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Les scandales à répétition au sujet de l’industrie de la viande et de l’abattage des animaux doivent nous faire réfléchir à ce que nous mangeons. Outre le côté éthique de la chose, qui s’avère primordial pour moi, une question importante à se poser est la suivante : « Est-ce que c’est bon pour ma santé ? » La réponse est non. À moins de consommer, de temps en temps, de la viande provenant d’un petit élevage local, vous vous faites du mal en mangeant de la viande d’origine industrielle.
Quels sont les risques de la consommation de viande pour la santé ?
1. Du cholestérol et un risque cardiovasculaire augmenté
La viande contient des graisses (les lipides) en quantité variable (de 2 à 30%) selon le type de viande, le morceau choisi, le type de cuisson (grillade, au beurre, à l’huile…), si le morceau de viande a été dégraissé ou non. Le bœuf et le porc font partie des viandes les plus grasses. 20 à 50% des lipides présents dans la viande sont des acides gras saturés, responsables de l’augmentation du « mauvais » cholestérol (LDL). Le LDL-cholestérol est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires (infarctus, AVC, artérite des membres inférieurs pouvant être source de plaies ou d’amputation), par son action athérogène sur les artères : il favorise le dépôt de plaques de lipides, qui bouchent secondairement les vaisseaux sanguins.
De plus, toutes les viandes, même les viandes maigres, contiennent du cholestérol, en particulier les abats. La viande rouge augmenterait également le risque de déclarer un diabète de type 2.
2. Un risque majoré de cancer
Le Centre International de Recherche sur le Cancer, faisant partie de l’OMS, a évalué en 2015 la cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée1. Pour cela, le CIRC a analysé plus de 800 études scientifiques publiées dans le monde, qui recherchaient des associations possibles entre une douzaine de cancers et la consommation de viande rouge ou de viande transformée. Les résultats sont les suivants :
- La viande rouge est classée comme « probablement cancérogène » pour l’Homme, principalement concernant le cancer colorectal, mais aussi le cancer du pancréas et de la prostate. Le cancer colorectal (gros intestin) est le 3e cancer le plus fréquent en France avec plus de 42 000 nouveaux cas et 12 700 décès en 2012.
- La viande transformée a été classée comme cancérogène pour l’Homme, et provoque le cancer colorectal. Il a été évalué que » chaque portion de 50 grammes de viande transformée consommée quotidiennement accroît le risque de cancer colorectal de 18%. »
3. Intoxication alimentaire par contamination bactérienne
La promiscuité dans les élevages industriels a pour conséquence que la majorité des animaux qui sont en vente (surtout les volailles) sont malades2. 95% des poulets sont atteints d’une contamination par E.Coli (marqueur de contamination fécale) au cours de leur élevage. 40 à 75% de ceux en vente sont toujours malades. 8% des poulets sont porteurs de la salmonelle, plus de 70% sont infectés par le Campylobacter, pour ne citer que ces bactéries… Les contaminations de l’Homme par une viande malsaine vont être responsables principalement de gastro-entérites, mais peuvent s’avérer gravissimes chez les personnes fragiles telles que les enfants, les personnes d’un certain âge, ou dont le système immunitaire est défaillant. D’où l’importance de bien cuire la viande pour éviter au maximum une toxi-infection alimentaire.
Réduire la viande : Quels bénéfices pour votre santé ?
Diminuer votre consommation de viande, voire la réduire à néant, sera bénéfique pour votre corps. Peut-être même que devenir végétarien serait la meilleure décision de votre vie. Cela aura un impact positif sur votre santé.
1. Un risque cardiovasculaire moins élevé
Plusieurs études scientifiques ont constaté que les végétariens avaient en général une tension artérielle plus basse3. D’autre part, qui dit moins de graisses saturées et de cholestérol, dit risque cardiovasculaire qui diminue : diabète, accidents cardiaques, AVC, problèmes d’artères des membres inférieurs. Il est même possible – et très probable – que vous perdiez quelques kilos superflus 🙂 Les végétariens ont 32% de risque en moins que les non-végétariens d’être victimes d’une maladie coronarienne4 (angine de poitrine, infarctus). C’est juste énorme !
2. Moins de cancers colorectaux
Les céréales, légumineuses, fruits et légumes, que l’on trouve en grande quantité dans un régime végétarien, sont des aliments de bonne qualité nutritionnelle. Ils apportent des vitamines et antioxydants bénéfiques pour l’organisme, car ils diminuent le stress oxydatif et le risque de cancer, notamment colorectal.
Supprimer la viande de son assiette permettrait de réduire le risque de cancer colorectal de 22% !5
3. Une espérance de vie plus longue ?
D’après une étude publiée en 2013 dans le JAMA6 ( Journal of American Médical Association), ayant étudié la mortalité d’une population sur une durée de 6 ans, il a été constaté une mortalité plus faible de 12% chez les végétariens. Une étude récente que7 l’on trouve aussi dans le JAMA vient de confirmer ces données. Une diminution de consommation de 3% des protéines animales au profit des protéines végétales diminue la mortalité entre 19 et 34%. Inversement, si vous augmentez de 3% votre consommation de protéines végétales, les risques de mortalité baissent de 10% (12% pour les pathologies cardiovasculaires). Je pense que vous l’avez compris, pour vivre mieux et plus longtemps, réduisons notre consommation de viande !
Comment remplacer la viande dans votre assiette ?
Manger moins de viande et de protéines animales, c’est bien joli, mais concrètement comment faire ? Pas de panique, vous n’allez pas être condamnés à manger du tofu et des pois chiches à longueur de temps ! Il existe de nombreuses sources de protéines végétales, et vous ne risquez pas de vous ennuyer : pâtes et riz complet, seitan, tempeh, produits similicarnés, céréales, légumineuses… Vous avez l’embarras du choix ! Si vous avez encore le courage de lire un peu, je vous invite à consulter un de mes articles récents « Où trouver les protéines végétales ? » Vous y découvrirez une grande partie des réponses 😉 Et vous, que pensez-vous pouvoir faire pour améliorer votre santé ?
Article invité écrit par Amélie DU PEUTY, médecin généraliste et auteur du blog Devenir Végétarien.
Pour finir, j’aimerais vous inviter à suivre la vidéo suivante qui se penche également sur la question de la santé et qui présente une action simple à faire pour être en bonne santé.
Crédits photo: kreuzfeld, niekverlaan, skeeze, jill111
Sources :
- Le Centre international de Recherche sur le Cancer évalue la consommation de la viande rouge et des produits carnés transformés, communiqué de presse du 26 octobre 2015.
- « Faut-il manger les animaux? » de Jonathan Safran Foer.
- Vegetarian Diets and Blood Pressure, étude scientifique parue dans le « JAMA Internal Medicine » en avril 2014.
- Risk of hospitalization or death from ischemic heart disease among British vegetarians and nonvegetarians: results from the EPIC-Oxford cohort study, étude publiée en 2013 dans le « American Journal of Clinical Nutrition ».
- Vegetarian Dietary Patterns and the Risk of Colorectal Cancers, étude scientifique parue dans le « JAMA Internal Medicine » en mai 2015.
- Vegetarian Dietary Patterns and Mortality in Adventist Health Study 2, étude scientifique parue dans le « JAMA Internal Medicine » en juillet 2013.
- Association of Animal and Plant Protein Intake With All-Cause and Cause-Specific Mortality, étude scientifique parue dans le « JAMA Internal Medicine » en août 2016.
En ce qui concerne une SURconsommation de viande, oui, votre article est parfait.
Mais ne la confondez pas avec une consommation normale, vous introduisez un doute accusateur inutile chez les gens qui consomment de la viande modérément.
Il faut savoir, par ailleurs, que « manger végétarien » n’est pas forcément synonyme de « manger équilibré » ou « sain » et des dangers sont aussi présents ici : carences (menus mal composés), pesticides et autres trucs chimiques (si pas bio), etc.
Bonjour Françoise,
Loin de moi l’idée de stigmatiser les personnes qui consomment de la viande, par cet article j’entends sensibiliser à une cause qui m’est chère. Bien entendu chacun est libre de faire ce qu’il veut !
Concernant le côté « équilibré » d’un régime, il est sûr qu’il faut être vigilant, quelle que soit notre façon de nous alimenter; pour ma part je mange bien entendu bio, sinon ma démarche perdrait de son sens. Il est tout de même possible de stopper la viande en ayant une alimentation non carencée, bien sûr cela demande de passer un peu de temps au départ à se renseigner pour bien faire les choses.
Après, au sujet de la « surconsommation » ou non de viande : il est sûr que nos sociétés ont tendance à en manger beaucoup plus que nécessaire et qu’une surconsommation est nocive. Mais plus je me documente, et plus je m’aperçois que supprimer même des doses « normales » de viande quotidiennes pourraient être bénéfiques pour notre santé. Les chiffres concernant le risque de cancer du colon majoré de quasi 20% en consommant 50g par jour de viande transformée (jambon, saucisses, charcuterie, nuggets…) parlent d’eux mêmes.
Ma démarche est également sous-tendue par des soucis éthiques et environnementaux dont je n’ai pas parlé, mais qui me motivent à ne plus consommer de viande du tout. Et je me porte bien 😉
Bonjour,
Je suis d’accord avec Françoise quand elle dit qu’il faut parler de la surconsommation de la viande et aussi de la viande de mauvaise qualité. Par rapport à la qualité j’aimerais dire que, d’après moi, la bonne qualité de la viande vient de comment les animaux sont élévés et comment sont-ils traités (pratiques biologiques ou biodynamiques). Que la viande vienne d’un « petit élevage local » n’est pas une garantie de qualité, étant donné que l’éleveur peut utiliser de la nourriture provenante de l’agriculture extensive et peut leur injecter plein de médicaments non nécessaires.
En effet, la consommation de viande de mauvaise qualité introduit dans nostre corps plein de produits toxiques. De plus, une surconsommation de protéine animale de mauvaise qualité charge en trop le système d’élimination de l’organisme et favorise la prolifération de la flore intestinale de putréfaction.
Néanmoins, il faut aussi voir les bons points de manger de la viande de bonne qualité:
– Fer avec une biodisponibilité plus grande que le fer végétal.
– Vitamine B12.
Une diète basée en fruits et légumes et qui inclût un peu de viande de bonne qualité (2-3 fois la semaine) est une diète saine. La inclusion de beaucoup de fruits et légumes dans le régime aide à réduir les desavantages de la consommation de viande.
Jasmine Cadena
Bonjour Jasmine,
En effet il faut être certain de la provenance des produits que nous mangeons, et je vous rejoins sur les effets de la surconsommation de viande.
Manger de la viande est plus « simple » concernant le fer et la B12, tout comme ne pas en manger a aussi ses avantages 😉
et si nous mangeons moins de viandes d’origine douteuses peut être, que notre corps ne les assimilera plus du tout ou très mal je ne veut rien justifier et je souhaite qu’un jour la nourriture changera, toute les nourritures physiques et spîrituelles , toxiques ou non nous devons nous les assimilées je pense, juste une interrogation pour nos esprits
Hé bien ! L’article en a soulevé, des polémiques.
En ce qui me concerne, depuis toujours je ne suis pas « viande » et dès que j’ai quitté le foyer parental, j’ai arrêté d’en manger. J’ai cependant gardé le poisson, les moules, crevettes, crabe etc…car en Bretagne tout est frais et bon.
Il suffit de se renseigner intelligemment pour ne pas avoir de carences, les gens ne font pas tout « au pif » (Françoise), et les naturopathes servent à quelque chose ! Il est vrai qu’à un moment donné de ma vie, mon médecin (qui n’était pas « pro-viande ») a trouvé que je manquais presque de fer, j’étais juste à la limite : comme, rien à faire, impossible pour moi d’en manger, il m’a prescrit de l’Inofer, fer qu’on donne aux mamans enceintes, et qui est le plus inoffensif. Très efficace. Mais il y a d’autres sources de fer, il faut se renseigner.
Si tous ceux qui mangent de la viande devaient, au préalable, aller zigouiller un gentil petit veau aux yeux bordés de longs cils noirs et à l’oeil cerné d’un fin trait noir comme de l’eye-liner, ou faire la peau à une mignonne vachounette qui vient vous pousser du coude avec sa bonne tête pour avoir des fleurs des champs qui sont dans votre main…je parie qu’il n’y aurait pas foule pour se dévouer.
Comment se fait-il que des milliers de gens dans le monde arrivent à vivre en forme en se passant de viande ? (sans avoir nos « critères » de normes…mises au point par qui, déjà ? ha oui, des médecins branchés par les labos pharmaceutiques, youhou).
37 ans que je me passe de viande et bizarrement, je ne suis jamais malade, curieux, non ? Quant aux carences, je rigole : soyons intelligents, renseignons-nous sur quoi manger d’autre pour les éviter.
Bonjour Libellule,
Eh oui le monde compte des millions de végétariens/végétaliens qui se portent très bien, les habitudes ont la peau dure…et le lobby de la viande est omniprésent et puissant au possible.
Il est temps de faire autrement !
Merci pour ton message 🙂
je ne parle pas de carence du tout je vient de la campagne j’ai tué des animaux pas plus d’une vingtaines aux total je crois, pas des veaux, j’ai achevé des animaux blessés à la chasse, et d’autres consciemment poules lapins etc il est essentielle que l’animal ne souffrent pas ou reçoivent une doses d’endorphine naturelles provenant de son propre corps contrairement à ce que l’on pensent c’est ce qui ce passent le plus souvent à la chasse, voir un animal ou un homme mourir nous rappelle que nous allons nous même mourir chose que les Végan on tendance à oublier j’en ai très souvent l’impression, après oui l’alimentation doit être réviser de A à Z, et quand j’entend dire que si on élève plus d’animaux d’élevages on pourra en faire des animaux de compagnies, hum hum je pense que l’on risque la situation inverse, ne plus avoir d’animaux du tout je n’ai pas de source c’est juste une réflexion dans ce monde étrange ou certains semblent avoir le monopole de l’émotions sur ceux qui seraient de méchant meurtrier, salit et déprécier par de plus en plus de citadins ou des néo ruraux qui veulent s’approprier un mode de vie qu’ils ne connaissent pas sans s’intéresser au autochtones, les éleveur les paysans les chasseurs la chasse est en crise et le manque de chasseur à aussi un très mauvais effet, surpopulation = paysans qui se plaignent des dégâts = les sociétés de chasse ne peuvent payé, les dégâts donc animaux enfermés par des grillages donc surpopulation car pas assez de chasseur ou chasseur un peu trop vieux , alors les animaux sauvages en enclos ( souvent 10000 hectares ou moins ou beaucoup plus) donc agrainages surabondant, les cerfs (ils prennent à l’échelle nationale le pas sur les sangliers et chevreuil surtout dans l’est de la France) détruisent la forêts c’est très impressionnant, risque de maladies par surpopulation, je suis d’accord le système actuelle de séparation et de ségrégation organisé par des pseudos écologistes va à long termes causer des dégâts irréversibles, et créer l’inverse de ce que les gens voudrait faire c’est à dire permettre à tous de vivrent, je pourrait poursuivre et compléter mon analyse encore très longtemp comme cela tant le sujet est passionant et sans fin
Dany je crois qu’on s’égare un peu du sujet initial de l’article, qui visait à traiter les bienfaits pour la santé d’une diminution de la consommation de viande.
Personnellement, je ne connais rien aux problématiques des chasseurs et des régulations de populations animales, chacun son domaine…
En revanche, en tant que médecin je côtoie la mort quasi quotidiennement donc je ne me sens pas en dehors de la réalité. Et tout comme j’ai à coeur de soulager au mieux les souffrances de mes patients, j’essaie par mes choix de vie de ne pas provoquer de souffrances inutiles aux autres êtres vivants.
je ne me suis pa éloigner du sujet du tout en fait car j’ai ici soulever un lièvres de belle taille, donc vous seriez un moine bien habillé?, si certaines bêtes ne sont pas tué elle diparaitront, contrairement à l’homme qui s’entretura peut etre encore longtemp et ce même avec un régime végan ( voit pire), je suis d’accord de réduire ma conso de viandes et poisson (c’est commencé d’ailleur) mais trop peu de monde connaissent mes arguments, c’est vous qui vous égarez et éludez le sujet, comme beaucoup de médecins d’ailleur, que veut dire éthique et bien selon moi ca ne veut pas dire pratiquer un angélisme primaire et facile, les choses sont toujour plus compliqué qu’il n’y parait, d’ailleurs le serpent se mordant la queue, les viandes sauvages commence a devenir de moins bonne qualités, pas seulement à cause des paysans ( mais des militaires et de certains gérant de chasse ) mais apparemment tout le monde s’en fout, on crie haro mais on ne fait rien, on laisse les gens vivrent dans un communautarisme perfide un chacun chez soi, un confiance mensongère, sans soulevé les vrai problème, nous nous cachons derrière le professionnalisme, pour aux final ne rien faire, je pourrai continuer les parralèles et en faire de bien plus surprenant encore pendant longtemps, donc je vous laisse tranquille et à vos réflexions personnel, oui les produit animaux et organique vivant, (marre d’entendre parler de viandes mortes la viandes est vivantes après la mort de l’animal, marre d’une récupération du bouddhisme par les végans et de la récupération de nombreux auteurs de SF d’ont on arrange les propos pour leur faire dirent ce que l’on veut lisez Asimov dans cher Jupiter 2342 c’est bien sur fictif mais ce texte peu connu interroge,) on rêvent de conservé une société sauvage mais on fait tous pour qu’elle n’existe plus c’est mon propos peu important pour moi qu’il paraissent hors contexte. j’encourage aussi des personne à manger moins de viandes, car c’est une évidence, à l’heure actuelle, une autre interrogation, souffrance inutile, utile?
re-bonjour à tous
Je n’ai ni parlé de « pif » ou de naturopathe (Libellule), ni piétiné le végétarisme (re-Libellule, avec tentative d’intimidation à 2 sous, excuse mais je le ressens comme ça), ni dit que l’article tentait de « stigmatiser » qui que ce soit (Amélie), je n’ai fait qu’une analyse rapide de la situation, sans parti-pris. Encore une fois, une interprétation (hâtive) malvenue vient brouiller les cartes.
En ce qui me concerne, je ne suis pas « viande » (sans être à proprement parler végétarienne) mais je suis intolérante au tofu. Question de dosage…
Pour faire écho à Dany : ma mère adorait les animaux mais aussi la viande. Pour elle, un rôti, c’était de la nourriture. Notre chienne, notre chat, eux, des membres de la famille. Là encore, question de dosage…
Bon j’arrête là moi aussi. Le débat ne sera jamais clôt, semble-t-il.
Bonne journée à tous
Bonsoir,
Juste pour que ça soit clair: j’ai été végétarienne pendant 3 ans pour une question éthique. Aujourd’hui je mange de la viande, pas très souvent, et toujours en faisant attention à sa qualité. Je ne suis pas du tout contre le végéterianisme, mais je ne suis non plus contre ls consommation rationelle de viande du point de vu diététique. Une autre histoire est la morale… En tout cas, c’est clair que, d’après moi, il faudrait avoir une diète plutôt végétarienne. C’est ce que je conseille et ce que je fais moi même!
Bonne soirée à tous!
Cordialement,
Jasmine Cadena
Jasmine, tu as la parole de la sagesse ! 😉