simple terme « transition » n’est pas neutre, car il évoque un passage, une situation temporaire plus ou moins floue et instable. Par ailleurs, tout le monde ne vit pas la transition du milieu de vie, voire la crise du milieu de vie, de la même façon, car chaque individu est unique et de multiples facteurs non négligeables entrent en compte comme :
- le genre, c’est-à-dire le fait d’être un homme ou une femme ;
- les différences culturelles qui induisent forcément des perceptions différentes de la vie : la notion de crise par exemple n’a pas la même connotation en Occident et en Asie. En Occident, la notion de crise induit un vécu négatif ; en Orient la notion de crise évoque un cataclysme, mais aussi une opportunité ;
- les habitudes, les croyances, les ancrages, les injonctions que l’on a reçus de son environnement éducatif, de ses parents, de l’école ;
- la volonté ;
- le courage ;
- etc.
Ainsi donc, cheminer dans cette phase de transition du milieu de vie n’est pas facile, que l’on ait 35 ans ou 50 ans, mais peut rapporter gros, si vous en comprenez les mécanismes et si vous appliquez quelques principes gagnants.
La transition du milieu de vie, une mécanique qui repose sur cinq étapes
La transition du milieu de vie marque un passage obligé par lequel tout individu chemine tôt ou tard à un moment donné de sa vie. Ce passage, Carl G. Jung l’a appelé le « processus d’individuation » et comporte cinq étapes (2) :
Accommodation –> Prise de conscience –> Face-à-face –> Intégration –> Individuation
Étape 1 – L’accommodation
Cette étape commence dès l’enfance ! C’est en effet la période où nous nous accommodons, nous nous conformons aux injonctions de nos parents, de l’école, ou de toute autre institution extérieure censée nous montrer « le bon chemin ». D’une certaine façon, durant cette étape on se construit par rapport aux autres et non par rapport à soi. Vous vous doutez bien qu’à la longue cela devient problématique parce qu’on passe son temps à renoncer et à occulter des dimensions essentielles de son être. Au fil du temps et surtout lorsqu’on a atteint un certain degré de maturité, ce renoncement finit par appauvrir l’individu jusqu’au moment où il constate qu’il y a des choses de fond à changer dans sa vie.
Étape 2 – La prise de conscience
La prise de conscience correspond à cette voix intérieure qui vous dit : « hey, tu ne peux plus continuer comme ça ! Tu dois réagir !». Il y a des gens qui décident de ne pas écouter cette petite voix, faisant ainsi la politique de l’autruche, et niant la réalité. Agir de la sorte n’est évidemment pas la meilleure des solutions, car le problème resurgira tôt ou tard, comme poussé par la loi d’Archimède !
Étape 3 – La transition du milieu de vie – Le face-à-face
Décider d’écouter sa petite voix, c’est commencer à réagir. Mais ce n’est pas suffisant. Il faut vraiment faire face à la situation. Le face-à-face est donc une confrontation avec soi-même durant laquelle des questions de toutes sortes fusent : qu’est-ce que j’ai vraiment accompli ? Qu’est-ce que je n’ai pas pu faire qui me tenait à cœur ? Quel sens dois-je donner à ma vie ? Qu’est-ce que je veux concrètement ? Ce que je fais est-il en accord avec mes valeurs, mes besoins ? In fine, quel est mon projet de vie ?
Cette confrontation peut sembler a priori douloureuse et pourtant elle est salutaire… à condition qu’on ne tourne pas en rond comme un fauve dans sa cage ! La confrontation est le point de départ d’un processus de développement personnel et de croissance.
Étape 4 – L’intégration
Durant cette étape, le questionnement est toujours très présent, mais, et là est la beauté de toute notre humanité, on accepte cette phase de questionnement. Le simple fait d’accepter rend les questions véritablement créatrices de valeur pour soi-même, ce qui permet de faire les premiers ajustements. D’une certaine façon, l’intégration est cette étape où vous décidez d’être l’acteur de votre propre vie.
Étape 5 – La transition du milieu de vie – L’individuation
Expliquer « l’individuation » en quelques lignes peut s’avérer périlleux, voire prétentieux, tant ce concept est riche. Les puristes m’excuseront donc de ne pas rentrer dans les détails qu’ils pourront trouver ici ! Ce qu’il faut retenir simplement, c’est que lorsque vous êtes rendu à cette dernière étape du processus de transition du milieu de vie, vous vous reconnaissez comme une personne à part entière : vous avez la maturité nécessaire pour savoir ce qui est bon pour vous et ce vers quoi vous voulez aller.
5 principes à appliquer pour transformer sa transition du milieu de vie en mine d’or exceptionnelle
Principe 1 : Accepter sans condition et en toute conscience le cheminement que vous devez faire
Il faut être conscient que la transition du milieu de vie et tous les aspects que cette transition soulève sont strictement et purement normaux et salutaires. Il ne sert donc à rien de faire l’autruche ! Observer ce qui se passe permet d’avancer sereinement, même si c’est parfois difficile : lutter contre ce qui se produit en vous serait purement contre-productif et même nuisible pour vous-même !
Principe 2 : Se faire accompagner
Se faire accompagner par un bon coach en développement personnel ou si nécessaire un psychothérapeute est une option à considérer, car il n’est pas bon de rester seul dans ce genre de situation. Si l’option coach ou thérapeute n’est pas votre truc, on peut également investir dans de bons bouquins de développement personnel ou des séminaires de développement personnel. Le tout, c’est de trouver ce qui vous sied le mieux. Personnellement, je suis plutôt bouquins, et je vous confesse que sur le blog d’Olivier « Des livres pour changer de vie », il y a quelques pépites de livres qui sont maintenant des « musts have » de ma bibliothèque.
Principe 3 : La transition du milieu de vie – Ne partez pas à l’assaut de la Bastille
Cheminer dans la transition du milieu de vie ne consiste pas à partir à l’assaut de la Bastille. La transition du milieu de vie est une opportunité à saisir, progressivement, pas à pas, avec humilité et respect vis-à-vis de soi et de son entourage.
Principe 4 : Se fixer de petits objectifs et des priorités
La plupart de ceux qui réussissent cette transition se sont fixé de petits objectifs et des priorités. Le tout, c’est qu’il faut s’y tenir et les réajuster régulièrement si nécessaire. Cela nécessite de ne pas trop s’attacher aux détails, d’abandonner tout perfectionnisme et d’embrasser les situations en ayant une vision globale et systémique de ce que vous voulez.
Principe 5 : La transition du milieu de vie – Explorer l’inconnu
C’est dans l’inconnu que se trouvent les gisements d’or et les diamants qui pourraient rendre votre vie encore plus précieuse. Pour devenir meilleur, avoir le meilleur et vivre le meilleur, il faut faire des choses que vous n’avez jamais faites en vous faisant confiance !
En conclusion
Vous avez peut-être 60, 50, 40, 35 ans voire moins au moment où vous terminez de lire ces lignes. Vous êtes peut-être dans votre processus de transition du milieu de vie. Comment vivez-vous votre transition du milieu de vie ? Si vous êtes un homme, votre avis m’intéresse ! Et si vous êtes une femme, il m’intéresse encore davantage, car la transition du milieu de vie féminine est particulièrement dense, symbolique et pas simplement hormonale.
Sereinement vôtre,
Chantou du blog ménopause-zen.
(1) Étude réalisée par la MacArthur Foundation Research Network on Successful Midlife Development.
(2) Ces étapes sont illustrées à travers de nombreux témoignages du livre de Christophe Fauré « Maintenant ou jamais ! La transition du milieu de vie ». Un livre pour tous les passionnés de développement personnel, ou de santé & bien-être. Un livre rare et exigeant qu’on pourrait classer parmi « les livres pour changer de vie » !
Crédit Photo : clearviewstock – shutterstock.com.
Chantou du blog ménopause-zen.
bonjour,
cet article tombe à point nommé j’ai 40 ans ce dimanche et je suis à une période de ma vie oU je me pose beaucoup de questions ..j’ai fait un grand nettoyage dans ma liste de contact sur fb ,dans mon répertoire …ça m’a fait du bien ..beaucoup de questions peu de réponses je me cherche encore …tant d’année à entrer dans le moule ..merci pour cet article très intéressant….
Salut Rivière,
Félicitation et joyeux anniversaire à vous.
Ce qu’il faut à mon avis retenir de cet article est le petit paragraphe qui suit. Il résume à mon sens la principale clés pour opérer avec succes une transition quel qu’elle soit.
Principe 5 : Explorer l’inconnu
C’est dans l’inconnu que se trouvent les gisements d’or et les diamants qui pourraient rendre votre vie encore plus précieuse. Pour devenir meilleur, avoir le meilleur et vivre le meilleur, il faut faire des choses que vous n’avez jamais faites en vous faisant confiance !
Merci pour cet article super-intéressant.
Amicalement,
Xavier
Bonjour Rivière,
Je vous souhaite également un joyeux anniversaire!Et vous savez quoi? Le fait de lire cet article le jour de votre naissance n’est pas le fruit du simple hasard.(je crois en la congruence des événements)
C’est une bonne chose de se poser des questions et vous trouverez probablement des réponses…vous êtes quasiment à l’étape 3(certainement l’étape la plus difficile): vous avez fait presque la moitié du chemin. Ne vous retournez pas et continuez à avancer car ce qu’il y a au bout du chemin va au-delà de vos rêves les plus fous.
Amicalement
Chantou
@ Xavier:Merci Xavier!
Bonjour
Votre article m a passionne en effet, depuis quelques annees, je vis un changement de vie.
cela s est produit au moment de la menopause qui est venue pour moi, comme une delivrance, et que j au tres vecue. rajeunisssement, perte de poids, bien dans ma tete, bien dans mon corps. je me sents comme une jeune fille.
j ai appris a rouler en moto, maintenant, je me deplace en harley. cela surprend beaucoup de personnes.
mon fils qui a 17 ans, je l ai eu tres tard, me prends pour une folle. mais apprecie.
le negatif, je m eloigne de mon mari, qui comme cela se passe lors de changement, de vue, de destinee, et proffesionnelle l un ne suit pas.
le futur nous dira comment cela, va se terminer.
Merci. Je vais sur votre site pour voir les autres temoignages.
Ouah Dominique, j’adore votre transformation!!!
Moi aussi j’ai eu des enfants « relativement » tard. Il y a une vraie tendance de fond sur ce point.
Oui,la ménopause doit être une délivrance, un retour vers soi. C’est aussi une grande période de fragilisation des couples.Sur ce point,ma conviction,c’est que la transition du milieu de vie oblige aussi à réinventer son couple:la réinvention est la condition pour repartir à deux sur d’autres/de nouvelles bases.
Dominique, je vous remercie pour votre témoignage…qui vient de m’inspirer une idée d’article pour mon blog. 1000 Mercis!
Amitié
Chantou
PS1: Ca doit être un super truc la Harley…Je me laisserai bien tenter!
PS2: OK il y a la Harley,mais est-ce que vous êtes allée jusqu’au tatouage? (lol):-)
Bonjour,
pour moi aussi cet article tombe bien. J’ai 36 ans, j’ai deux enfants en bas âge et je suis en congé parental. Je dois reprendre le travail l’année prochaine et je me demande ce que je pourrais faire et ce que je veux faire. J’en ai assez que l’administration décide de ma vie à ma place (je suis fonctionnaire). Je voudrais être actrice de ma vie et je me demande ce qui est essentiel pour moi.
Merci Chantou pour ce superbe article 😉
Me voilà dans la quarantaine 🙂 Comment je la vis ? En essayant de donner plus de sens à mes actes. Dans le cheminement que tu décris, j’en suis arrivée aujourd’hui l’étape 3 du face-à-face, qui induit de nombreux questionnements.
Napoleon Hill disait que la quarantaine correspondait à l’âge de la maturité de l’esprit. Pour ma part, c’est un cap que je ne veux pas manquer. Même s’il serait plus facile parfois de faire « la politique de l’autruche » 😉
Anne
Merci pour ce résumé du livre de Christophe Fauré qui a été ma bouée de secours au moment où je ne savais plus qui j’étais. Depuis, je poursuis mon chemin vers Moi doucement mais sûrement. J’ai essayé l’accompagnement par un psychologue mais son ton moralisateur ne m’a pas convenu. Aujourd’hui, je m’aide de lectures comme « Vos zones erronées » de Wayne W. DYER qui m’ouvre les yeux sur mes comportements et mes besoins avec des pistes pour changer et enfin être soi !
Pour moi, cet article arrive à point nommé, mais il n’y a pas de hasard. La transition de milieu de vie a commencé pour moi, il y a environ un an et demi et a entraîne de nombreux bouleversements intérieurs, apparition de la spiritualité dans ma vie, accomplissement de choses que ne n’avais jamais osé faire (passer d’un stage d’aquaphobie, à la plongée sous marine et à la natation), redécouverte de mon corps, bref une renaissance., et cela n’est pas terminé.Je crois en être arrivée à la phase 4 peut-être 5 et suis en pleine recherche d’un autre travail qui me permettra de m’épanouir pleinement tout en ayant des revenus plus que confortables . Alignement corps, âme et esprit.
Anne Marie
Anne Marie
Mille fois merci pour cet article qui me redonne gout a la vie.
Merci René…La vie vaut vraiment la peine d’être vécue:-)
@ Lucie: profitez de votre congé parental pour réfléchir à votre projet. Votre mine d’or vous attend.Elle est en face de vous (car nous avons tous notre mine d’or qui nous attend quelque part). Vous pouvez vraiment changer votre vie si vous le VOULEZ vraiment.Vous en avez assez? C’est super:l’étincelle est allumée.
Il faut le vouloir de manière viscérale et enflammée maintenant.
Lisez car cela vous donnera des idées, côtoyer des gens qui n’ont rien à voir avec votre métier…Tout concourra à votre bien j’en suis sûre !
@ Anne : Anne, tu as tout dit en parlant du sens; car au final c’est bien de cela qu’il s’agit. Trouver le sens à sa vie, trouver du sens dans les actes que l’on pose, se réaligner: c’est bien un rendez-vous (sinon LE rendez-vous)à ne pas manquer!
@Caroline:Quel merveilleux livre n’est-ce pas que le livre de C.Fauré!Oui, allez doucement est sage « chi va piano,va sano »
@Anne-Marie: Vous voyez tout le chemin accompli Anne-Marie? Vous êtes presque au bout! Vous êtes déjà dans la mine d’or et bientôt ce sera la récolte.Bravo.
Amitié
Chantou
merci xavier pour ce principe 5 très fort,parfois difficile à appliquer mais j’en suis à la je travaille la dessus … merci chantou..effectivement je ne crois pas au hasard non plus …en plus je me retrouve dans chacun des témoignages et ça me fait chaud au coeur ..j’ai parfois cette impression bizarre d’etre une ado dans le corps d’une femme de 40 ans et je vois que je ne suis pas seule ça me rassure…
Coucou Chantou et bon anniversaire…
Très bel article, qui tombe à point….
Transition pas évidente, mais la vie n’est elle pas remplie de moments de choix qui lorsqu’ils sont bien choisis nous amènent sur la voix du bonheur????…..
Cependant, ne pas oublier son ami(e), conjoint(e), qui parfois, n’a pas le même âge ou le même déclic au même moment…..
Sous prétexte de se re-cibler , de redonner un sens à sa vie, essayons tout de même de le faire en pleine communication avec sa moitié.
Ne mélangeons pas redonner un sens personnel à sa vie quand on est engager et redonner un sens à sa vie quand on est seul… (crise de 16 ans ou de la 40ène…)
Voyons le meilleur et choisissons les directions qui apportent le bonheur…
bonsoir,
article certes intéressant mais qui m’emplit de perplexité… puisqu’il m’apprend que je suis en « crise » ou en « transition » depuis toujours… les « clés » pour en sortir n’ouvrant désespérément aucune porte, je reste encore et toujours sur le palier. et j’attends ma mort. (et en attendant je lis ce blog; ma vie est merveilleuse).
@ Karine
Karine,
Je suis ravie que l’article vous interpelle,mais celui-ci ne dit absolument pas que les individus sont en crise ou en transition DEPUIS TOUJOURS…Sinon,on basculerait dans la folie!
L’article dit que :
-chacun de nous passe à un moment T de sa vie par une étape de transition capital où il est amené (voire appelé) à devenir LUI-MEME
– et que cette étape commence en général vers 35-40 ans.
– que cette transition peut basculer vers une vraie crise mais c’est rare (8% des gens)
Je parle bien de TRANSITION du milieu de vie, terme à distinguer de celui de CRISE du milieu de vie. C’est pour cela qu’il m’a paru important de distinguer les termes.
Je vous encourage à continuer dans la recherche de votre clé et à croire qu’elle est bien quelque part car la persévérance finit toujours pas payer: qui cherche trouve et tout est possible à celui qui croit .
Le fait de lire le blog d’Olivier vous emplit déjà de bonheur,c’est déjà très bien et je dirais même que c’est SUPER(Rendez-vous compte Karine,vous êtes déjà au principe 2 de mon article! Ce qui signifie que vous avez commencé votre processus de transformation. La lecture fait partie des outils à utiliser).
Pour terminer,j’ai envie de dire que « il ne sert à rien d’attendre la mort, puisque de toute façon elle viendra tous nous chercher et personnellement, je souhaite à tous que cela soit le plus tard possible!
A l’inverse, je suis convaincue qu’on peut tout demander à la Vie! ….à commencer par le droit d’être heureux, d’avoir la santé, une famille, des amis, un travail aligné avec ses propres fondamentaux.
Je vous souhaite beaucoup de bonheur Karine.
Avec toute mon amitié
Chantou
Merci pour cet article très intéressant et motivant! Ce qui est marrant c’est que j’ai l’impression de m’y retrouver alors que j’ai…27 ans! Donc je ne suis pas encore dans la période de « transition de vie » selon l’article mais, comme Karine, j’ai un peu l’impression d être en transition depuis toujours. Plus précisément je dirai que ça fait 2 ans car je rêve d’être comédienne mais mes études m’ont emmené vers un autre chemin…j’ai commencé à considérer ce projet dès le début de ma vie professionnel et petit à petit j’avance vers mon rêve. Mais le chemin est long et il faut être patient, il faut du temps pour murir son projet, oser se lancer, prendre confiance puis bien sûr pour que tous nos efforts débouchent sur du concret. Mais,comme on dit, le bonheur c’est aussi le chemin, et tant qu’on évolue je pense qu’on a fait le bon choix!
merci Chantou pour cet article qui replace vraiment bien ce qu’est la ménopause ;
je pratique des techniques taoïstes depuis plus de 20 ans;
grâce à cela j’ai pu contrôler mes cycles , c’est-à-dire avoir des ovulations/règles quand je choisissais d’en avoir ;
aujourd’hui je suis peut-être ménopausée, mais je ne me sens pas concernée puisque je sais qu’avec les pratiques, je peux faire revenir ovulation et règles à volonté .
J’ai 6O ans et je sens toujours mes ovaires ; leur énergie me permet de réaliser ce dont j’ai envie ; je suis en bonne santé et en pleine forme !
cela n’a pas toujours été le cas; quand j’étais plus jeune : règles douloureuses, irrégulières, abondantes … seins douloureux, migraines … fatigue …
ce qui est génial avec ces pratiques c’est de sentir que l’on devient maitre de son corps, et cela libère une incroyable force de vie .
je partage à qui le veux ces techniques de santé et de longévité ;
j’aimerais tant que les femmes sachent cela et le pratique .
merci aussi à Olivier de vous avoir accueillie et pour toutes ces bonnes pensées
sourire
benj.
wow, ça donne envie d’en savoir plus ! (pour l’instant ça va encore, mon seule symptome est de ne plus avoir de règles, ma peau est toujours bien et je n’ai pas grossi je dis juste faire de la gym et me modérer à table pour garder le controll, mais je n’aime vraiment pas les bouffées de chaleur et j’ai quand meme peur de ne plus avoir le temps de vivre avec mes 50 alors si vous voulez bien et si ce n’est pas payant ça m’intéresse j’ai encore un projet ou 2 qui me tiennent à coeur 🙂 !
Transition de milieu de vie « mine d or » ? Que dire
Il y a 4 mois après trente ans de bonheur mon mari a pété les plombs on me dit crise de milieu de vie …….
Toute la famille moi bien sur et les enfants fragilises en plein études sup prepa nous avons pris un immeuble de 5 étages sur la tête . Cela faisait plusieurs mois que je le voyais s éloigner lui qui discutait toujours se renfermait problème de boulot la cinquantaine les enfants qui partent de la maison et moi ménopause ….
J ai toujours fait attention. Je suis coquete je suis une maman je bosse nous faisions de la danse de salon ensemble même goûts théâtre ciné …….que dire tout le monde a été surpris si il y avait bien. Un couple c était celui la. Alors je vais dire quoi que vous fassiez si cela arrive cela dépend vraiment de la personne de son vécu de sa fragilité ….vous pouvez vous battre je l’ai fait cela ne sert a rien sa famille était avec moi qu il adorait ce qui était le plus important et puis plus rien ….
Je suis une thérapie il était hors de question que je sombre malgré ma grande douleur , pour moi et surtout les enfants qui ont idéalisé leur père . Je me protège je prends soin de moi et. Nos enfants et surtout je bénis le fait de n avoir jamais arrêté de travailler j ai un travail enrichIssant qui permet de partager et de vivre des vrais moments d accomplissement de soi . On me dit que je referai ma vie oui mais …. Le début sera bien et après nous partagerons quoi rien …. Qu une partie de vie ….
Alors oui je Profite de ce moment pour faire plein de choses , je faisais de la danse je continue et plus j ai le temps les enfants ne sont plus la j allais au ciné je continue
J essaie d élargir le cercle amis difficile a 50 ans lorsque vous avez été pendant trente ans famille fusionnel car mon mari et moi même étions très proches … Que comprendre ? Que dire ? heureusement je me fais aider la thérapie cela m a sorti et cela m aide sans médicaments …
Alors oui il y a pire la maladie mais lorsqu on ma dit que c était un deuil je ne l avais pas compris c est effectivement de deuil de 30 ans de vie la personne est la mais je ne plus au quotidien comme nous le faisions nous écrire nous téléphoner discuter le soir et bien sur s aimer je n ai rien compris j ai essayé de discuter avec lui pendant plusieurs semaines avant car je voyais qu il n était pas bien
Il a pris sa décision me l a annoncé un soir sans précaution. Le chien m est tombé sur la tête le lendemain j étais au travail en rentrant il avait pris ses affaires et il était parti 48 heures.
Heureusement j ai l instinct de survie même si c est très difficile je vois toujours qu il y a toujours plus malheureux autour je sais et je connais la valeur je sais voir le positif autour de moi . Voilà mon histoire
Co
Merci pour cet article.
Je suis dans ma 35ème année et je viens de comprendre ce qui m’arrive depuis qqs mois (envie de changement professionnel…) grâce à cet article!
je vais avoir 24 ans , je suis idéaliste je crois et perfectionniste mais peureuse si bien qu’il y a déjà pas mal de choses, trop de choses d’ailleurs d’après moi,des opportunités que j’ai laissé filer, je suis prisonnière de mes petits démons , de mes peurs et ça me rend passive mais attentive toutefois et consciente de tout cela donc angoissée , je tente de trouver ma mission d’âme pour pouvoir me sentir épanouie enfin grâce à la spiritualité , depuis qq jours je suis entrée dans une phase de déprime ,je sais que c’est passager et pas très grave , je suis tombée sur votre article et je me sens déjà soulagée car ça correspond à ce que je ressens , la transition de milieu de vie , je voudrais monter ma boîte familiale et quitter mon boulot actuel qui me stress tant je le déteste , je voudrais enfin oser m’affirmer et réaliser ce qui apaisera , et va nourrir mon âme en surpassant mes peurs , me libérer en faite , j’ai besoin de soutient, je pratique la sophrologie ,mais je voudrais si vous le pouviez lire des livres qui pourraient me faire du bien et me booster dans cette phase de changement, auriez vous de bons titres à me conseiller ? je vous remercie d’avance,
et à touS ,accrochez vous à vos rêves même si c’est parfois tentant et facile d’y renoncer… le monde à besoin d’âmes en pleine santé et épanouies , de persévérance, et surtout d’altruistes sincères, =)))) alors chouchoutez vous , soyez bien dans vos pompes, prenez votre bien en urgence ,AIMEZ VOUS ! pour que l’on puisse tendre vers un monde en paix …
Chère Justine,
merci pour la sincérité de votre témoignage. Parce que vous reconnaissez « vos peurs, vos angoisses, vos petits démons « , vous êtes déjà sur le chemin de la (re)construction.
Maintenant, il est important pour vous de continuer à avancer dans vos développement personnel EN AGISSANT car la volonté ne vaut rien sans l’agir. Vous voulez quitter votre boulot qui vous ronge? Quittez-le! Vous voulez monter votre boîte? Montez-là! Car en agissant ainsi vous trouverez une réelle satisfaction personnelle. La nature a horreur du vide et vous verrez que vous trouverez un espace plein de richesse et des opportunités incroyables. Je pense que le monde d’aujourd’hui n’a jamais été uassi ouvert, aussi paradoxalement riche d’opportunité. Ces opportunités sont autour de vous, devant vous, à côté de vous, en vous. Elles sont partout prêtes à être ceuillir!!
Pour être sincère avec vous, j’ai moi-même quitté mon travail pour me mettre en indépendante et j’avais 43 ans à l’époque. J’aurai dû le faire plus tôt…c’est-à-dire à votre âge!
Les débuts ont été difficiles mais aujourd’hui je ne regrette vraiment pas mon choix (et j’avais et j’ai toujours d’ailleurs deux enfants, le prêt immobilier de mon appartement, l’école des enfants à payer, le quotidien à assurer, etc, etc). Bref, j’avais en face de moi une quantité de raisons qui m’aurait empêché de me lancer mais je l’ai fait.
Maintenant Justine, j’ai envie de vous dire : vous êtes jeune, probablement talentueuse, et sans aucun doute de nature bienveillante. Laissez tomber le perfectionisme et attachez-vous à poser tous les jours de petits objectifs même imparfait car c’est une somme de perfection qui mène à la perfection!. Au bout de quelques semaines vous verrez le chemin accompli et vous aurez la fierté de vous dire « Oui, c’est possible, yes I can do it! ».
Je peux vous conseiller quelques livres , mais peut-être que dans votre cas, un bon coach, voire thérapeute serait tout aussi bénéfique pour vous aider à sortir de « votre enclos qui vous emprisonne » et qui vous fait passer par des périodes de déprime.
En attendant lisez ce livre « Le pouvoir du moment présent » de Eckhart Tolle. Je suis convaincue que ce livre aura un réel écho sur vous:-)
Je vous souhaite un chemin plein de réussite et que Dieu vous bénisse puissamment.
Amitié
Chantou
à quarante ans malgré une vie assez chaotique j’étais heureuse, j’ai pu vivre la jeunesse que je n’avais pas eue pour cause de pauvreté, de santé mentale et d’obligations professionnelles. comme j’ai commencé à plaire je me suis vite aperçue que j’vais d’autres besoins dans la vie que d’intéresser les hommes, et j’ai trouvé l’amour, je ne pensais pas du tout à l’avenir, tout en me voyant pouvoir enfin quitter mon appart glauque et me lancer dans des projets artistiques qui me tenaient à coeur, puis j’ai eu un peu d’argent de façon inespérée, en ai profité pour déménager et me suis retrouvée dans un lieu très difficile à habiter, à aménager, ça m’a pris des années, puis j’ai commecé à avoir des opportunités artistiques et voyais un peu le bout du tunnel, puis… j’ai eu 50 ans. Et là j’ai ressenti tout ce que je n’ai jamais pu vivre entre mes complexes, mes soucis de santé mentale, les répercussions que ça a eu sur mes études et ma vie professionnelle et la gene matérielle qui en a découlé depuis mes 20 ans, plus angoisses, problemes personnels, manque de confiance en soi, etc… pourtant je m’étais préparée plus ou moins et avais pris les devants en termes d’hygiene de vie, je ne parais pas mon age, etre sexy ne m’intéresse pas, je n’ai jamais voulu d’enfants et ne le regrette aucunement, mais sur le tard j’ai commencé à devenir une sorte de femme pulpeuse avec des formes, le genre assez sexy justement alors que je n’ai jamais été jolie ni gracile, plutot grande et bien charpentée, et qui ne collait plus avec l’image de grande ado maigre et mélancolique qui me correspondait, dans ces conditions je pouvais encore accepter de ramasser ds rides et autres signes exterieurs de degradation esthetique, j’esperais devenir une de ces freles dames sans age, mais je me rends compte qu’avec mon gabarit je ne le serai jamais et devrai m’astreindre à faire du sport, ce que je deteste, pour garder à peu près la silhouette androgyne à lquelle j’tais habituée, et je me suis pris de plein fouet toute la foutue symbolique du demi siecle où j’tais censée avoir une vie bien remplie ou avoir les moyens matériels de mettre en actes l’ouverture d’esprit qui a accompagné mes dernières années. Et je ne peux pas, je me sens coincée, prise au piège, reléguée dans la case des vieilles, jetee de table en ayant à peine pu toucher à la nourriture et cmpletement perdue, comme une crise d’adolescence dans une maison où vous etes de trop avec 30 ans de trop et trop tard pour s’en sortir, et je n’aurai jamais de chouette appart en ville en étant assez jeune pour en profiter, et ne pourrai plus jamais aller nulle part sans qu’on voie dans le meilleur des cas une dame d’age respectable, il ne me reste plus que le yoga et les confitures (façon de parler) enfin, je vais quand meme profiter de out ce que je peux encore faire tant que ça ne se voit pas trop, après tout je ne compte ni sortir en minijupe ni draguer des types dont j’aurais l’age d’etre la mère, rien à voir. Juste sortir sans me sentir trop complexée, et espérer ne pas me sentir vieille comparée aux creatures que je peins. Pas encore TROP de problemes esthetiques, je voudrais juste redevenir « trop » maigre.
Bonjour ,
Mon epoux a 46 cet année et vis la crise de la transition de vie depuis 1 an et demi ,il commençait à sortir le soir alors que c’était un casanier , il faisait plein d’activité, ne voulait plus sortir en famille ,il faisait comme un celibataire et j’ai découvert qu’il me trompait avec son ex copine qu’il avait à l’âge de 20 ans et la cerise sur le gâteau c’est qu’il ne s’occupe plus de son enfant ,de moi et veux le divorce parce que j’ai découvert qu’il était infidèle .aujourd’hui j’ai fini par comprendre que je n’ai rien fait et que c’est lui qui a un probleme parce qu’il m’a fait culpabilisé et le pire ce sont les critiques , les insultes et j’en passe cela fait tres mal surtout qu’on ne sait pas le pourquoi de tout cela
Taisd.
Merci pour votre témoignage touchant. Votre situation est douloureuse et délicate d’autant qu’il y a un enfant en jeu. Dès lors, ne connaissant ni votre contexte, ni les origines réelles de votre situation personnelle et de couple, je me dois de rester humble face à la situation que vous décrivez.
Cependant, il serait peut-être utile de vous rapprocher des services sociaux de votre ville. Ils sauront vous orienter avec professionnalisme et vous aider avec justesse dans votre situation. Prenez courage.
Cordialement
Argh, ! j’espere que vous recevrez des réponses qui vont vous aider, personne ne mérite d’etre traité aussi mal :/
les admin : répondez rapidement à Taisd ! (pour moi ce n’est pas trop pressé, je ne suis pas confrontée à ce qu’elle vit)
Je suis actuellement dans cette crise enfin je pense. Elle est pour moi un vrai tsunami.Je suis remplie d’angoisses et de phobies, de peur de mourir, de peur de quitter mon foyer etc….. c’est compliqué car les phobies ne partent pas comme ça , j’ai enclenché quelque chose dans mon subconscient et je n’arrive pas à m’en détacher. Cela dure depuis 1 an avec des hauts et des bas. Je discute beaucoup avec mon mari, je suis accompagnée d’une thérapeute, d’un homéopathe mais malgré cela je trouve cela très difficile. En même temps je ne sais pas si c’est vraiment une crise? Bon courage à tous. Je pense prendre le bon chemin alors j’espère me débarrasser de ces phobies très rapidement. Je suis preneuse de tous les conseils et outils que vous pouvez avoir. Merci
Enfin j’aimerais bien qu’on me réponde aussi avant mes 70 ans, haha !
par rapport au titre de l’article je ne vois pas en quoi ce peut etre une mine d’or si on est partiellement immobilisé par l’age et le manque d’aisance financiere. Et tout ce que que ça POURRAIT apporter en tant que remise en question, on en profirait de toute façon bien mieux à 30 ou 40 qu’à 50 ou 60, puisque quelque part dans le second cas on sent confusément qu’on est considéré comme « mûr » et qu’on n’a donc pas d’autre choix que la « sagesse ». Pour moi à partir du moment où on perd le choix de l’ivresse (pour des raisons de décence, de ridicule, de santé, de responsabilités, de qu’en dira t’on….) meme sans forcément opter pour une approche folle et passionné de l’existence, on est déjà à moitié mort, on devrait pouvoir suivre d’instinct un équilibre entre ses désirs, ses valeurs et un minimum de faisabilité. Pour mi le seul remede est de ne jamais etre vieux quitte à décéder prématurément.
Bonjour et merci Chantou !
Je decouvre cet excellent article qui résonne ! En effet, si cette phase de transition de vie a entrainé chez certains proches des comportements parfois déroutants et angoissants, elle s’est révélée pour moi être un formidable moteur pour me lancer de nouveaux projets et défis… Finies les pensées limitantes, la vie n’étant pas éternelle, je sais qu’il convient de savourer chaque instant. Desormais je vis au présent, m’enrichis quotidiennement, m’entoure de personnes bienveillantes et fais du sport!
rien eu à la quarantaine j’ai été à peu près tranquille jusqu’à la dosprition de mes règles à 49, et la cinquantaine m’a tuée, mais plus exactement le poids sociétal de la dite cnquantaine, de la litterature à la médecine en passant pas la tronche qu’ont les gens de cet age malgré tous leurs efforts leur sport et leur yoga, la course à la performance qui est reconduite désolée de le dire mais pretendre le contraire est hypocrite depuis que les vieux ont décidé de s’offrir uen seconde jeunesse, lz pression de l’apparence… TOUT ! (et l’appellation SORDIDE de quinqua !) il semble que ce 50 toutes sources confondues soie uen sorte de mur, de coupret, de nevermore et c’est ça qui m’a flanqué la terreur d’etre jetée dans le wagon des vieux, car sinon je n’ai pas remarqué grand chose, quelques suées de ci de là trois fois rien de gélatine sur l’estomac qui part vite avec des pompes de la marche et des halteres et surtout plus de pain ni de gateaux (les biscuits diététiques et bio sont les pires ils sont horribles ils font gonfler) et peut etre 3 ou 4 rides un peu plus marquées (celles du menton sont moches mais j’ai trouvé des trucs efficaces pour me ravaler la façade sans depenser l’argent que je n’ai pas). je pense etre assez grande pour me depetrer seule de cette crise car j’ai remarqué qu’en entendre (ou voir) parler est encore pire, je suis la seule personne qui soit en mesure de me rassurer sur ce point et m’empecher de couler, car je ne ressemble à personne et els stigmates sur ma gueule me font beaucoup moins peur que ceux des autres imaginés sur moi.
Chère Lydia,
Merci pour votre commentaire, ainsi que la description de votre vécu et perception du passage du milieu de vie. Vous êtes en effet unique: chaque femme est unique et en ce sens votre expérience, votre discours et les mots que vous utilisez pour exprimer votre vécu le sont aussi (je vous cite « flanqué la terreur…wagons de vieux », »ravalement de façade », « stigmates sur ma gueule »)
La transition du milieu de vie peut être une mine de charbon ou une mine d’or. Dit autrement, dans le premier cas, la transition du milieu de vie peut être vécue très négativement et dans le second très positivement.
Personnellement, j’affirme qu’elle doit être vécue positivement (c’est tout le fil rouge de cet article). Mieux:j’affirme que la transition du milieu de vie est une période, une opportunité exceptionnelle de croissance, de développement personnel et spirituel, d’approfondissement de la connaissance de soi, d’ouverture et de créativité: jouir pleinement de cette opportunité, rechercher cette richesse est comparable à la découverte et à l’exploitation d’une mine d’or à ciel ouvert.
Prenez soin de vous (ce que vous semblez déjà faire)
Avec toute mon amitié
Chantou
Vous n’avez pas répondu à Iris. seriez-vous une de ces « gentilles » personnes tant qu’on ne vous contredit pas et sinon hop on igore ? mhhh ? ça me conforte dans la décision de m’en sortir seule.
Et meme question en quoi est ce une mine d’or ?
oups, *ignore* J’espere que ce n’est pas un de ces blogs qui envoie du vent et des lieux communs pour vendre un livre, ce genre de chose se voit beaucoup :/…….
Ici on n’envoie pas du vent: on partage des idées avec bienveillance, et surtout on donne!
:-))
ça évoluera peut etre positivement je commence à accepter des suggestions dans ce sens, mais j’ai besoin d’en passer par cette révolte… toutefois c’est une bonne chose de savoir qu’on peut trouver des conseils amicaux quelque part.
Merci Chantou !
(bon, ce qui est rassurant quelque part est que j’ai toujours eu un assez bon seprit de synthese et une vision globale des choses manquant de patience pour les détails et je ne suis pas rongée par l’ambition convaincue depuis toujours que rien ne se passe jamais comme on l’a prévu, ça peut aider). merci encore de m’avoir écoutée au meme titre que les autres bien que mon approche et mon vécu de la chose different du tout au tout 🙂
Mais tout de meme, pourquoi ce milieu de vie, et quelque chose d’aussi révoltant, déprimant serait davantage une opportunité que n’importe quelle épreuve ou renoncement dont l’existence est jalonnée ? si on n’a pas pu pleinement profiter de ses opportunités de jeunesse (blessures d’enfance, manque d’argent, soucis de santé mentale ou physique, sans compter que les possibilités étaient nettement moindres dans les années 70 80 ou 90, je reconnais dans des gens qui ont 20 ans aujoiurd’hui la fille que je voulais etre dans les années 80 et 90, j’aurais du me douter que je ne pouvais ruien cointre le zeitgeist et que ce serait la generation suivante qui en profiterait, (de plus il nous manque 10 ans, habituellement il s’écoule environ 20 ans avant que le terrain soie de nouveau favorable, pas 30, bien sur je suis encore la seule à avoir remarqué, peut etre que tout le monde le verra dans 10 ou 20 ans hein) pendant qu’on peut encore se fondre dans la foule sans se ridiculiser il manquera toujours quelque chose.
ce qu’il aurait fallu, c’est etre conscient de ce qui arrive à ce moment là en étant encore jeune, mais j’avoue que jamais je n’aurais imaginé que les vieilles dames et encore moins ceslles d’un « certain âge » (là ça craint, le poids de la vieillesse sans le respect et la classe) de mon entourage avaient été des jeunes filles, lorsque j’avais encore la chance d’en etre une. Quoiqu’il en soit si on est rongé par les complexes et les doutes étant jeunes en quoi ça peut il bien s’arranger avec un corps qui ne nous ressemble plus en plus ? J’ai beau arrivr à relativiser sur certains points et ne plus insister quand quelque chose ne me réussit pas, ce n’est pas uen chance on est juste face à un choix qui n’en est pas un, vivre aussi bien que possible ou crever comme un clodo, ça n’a rien à voir avec les choix d’un adulte. Enfin sur moi ça ne se voit pas trop et je suis encore en possession de la plupart de mes facultés (je n’ai perdu que des dents, j’ai des dents de pauvre) grace à la nature qui arrive quand meme a etre assez chic malgré cette vacherie que sont l’age dit « mûr » et la vieillesse. D’ailleurs étrangement je trouve assez souvent que les vieilles personnes sont plus attirants et intéressants (perso je trouve qu’un vieillard, homme ou femme, a quelque chose qui force le respect) que les gens de 50 ou 60 qui sont souvent un peu pitoyables ou ridicules parfos meme un peu agaçants ou du moins ne donnent pas envie d’y etre. (et leur course à la vie qui reste revient tellement cher ! c’est inabordable). Quoi qu’il en soit le tableau n’est guère enthousiasmant. La seule opportunité que j’y aurais vue est puisque je ne serai plus une femme adulte (je ne parle pas de la fécondité dont je me fiche comme d’une gigne mais du charme, de la fraicheur de la santé, d’une belle présentation qu’on soit jolie ou pas, la vieillesse est visuellement un défaut sans charme) et que je ne suis pas un homme de rejeter la sordide appellation de « madame » pour n’etre ni l’un ni l’autre mais plus que ça, chaman ou artiste. (à dispositions égales, la seconde option me branche plus car je me méfie de l’occultisme et les milieux new age ne m’attirent pas beaucoup, enfin ce sont els gens qui ne m’attirent pas, en fait 🙂 mais je parle, je parle, je laisse la place à d’autres intervenants 🙂 !
PS : Chantou, j’ai fait connaissance d’une jeune dame (d’une soixantaine d’années !) artiste cet après midi, elle est géniale, sympa, classe, marrante, et en meme temps c’est une vraie dame avec un je ne sais quoi de très XVIIIe siècle, quelle nature ! bref j’ai tout à coup beaucoup moins peur, quand je la vois je commence à entrevoir votre point de vue. Comme quoi… 🙂
moi je vis la crise de mon mari depuis plus d’un an…demon de midi une maitresse de 18 ans de moins que lui, me fait croire que c’est fini. pour me plaquer 3 mois apres en me faisant croire qu’il partait reflechir et retrouver la flamme…faisant meme des projets quand il reviendrai.
3mois apres j’ai eu le droit a tous les reproches…mauvaise epouse mauvaise mere juste une bonne, que sa famille était nulle qu’il m’avait trompe a cause des resultat scolaire de mon aine, que ses enfants etaient mal eleves mal eduques des mollusques invertebres et qu’il aurait su il n’en aurai jamais fait. pour finir par evidement une fois qu’il avait repris avec sa maitresse qu’il avait perdu 20 ans de sa vie avec moi et qu’il avait mis 20 ans a s’apercevoir que ca ne marchait pas entre nous. aujourd’hui je n’existe meme plus ne me demande jamais comment je vais, quel affront je suis mere au foyer et tout saccrifie pour ma famille mon mari et mes enfants meme cela il me le repproche alors que c’est lui qui m’a fait arreter mon travail bref moi et les enfants nous sommes tous les maux de son mal etre. il vit dans sa bulle a un comportement d’ado attarde a 52 ans va t’il un jour se reveiller et prendre conscience que le probleme vient de lui? rique t’il de revenir un jour ?
@ Corine, c’est formidable tout ce que vous avez fait, pour vos enfants, votre mari, et vous ; ce qui arrive n’était pas prévisible ; ne gâchez pas vos plus beaux souvenirs ; gardez-les et prenez une autre route ; appuyez-vous sur ces années passées et allez au-delà ; ne regrettez rien ; il y a un moment difficile, c’est sur, mais tout passe, tout change, parce que c’est la vie ; je vous souhaite du courage pour aller de l’avant ; n’attendez pas qu’il revienne, et traitez-le comme il est : un ado ; soyez ferme avec lui, et très gentille avec vous-même ; sourire; benj tao
Je tombe par hasard sur cet article que je trouve excellent! En ces temps de covid, il résonne en moi. 50 ans pile poil et je traverse tout ce que vous décrivez. Je vais devoir me reconvertir professionnellement et surtout décider enfin pour moi même. Mes enfants sont partis vivre leur vie l’année dernière et avec mon mari nous ressentons comme un grand vide! c’est dur: votre article me donne de l’espoir et la force d’aller vers l’avant. Merci de l’avoir publié:)