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Pensez-vous que l’on puisse se passer de protéines et rester en bonne santé ? Évidemment, non. Les protéines font partie de la composition de toutes nos cellules, de nos muscles jusqu’aux neurones. Autre question à présent, pensez-vous que l’on puisse se passer de protéines animales et rester en bonne santé ? En d’autres termes, peut-on choisir une alimentation 100% végétale sans avoir de carences, ni être cachectique pour autant ? … Vous hésitez ? La réponse est pourtant : oui ! Si cette affirmation vous surprend, laissez-moi vous expliquer comment cela est possible.
Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger
Tout être humain est composé de cellules. Le corps que nous utilisons chaque jour est un simple ensemble de cellules. De petites unités qui fonctionnent en symbiose, contrôlant et régulant ainsi nos fonctions vitales : notre température, notre respiration, notre fréquence cardiaque, notre digestion etc. Chaque cellule est composée d’un nombre considérable de molécules de différente nature. Parmi elles figurent les protéines, les glucides, les lipides, les vitamines, l’eau et les sels minéraux qui servent à fabriquer et à faire fonctionner les petits organes (organelles) de la cellule elle-même. Pourtant, chaque seconde environ 2000 cellules meurent dans notre corps ; autant de cellules qu’il va falloir remplacer et pour lesquelles nous allons avoir besoin de tous les éléments nécessaires à leur fabrication. Pour cette unique raison ; cette synthèse de nouvelles cellules, nous avons besoin de manger, tous les jours, toute notre vie.
Tu ne tueras point
Il est communément admis que pour nous nourrir, depuis pratiquement toujours, les hommes chassent ou pêchent. Nous mangeons également des céréales, des légumineuses, des fruits et des légumes. Toutefois, l’essentiel de notre repas, ce qui “donne de la force, de l’énergie” c’est la viande ou le poisson, donc les protéines animales.
Cette évidence n’a jamais posé de problème dans la plupart des esprits. D’ailleurs les cartes des restaurants français en témoignent : viande, poisson, crustacés à tous les plats, accompagnés de légumes, céréales ou légumineuses. Les protéines animales sont le socle de notre alimentation. Nous le savons depuis tout petit, il faut manger de la viande pour grandir et être fort !
Partant de là je pensais comme tout le monde qu’il était important de manger chaque jour ses 11% de protéines pour aider notre corps à fabriquer de nouvelles cellules pour nous défendre. Et évidemment lorsque l’on me parlait de protéines, tout comme je l’avais appris sur les bancs de la faculté de médecine, on me parlait de protéines animales. Elles sont bien l’apanage des animaux non ? Les protéines se trouvent dans les animaux et les glucides dans les pâtes, le riz, les pommes de terre etc. Sauf que… non.
Une phrase toute bête que j’entendais de plus en plus, qui contrastait sérieusement avec mes cours était « mangez moins de viande, c’est bon pour la planète ». Cette affirmation m’a intriguée. Je me suis mise à faire quelques recherches afin de savoir si il n’y avait pas de risque pour la santé à manger moins de protéines animales. Logiquement je suis allée voir du côté de l’état de santé des végétariens (pas de viande, ni poisson, ni crustacés), des végétaliens (pas de viande/poisson/crustacés ni dérivés tels que produits laitiers, beurre, œufs etc.) et là j’ai commencé à me poser beaucoup de questions sur ces fameuses protéines animales et la fausse importance qu’on leur accordait.
Ma première découverte a été tout bêtement qu’il existe des protéines végétales dont les propriétés nutritives sont parfaitement équivalentes aux protéines animales. C’est à dire que si vous ne consommez que des protéines végétales en quantité « excessives » vous prendrez du poids, du muscle. Vous pouvez donc être un sportif, musclé tout en excluant les protéines animales.
Ensuite, je me suis demandée si les protéines végétales étaient mieux que les protéines animales. J’ai consulté les bases de données médicales et lu quelques ouvrages sur la question de l’état de santé des végétariens. Et tous rapportent la même observation : on est en meilleure santé et meilleure forme lorsque l’on ne mange pas d’animaux. Paradoxal à première vue pour les omnivores que nous sommes depuis des millénaires. Et pourtant, il suffit de regarder la qualité de la viande que nous consommons pour comprendre en quoi nous gagnons en santé et en vitalité en l’excluant de notre alimentation.
La santé vient en mangeant
Pour parler de l’aspect qualité, parlons également de l’aspect hygiène. Je ne sais pas si vous vous êtes déjà questionné sur la manière dont se retrouvent les animaux dans nos assiettes. La réalité à laquelle j’ai été confrontée m’a laissée totalement perplexe. En tant que futur médecin, j’ai été vraiment choquée des conditions d’hygiène déplorables qui entourent la transformation des animaux en cadavres puis en viande emballée dans les abattoirs. N’hésitez pas à vous renseigner et à rechercher des vidéos sur internet pour vous faire votre propre opinion. Pour ma part, médicalement voici ce qui m’a perturbée :
– Les animaux que nous mangeons sont MALADES. La quasi-totalité (plus de 95%, voir les références pour plus d’informations) des animaux proviennent d’élevages intensifs. Cela rend la notion de suivi vétérinaire illusoire. Regardez quelques vidéos (Earthlings par exemple) et vous verrez que ce que l’on vous sert, ce sont des animaux qui souffrent au choix, d’ostéoporose, d’abcès, de septicémies, de fractures ouvertes, de plaies suintantes, de malnutrition. En d’autres termes ce sont des maladies pour lesquelles vous seriez hospitalisé si vous les aviez. Si on vous disait : cette vache a de la fièvre, une plaie qui suinte avec quelques mouches qui y ont pondu leurs œufs. Cependant, ne vous inquiétez pas on vous la nettoie, on vous la prépare et vous n’y verrez que du feu ! Vous le mangeriez, votre steak saignant ?
Moi non, notamment car il ne faut pas rêver, les protéines de l’inflammation, de la maladie, vont se retrouver dans votre corps. Et à partir de là, qui sait quelle réaction va avoir votre système immunitaire. Quelles interactions vont se faire par la répétition des contacts entre les animaux malades et vous durant toutes ces années de régime omnivore ? Et pour finir, quel genre de maladie cela va-t-il créer en vous, au bout de 20 ans, 30 ans ou demain si votre intestin ne réussit plus à gérer l’infection ? Serez-vous la prochaine victime d’une bactérie telle que Escherichia coli, Listéria ou bien d’autres qui font régulièrement la joie des médias ?
– En comptant sur la chance et en estimant que l’animal n’est pas trop malade, la chaîne automatisée de l’abattoir aura tôt fait de le contaminer. Les animaux sont souvent trempés (une fois morts ou à demi, car contrairement à l’idée que l’on s’en fait les animaux ne meurent pas toujours) dans des cuves de chlore afin de tuer les bactéries qui pourraient s’y trouver. Sauf que, les contrôles bactériologiques effectués par la suite, montrent que ce bain contamine encore plus la viande. Les conditions d’hygiène sont totalement absentes (imaginez les 3 millions d’animaux tués quotidiennement en France qui passent tous par le même bain, un peu de chlore ne sert à rien !).
Par la suite, il arrive que les animaux n’aient plus le goût de la viande. Et comme le goût du chlore, ce n’est pas très vendeur, les animaux peuvent être trempés dans des « bouillons de volaille » histoire que le goût soit restauré.
– Côté nutrition, n’oublions pas que ces animaux dits « d’élevage » ne consomment pratiquement jamais pour ne pas dire jamais leur nourriture naturelle et ce, même si il y a une belle étiquette avec une prairie et des animaux/poules etc. collée sur l’emballage. Et si quelques vitamines se trouvent dans leur chair, c’est uniquement parce qu’on les a supplémentés à l’aide de médicaments. Pas très naturel tout ça et… forcément carencé. Les animaux que nous consommons ont donc une mauvaise alimentation. Ils sont aussi très peu nutritifs pour l’homme en « bonnes choses » utiles pour le corps.
Sachant que ce que nous mangeons, est le reflet de ce que notre nourriture « a eue à manger », nous serons surtout composés de graisses et d’additifs en tout genre. Si les poules mangent des farines OGM ou issues d’animaux morts broyés ; nous mangeons la même chose ! Quelle que soit la sauce appétissante qui recouvre nos protéines animales, notre corps ne s’y trompe pas, il fait la différence. Et surtout, il ne trouve pas ce qui lui est utile pour construire des cellules efficaces, en bonne santé.
– De la même manière, les animaux sont quasiment tous supplémentés en pesticides et antibiotiques pour accélérer leur prise de poids. En d’autres termes, on leur donne ces molécules pour les rendre obèses et pouvoir en vendre plus au poids. Pour comparaison, un végétal qui a également été soumis à un traitement par pesticides au cours de sa croissance contiendra toujours environ 12 fois moins de pesticides en quantité que des protéines animales ; notamment car les plantes ne peuvent pas fabriquer de cellules graisseuses pour stocker tous ces produits chimiques. En consommant des protéines animales, inévitablement, vous allez stocker à votre tour, les pesticides, antibiotiques, hormones et autres molécules nocives dans vos propres cellules graisseuses (adipocytes).
Que risque notre corps ?
Côté santé au quotidien, de plus en plus d’associations inquiétantes sont mises en évidence. Malheureusement, ceci ne concerne pas le programme actuel de la formation des futurs médecins. Et à première vue, ce ne sera pas le cas avant au moins 15 ans. De ce fait, la majorité des médecins ne sont même pas au courant de ces découvertes, puisque « non rentables » pour beaucoup d’acteurs de l’économie de la santé. Et pourtant, depuis des années des liens et des preuves sont disponibles :
– cancer et protéines animales : les végétariens ont un taux de cancer entre 30 et 50% inférieur aux omnivores [1]. Pour l’expliquer, quelques pistes ont été trouvées, comme le fait que les végétariens aient un taux de cellules “natural killer” deux fois plus élevé que les omnivores (ces cellules s’occupent de détruire les cellules anormales comme les cellules cancéreuses) [2].
– ostéoporose et produits laitiers/protéines animales : les pays où les populations ne consomment pas de produits laitiers sont ceux où l’ostéoporose n’existe pratiquement pas. De la même manière, les protéines animales provoquent une augmentation de la perte de calcium dans les urines (calciurie). Cela favorise encore plus la survenue d’une fragilité osseuse et d’une ostéoporose.
– cholestérol et protéines animales : supprimez les protéines animales, vous n’aurez plus de cholestérol ! (hypercholestérolémie). Les végétaliens (pas de viande/poisson/crustacés ni dérivé animal tel que produits laitiers/œufs), n’ont jamais de surplus de cholestérol, tout simplement. En effet, le cholestérol provient uniquement des produits animaux, quels qu’ils soient.
– produits laitiers (ce sont aussi des protéines animales !) et migraines
– produits laitiers et infections ORL à répétition (rhumes, sinusites, bronchites, angines).
– protéines animales et maladies auto-immunes
– produits laitiers et allergies
– pour continuer cette liste, n’hésitez pas à consulter les liens en fin d’article
Bien entendu on peut se dire que ce ne sont que des hasards ; mais lorsque l’on observe l’état de santé des végétaliens, c’est à dire des individus qui ne consomment aucune protéine animale, on se rend compte que l’état de leurs corps n’a rien à voir avec celui de la majorité de la population 3. Leur système immunitaire leur évite bien des maladies.
Après avoir pris connaissance de toutes ces données, il ne m’a pas fallu trop de temps pour opter pour un régime alimentaire végétarien. Puis je suis passé végétalien, en supprimant toute protéine animale. En pratique, comment fait-on ?
Muscle végétal
Une des choses fondamentales à comprendre c’est qu’il faut remplacer les protéines animales par des protéines végétales. Il ne faut pas se contenter de les supprimer. Sinon, c’est là que vous risquez soit des carences, soit une dénutrition. Elle se caractérise par une perte de poids trop rapide comme dans certains régimes amaigrissants.
Si vous consommez quotidiennement chacune de ces catégories, vous ne risquez pas de carence. Ni en fer, ni en calcium, ni en une autre molécule. La seule carence que vous pouvez développer à long terme est une carence en vitamine B12. Elle se remarque seulement après plus de 4 ans de régime sans AUCUNE protéine animale. Toutefois, elle n’est pas systématique et votre médecin peut facilement la dépister. Si cela vous inquiète, consultez le site de l’AVF (association végétarienne de France). Une documentation établie par des médecins sur ce point particulier est disponible pour vous rassurer.
En repartant sur les molécules nécessaires à nos cellules pour bien vivre, vous allez trouver dans les aliments suivants des :
– protéines = légumineuses (et céréales complètes voir point suivant) c’est à dire, lentilles, pois chiche, haricots, soja…
– glucides = les céréales surtout comme le riz, le quinoa, le sarrasin, la semoule, le millet, les pommes de terre, les patates douces, les topinambours, le manioc, le blé (attention aux intolérants au gluten)… Préférer les céréales complètes pour une plus grande richesse en protéines (dans le germe), vitamines et minéraux.
– lipides = noix et fruits à coque comme les amandes (riches en calcium également), noisettes, graines de tournesol, de sésame, de lin (riches en omega3)
– vitamines = fruits et légumes quasiment “à volonté”, graines germées, et tout le reste des aliments mais présent en quantité moins importante
– minéraux = idem vitamines
– eau à volonté
Pour remplacer les laitages, il existe des yaourts de soja nature ou aux fruits. Des “fromages” végétaux existent, mais sont difficilement trouvables en France. Si vous aimez cuisiner, vous pouvez les fabriquer vous-même. En ce qui concerne le lait, une fois de plus, des laits végétaux sont en vente. Il y a par exemple, le lait de soja, d’amande, de riz, etc.
Par rapport au beurre, sachez qu’il existe des beurres végétaux vendus même en supermarchés. Ou sinon, la purée d’amande remplace avantageusement le beurre en tartine (mixer longtemps des amandes jusqu’à ce qu’un dépôt d’huile d’amande se forme, conserver au sec). Pour la cuisine, les huiles végétales sont à votre disposition.
Pour être sûr de ne pas faire d’erreur, vous donner des pistes ou vous rassurer, faites une fois encore un tour sur le site de l’AVF. Les régimes végétariens et végétaliens y sont expliqués en détail avec des informations médicales et pratiques plus détaillées. Leur guide pour les débutants est vraiment exhaustif.
And the winner is…
Au final nous avons à l’heure actuelle foule d’arguments médicaux en faveur de l’exclusion des protéines animales. Il ne faut pas oublier l’impact écologique et économique que permettrait l’abandon de la consommation d’animaux et dérivés. Certes, il y a le goût de la viande, du lait ou bien des œufs que nous aimons particulièrement. Toutefois, ce goût là, que nous apprécions à peine quelques minutes, vaut-il une vie entière de maltraitance animale puis d’abattage ? Et pour nous, ces quelques minutes de goût, valent-elles toutes les maladies auxquelles nous nous exposons ? Valent-elles ces milliards d’euros gaspillés à chercher des médicaments pour gérer les conséquences… alors que la vraie solution, la prévention, est à la portée de chacun d’entre nous ?
Pour moi, la question ne se pose plus. Et pour vous ?
Article écrit par Ludivine de L’ordonnance ou la vie
Pour en savoir plus (liens sponsorisés pour les ouvrages) :
Sites :
Vegplanete : lire à partir du point 128 pour les arguments sur la santé
Je vous laisse avec une vidéo complémentaire. Elle livre quelques avantages qu’il y a à adopter un régime alimentaire sain :
Crédit photo : mewwhirl
Pour moi, elle se pose. Je pense que, comme dans tous les domaines de la vie, l’extrémisme est une mauvaise chose.
Je milite de plus en plus, en revanche, pour arrêter la surconsommation de viande.
Et, du coup, en mangeant moins de viande, on en revient aux animaux sains. Car on se nourrit à partir d’animaux élevés en plein air et abattu dans des structures moins industrialisées.
Et puis, c’est bien meilleur !
En revanche, là où je ne vous suis pas c’est quand vous dites : « mais ce goût là, que nous apprécions à peine quelques minutes, vaut-il une vie entière de maltraitance animale puis d’abattage ? »
Ca, c’est du despotisme.
Et puis, que vont devenir les cochons si on arrête de les manger ? C’est une question sérieuse. On les abat tous ou bien on les laisse mourir de faim ou de maladie dans les bois ???
Idem pour les vaches, les chèvres et les poules.
++
On parle souvent de la loi de la jungle, le plus fort gagne, la théorie de l’évolution. ça marche quand c’est nous le plus fort ! Mais lorsqu’il y a plus fort que nous, alors à ce moment l’idée meme de plus fort que soi disparait, et on brandit la pancarte de l’injustice.
Je pense que si on accepte de manger plus faible que soi, alors il faut accepter d’être mangé par plus fort que soi. Dans le cas contraire on s’abstient, et on ne fait pas à autrui ( tout etre vivant compris ) ce qu’on ne veut pas qu’on nous fasse…
D’accord, mais même les légumes, c’est potentiellement dangereux. Agriculture intensive, concombre masqué ou soja fou.
Franchement, nous ne pouvons plus être sûr de rien. C’est comme ça.
Rien ne vaut une petite lecture de Pierre Rabhi pour reprendre un peu d’espoir.
😉
comme Jérôme, je pense qu’il faut un équilibre et comme Remy, je pense que si on écoute tous les discours sur l’alimentation, on finit par plus rien manger car rien n’est bon …l’air est pollué, l’eau aussi alors manger bio ce n’est pas parfait ; rien n’est parfait…
Remy, je n’ai jamais lu Pierre Rabhi. quel livre conseilles tu ? quel est son discours ?
merci !!
Olivier, quel est ton avis sur le sujet ?? merci
Je suis heureuse de lire cet article qui me conforte dans mes choix!
Juste, ne devenons pas trop rigoriste, et si nous sommes invité, régalons nous de tout avec nos amis!
Car la convivialité est également importante!
Jérome : votre démarche de réduire votre consommation de viande est tout à fait louable. Je comprends que mon article vous paraisse « extrémiste », c’était également ma réaction lors de mes premières lectures sur l’éviction des protéines animales. Je vous invite néanmoins à ne pas arrêter votre réflexion aux données que vous avez actuellement et à vous renseigner plus, pour autant que la question vous intéresse.
Concernant les animaux, de mon point de vue, ils sont simplement des terriens au même titre que les êtres vivants et sont donc adaptés à leur environnement naturel, pour autant qu’on leur donne la possibilité d’y vivre. Si nous arrêtions de les manger, ils reprendraient leur vie sauvage, au même titre que les loups, les ours etc. N’oublions pas qu’avant que l’homme ne s’en mêle, la terre s’accomodait très bien toute seule de réguler ses espèces.
Franck : merci pour ce commentaire averti. Comme l’a dit le narrateur dans le film Earthlings « ce n’est pas parce qu’il n’y a pas d’égalité, que nous ne devons pas respecter ».
Remy 66 : il est vrai que l’industrialisation de toute notre alimentation nous expose inévitablement à des risques de contamination de TOUS les aliments. Cependant, les aliments achetés frais, en l’état, non préparés, présentent peu de risque du moment qu’ils sont intacts, car ils peuvent être LAVéS, contrairement à la viande (qui compte alors sur l’espoir d’une bonne cuisson en cas de contamination) ou aux plats préparés qui doivent user de techniques de conservation qui détruisent malheureusement les composants intéressants des aliments (vitamines etc.). Les bactéries responsables des divers maux sont issues d’une contamination soit par un humain négligeant, soit par un animal contaminé. Les bactéries sur un fruit ou un légume frais sont bloquées par la peau de ce dernier, ce qui permet au lavage de nous épargner une maladie. Ce n’est pas possible pour la viande qui n’a pas de peau et dans laquelle les bactéries n’ont aucun mal à pénétrer !
Angélique : rien n’est bon, vous n’êtes pas très optimiste ! Il est vrai que les discours sont très confus entre les médias qui veulent vendre en jouant sur la peur des gens et les scientifiques qui ne sont pas toujours très compréhensibles. Je vous encourage à lire le rapport Campbell, il offre un bon résumé de la situation actuelle, de manière accessible à toute personne désireuse d’en savoir plus sur son alimentation.
Bonjour,
Je pense que vous mêlez deux questions : la bonne alimentation (de qualité) et l’alimentation bonne pour nous (ce que nous avons besoin).
Je vous rejoins sur votre analyse de l’industrialisation de l’alimentation. Mais la réponse que vous apportez et hâtive. Au lieu de remettre en question la cause du problèmes (l’industrialisation capitaliste de notre alimentation) vous choisissez de renier les milliers d’années d’évolutions où l’homme s’est développé comme animal omnivore.
Ludivine : je pense que nos futurs et lointains descendant nous regarderont comme on regarde les cannibales aujourd’hui. L’évolution de l’homme passera forcément par le végétarisme. Pour paraphraser malraux je dirais que l’avenir de l’homme sera végétarien ou ne sera pas. Personnellement je ne supporte pas l’idée qu’une personne soit supérieur a moi. Et donc je ne met personne en dessous de moi tout être vivant confondu. Si des extra terrestre venait sur terre et nous utilise comme nourriture alors la on crierait a l’injustice ! L’etre humain tire toujours la couverture de son coté !
@Angelique : je te conseille « vers une sobriété heureuse », d’aller sur le site de son associaiton colibris et si tu es pressée, voici une courte bio :http://www.solutionslocales-lefilm.com/personnages/pierre-rabhi
Bien à toi
Bonjour,
Bruno : effectivement ces deux questions de qualité et nature des aliments me semblent importantes pour notre santé. Sans revenir sur la partie cause et industrie, je ne dirais pas que je « renie » les milliers d’années d’évolution de l’homme en tant qu’omnivore, je dirais plutôt qu’aujourd’hui nous avons le pouvoir de faire le choix de notre alimentation. D’une part, nous ne sommes plus dans des situations de survie, nous n’avons pas à chasser pour nous nourrir. D’autre part, notre consommation abusive de viande et autres produits animaux n’a rien d’ancestral. Il existe actuellement d’autres sources de protéines que les animaux qui sont accessibles et de qualité égale ; alors pourquoi ne pas les privilégier et laisser les animaux faire leur vie ?
Franck : le fait d’inverser les rôles et de se retrouver en lieu et place des animaux est effectivement un bon exercice pour prendre conscience de la violence faite aux animaux. Évidemment nous dépassons là le cadre de la simple santé humaine, mais clairement, tout être humain devrait s’être demandé ne serait-ce qu’une fois si cette pratique qu’est le fait de manger les animaux et qui nous semble est encore justifiée.
Remy66 : excellente recommandation 😉
Du courage ludivine,
Je puis t’assurer que je comprends la réaction des lecteurs car il est très difficile à l’homme de façon générale de se débarrasser de ses habitudes. Surtout si ce dernier ne veut pas faire preuve d’ouverture d’esprit.
L’ignorance est la source du malheur de l’homme.Celui qui ne connait pas à tort. Et malgré sa bonne foi il ne sait pas que ces comportements constituent un risque pour lui même. Et même quand tu lui montres que ce comportement est dangereux à son bien être, il n’arrive pas à prendre conscience pour changer. A titre d’exemple presque tout le monde sait aujourd’hui que la consommation du tabac est dangereux pour la santé, mais malgré cela ils sont encore nombreux à fumer. Est ce qu’ils s’aiment vraiment? Je me pose la question.
Que faisons nous de notre liberté de choisir? Cette liberté dont nous sommes les seuls êtres qui en disposent dans tout l’univers est à la fois la cause de notre malheur et de notre bonheur. Et à mon humble avis nous devons l’utiliser pour notre bonheur et celui de tout l’univers.
Est ce faire le bonheur des animaux que de les tuer?
Est ce faire le bonheur des animaux que de les manger?
Est ce faire le bonheur de soi que de s’empoisonner davantage?
Terrien réveilles toi de ton long sommeil et ouvres toi à la réalité de la vie. La vie est sacrée et ta vie et celle des animaux l’est de même. Et les lois de la vie sont toutes aussi là, comme la loi de causalité ( qui sème le vent récolte la tempête).
Quand vous mangez les produits d’origine animale vous affaiblissez à coup sûr votre système immunitaire et ouvrez votre corps aux maladies. Car la constitution du sang animal n’est pas compatible avec le sang humain, si le contraire était vérifié il suffirait pour les transfusions sanguines d’utiliser le sang des animaux. Réfléchissez bien à cela mes frères.
Ce dont je suis sur c’est que l’homme n’a pas le choix et que de gré ou de force il deviendra végétalien.
IL y a encore tellement à dire mais je m’en arrête là aujourd’hui tout en demandant à tout un chacun de vous de briser vos limites mentales afin de découvrir d’autres réalités.
Merci
Bonjour,
J’ai lu avec beaucoup d’attention cet article. Cependant, je suis en grand désaccord avec un certain nombre de ses arguments. Je me suis permis de rédiger quelques éléments de réponse sur mon blog, doc voici l’adresse: http://jcl06l.free.fr/index.php/le-reste-du-monde/la-viande-cest-la-force/
Cordialement,
J.L.
Eh bien, en voilà un article qui me ravit ! J’ai lu les commentaires, divers et variés : la question du végétarisme est, selon moi, une question qui va se poser de plus en plus, qui sera incontournable : l’être humain évolue, tout simplement. Nous ne sommes en effet plus à une époque de survie et de chasse. De plus, la qualité de la viande, industrialisée, n’a absolument rien à voir avec celle que l’on pourrait trouver à l’état sauvage, naturel. Pour ceux qui, plus haut, ont dit ne pas comprendre ce qu’il adviendrait des animaux élevés, si on ne mangeait plus de viande, moi je réponds : rien ne se fait en un jour : ces animaux sont précisément là dans un seul but : être tués. Si l’humanité dite « civilisée » se met à moins manger de viande, puis plus du tout (cela se fera sur des décennies, donc les « porcs » et autres ne seront pas là à attendre qu’on les tue – lol – , eh bien le bétail destiné à être mangé donc tué n’aura plus de raison d’être. C’est comme la loi de l’offre et de la demande, et leur nombre diminuera avec le temps. Cette ère-là a déjà commencé…
Tout cet aspect des éleveurs : viande, poissons, laitages, est devenu un gigantesque marché, un commerce mondial, qui devra, le moment venu, se recycler. Tout est fluctuant, rien n’est immuable ni acquis, pas même l’homme.
Pour la petite histoire, on m’a décelé il y a 3 ans une maladie dégénérative importante, même très importante. J’ai la chance d’avoir un petit papa très informé de tout ce qui est soins naturels et développement personnel, et qui m’a orientée vers une voie, et je l’en remercie : depuis 3 ans je suis un régime VEGETALIEN (oui, Ludivine, j’ai changé ma façon de manger, de voir les choses, la vie, cette maladie fut en fin de compte un beau cadeau et m’a fait prendre soin de moi, et ma foi, m’aimer. Je mange des légumineuses, des fruits secs, plus épicé, etc.) et je ne suis absolument AUCUN TRAITEMENT CHIMIQUE ET JE VAIS TRES BIEN.
JE PERSISTE ET JE SIGNE : MEME POUR LES GENS QUI NE SONT PAS MALADES, LES PROTEINES ANIMALES SONT NEFASTES. Depuis ce changement, je n’ai plus les angines à répétition (quasiment tous les mois j’en avais une ! un cauchemar !) qui me démoralisaient.
MERCI LUDIVINE ET OLIVIER pour cet article. Il faut que les gens prennent conscience de cela, cela viendra avec le temps, les siècles.
P.S. Je fais du sport, un sport intensif s’il en est : du squash, et tout se passe à merveille… sans protéines animales, donc 😉
@ marjorie : va jeter un coup d’oeil ici : http://www.nomeatathlete.com/
Merci Franck 😉
Merci pour ce très bon article.
Étant végétalien depuis longtemps, j’ai retenu au fur et à mesure des articles que je lis ces dernières années les 2 points suivants :
1/ Parler de protéines « animales » et de protéines « végétales » est un non-sens biochimique :
Les protéines sont constituées d’acides aminés. Les acides aminés qu’ils soient d’origine végétale ou bien d’origine animale ont exactement la même formule biochimique.
Si les gens mangent de la viande, c’est par tradition. L’utilisation des termes » protéines animales » et » protéines végétales « , est une invention pseudo-scientifique utilisée pour justifier et déculpabiliser cette consommation traditionnelle de viande.
(Voir sur VegAnimal.info : entretien du docteur DK)
2 / Se concentrer sur les protéines est dépassé, notamment dans les pays occidentaux. Il est quasiment impossible de manquer de protéines en se nourrissant de façon variée.
De plus les protéines ne peuvent pas être stockées dans le corps et beaucoup de gens ont une alimentation sur-protéinée.
Ce qui est important pour la santé ce sont les fibres qui « nettoient » le sang et qu’on retrouve en quantité dans les fruits et les légumes crus.
La question de savoir ce que vont devenir les animaux se pose si tout le monde passe végétarien. Le monde industriel n’est as tendre et ne gardera pas vivant. Ils attendront que les dernières barquettes soient vendus en ensuite rien. Les cochons ne seront pas forcement relâchés en pleine nature et certaines races seront aussi amener à disparaitre comme on peut le constater avec les chevaux.
Les chevaux de trait ne sont destinés que à la consommation et certaines races sont déjà déclarée par l’UE en voie d’extinction. Il en sera de même pour les autres espèces porc, poulet, boeuf…
@Cecile, bonjour : mon avis sur le devenir des animaux mangés est le suivant : ces animaux qui sont mangés ou dont la production telle que le lait est exploitée, existent justement parce qu’ils doivent être vendus… Ils n’auraient donc plus de raison d’être si, peu à peu, en plusieurs décennies, les humains se mettaient à diminuer et supprimer la consommation de viande et laitages… Les élevages diminueraient peu à peu, en même temps que la demande….. Qu’en pensez-vous ?
Oui vous avez raison il n’auront plus de raison d’être… donc il n’existeront plus, leur espèce n’étant plus utile alors qui leur laissera de la place. On gardera quelques chevaux pour l’équitation, les cochons, les vaches bah tant pis pour eux.
Les lapins c’est mignon, ils prolifèrent tous seul donc ils ont une chance de continuer à exister.
Idem pour les poules, si pas de viande, pas d’œufs ; je pense pas en adopter une dans mon appartement.
Je pense que vous ne voyez pas toute l’implication que cela aurait notamment en terme de biodiversité, d’économie et d’écosystème.
Un de mes proches a contracter la goutte à l’âge de trente ans, il était végétalien, ne consommer pas d’alcool. Le jour ou il s’est rendu à l’hôpital pour sa première crise, le médecin lui a expliquer que c’était des fraises qui avaient déclencher la crise. En effet il avait consommer une grande quantité de fraise ses derniers jours.
La faute aux fraises? Non mais plutôt à son alimentation, trop riche en fibre, il lui fallait la divertir!
Notre espèce a besoin d’une alimentation équilibrer.
Moi-même, qui ne consommai pas de viande(histoire de goût) est passer à un régime diversifier incluant de la viande rouge une fois par semaine. Pourquoi? Des carences qui mettait en jeu ma santé.
Nous sommes omnivores non par choix mais pour les besoins de notre organisme. Il n’est pas question de suprématie de l’homme sur les autres espèces.
Le véritable problème c’est la surconsommation et la production de masse. Aujourd’hui l’homme produit bien plus que ses besoins et malheureusement de manière bien inégalitaire.
La peur de ne plus avoir? Ou la folie des marchés de l’alimentaire.
Nous produisons trop et mal.
Si demain les hommes décidaient de ne consommer que des fruits et légumes, ceux-ci, qui sont déjà pour une bonne partie de mauvaises qualités, connaitraient un essor de production similaire à la production bovine. Nous aurions des produits de mauvaises qualité! OGM et consort… Comme aux USA ou les fruits et légumes, même bio, font peur!
La réalité c’est qu’il faut réveiller les consciences! Le profit ou la vie?
Notre vie, notre alimentation est devenu un bisness ou la qualité n’est pas exiger!
@Vkk désolé mais le témoignage sur les fraises, l’arrêt de la viande et « l’homme est un omnivore » me parait douteux.
Les médecins qui étudient sérieusement l’alimentation montrent clairement les bienfaits des fibres et les dangers de l’alimentation à base de produits animaux. Voir par exemple les déclarations de l’ASPARES – Association de Professionnels de Santé Pour une Alimentation Responsable.
@ Vkk et love bill : tout à fait love bill, mais je pense que Vkk a raison de dire que ce sont les extrêmes, quelles qu’elles soient, qui sont mauvaises. Et peut-être bien que si on se mettait à produire beaucoup de fruits et légumes pour une raison X, possible en effet que la qualité s’en ferait ressentir. J’ai une amie qui ne mange pas assez de protéines (quasi jamais de riz, céréales…) et trop de fibres, eh bien ses intestins (ou je ne sais plus quel organe) s’en ressentent et elle doit équilibrer !
Pour ma part végétalienne, je remplace la viande et le poisson par des légumineuses, et elles sont variées et bonnes lorsqu’on apprend à les cuisiner. Des études ont montré que nos intestins, très longs, ne sont pas faits pour assimiler ce qui est animal et laissent les aliments fermenter. C’est ce qui provoque des gaz, par exemple (lorsque je mangeais des oeufs, c’était le cas).
C’est à chacun d’y répondre en fonction de son niveau de compréhension et de ses expériences. Et tout niveau de compréhension ou prise de conscience est acquis par intuition ou par information.
Nous allons dans un premier temps abordé la prise de conscience par l’information et dans un second temps par l’expérience.
Prise de conscience par l’information.
Face à cette question, je puis à priori dire qu’aucun aliment n’est pas sain ou encore je préfère dire qu’aucun aliment n’est pas pur. Il existe des degrés de pureté de l’aliment. Car si l’aliment était pur le corps ne produirait pas de déchets (les excréta). Il va s’en dire que plus nous arrivons à consommer des aliments de plus purs il en va pour notre santé. Nous retenons qu’il y a des aliments qui sont plus purs que d’autres. Prenons une image simple, notre corps est comme le moteur d’une voiture, si le carburant qu’on y met est de bonne qualité le moteur donnera le meilleur de lui même et se portera mieux, mais si on y met par contre un carburant de mauvaise qualité le moteur en prendra un coup.
Le carburant du corps physique de l’homme est son alimentation. Veillons donc à lui donner de l’aliment de bonne qualité.
Et c’est dans ce sens qu’intervient les aliments d’origine végétale qui sont de meilleure qualité ou plus pur que ceux d’origine animale. Une façon de déterminer les aliments d’une bonne pureté est leur capacité à résister à la putréfaction. Par exemple si l’on place une orange et un morceau de viande à l’air libre, on constate aisément que le morceau de viande pourrit plus vite que l’orange. Et ce qui pourrit devient une source d’insalubrité, d’impureté et d’attirance de maladies. Et des études ont prouvé que le tube digestif de l’homme est semblable à celui des ruminants ou herbivores, du point de vue de sa longueur. Il va s’en dire que nous devons consommer des aliments qui pourrissent moins vite afin qu’ils ne transforment pas en poissons dans notre tube digestif avant d’être rejetés par l’organisme.
Donc pour notre bien être physique, consommez les protéines végétales est meilleure pour la santé.
Qu’en est-il de la prise de conscience par les expériences ?
Découvrez la suite du commentaire via http://www.vivreausingulier.com/sante-et-bien-etre/les-proteines-animales-sont-elles-nefastes-pour-la-sante-humaine/
@love bill je suis tout à fait d’accord avec toi sur le fait qu’il n’y a pas de différence entre les « protéines » qu’elles proviennent d’un animal ou de végétaux. En revanche, ce qui est autour change, il y a le sang, les hormones, les médicaments etc. C’est pourquoi j’utilise les termes protéines animales ou végétales, pour que l’on fasse bien la différence en terme de provenance, même si les acides aminés sont identiques.
@cecile, je ne comprends pas bien pourquoi toutes ces questions sur le devenir des animaux. Vous évoquez la disparition des espèces dont nous n’aurions « plus besoin » puis vous évoquez votre inquiétude tout à fait légitime sur l’effet de tels changements sur la biodiversité. Pourtant, la biodiversité c’est nous qui la menaçons le plus par la sélection. Arrêter l’élevage des animaux aurait à mon avis, plutôt pour effet de laisser la nature reprendre le contrôle des espèces et de les réguler par elle-même.
De mon point de vue l’homme a toujours un train de retard sur la nature, nous avons tendance à penser que nous saisissons tous les paramètres mais j’en doute fort. De plus nous avons cette mauvaise habitude de sous-estimer les capacités de la nature et de ne pas lui faire confiance alors que c’est elle qui nous a permis d’exister (avez-vous vu l’excellent documentaire « la terre après les hommes » ? Je vous le recommande).
@vkk je vous rejoins parfaitement sur la surconsommation, la production inadaptée, mais actuellement il n’y a plus de demi-mesure car l’attrait de l’argent est irrésistible pour les entreprises. Sans prendre en compte l’aspect santé, pour prendre position face à la surproduction je pense qu’il est plus simple de boycotter les viandes plutôt que d’en manger un peu. Consommer de la viande 1x/semaine oui pourquoi pas, mais si le reste de l’alimentation n’est pas équilibré, un morceau de viande ne me semble pas pouvoir protéger d’aucune carence (dans ce cas il est plus simple de boire une ampoule de vitamine B12 ou de la vitamine dont on a peur de manquer). Je rejoins love bill sur les fibres et les propos de l’Apsares. Pour l’histoire de la crise de goutte et des fibres, je dois avouer que cela ne fait sens dans mon esprit. A ma connaissance c’est même plutôt l’inverse, les fraises étant recommandées pour les crises de goutte afin d’abaisser le taux d’acide urique (l’hyperuricémie étant la cause de la crise de goutte) donc bon je reste septique sur ce point médical et j’aurai bien aimé avoir une source pour étoffer ce point.
@marjorie, tout à fait d’accord avec tes conseils.
@semevo, clairement la prise de conscience par l’expérience est un outil puissant. Tout le monde peut tenter l’expérience sans même avoir des problèmes de santé particuliers. Sans être malade on a souvent pour ne pas dire toujours un petit truc qui ne va pas. Se dire, tiens pendant une semaine (minimum) je tente un régime végétarien ou mieux, végétalien, juste pour moi, pour voir si je ressens un mieux n’engage pas à grand-chose. Après, seulement, on pourra en parler en connaissance de cause. L’expérience dépasse de très loin la théorie.
C’est article est véritablement l’un des plus importants , car la nourriture est bien le premier médicament et donc notre source de santé ou…. selon ce que vous manger
si vous avez le temps de tout lire, c'est vraiment intéressant
Merci pour votre article très intéressant à lire, de même que tous les commentaires qui suivent. Je pense qu’en diminuant de moitié nos protéines animales, nous seront sur la bonne voie, en plus de ressentir les bienfaits sur notre organisme. Entk, c’est ce que j’ai commencé à faire depuis quelques semaines. Malheureusement, j’ai encore beaucoup de chemin à faire, étant une grande « mangeuse » de yogourt et de fromage. Mais avec le temps … 😉
Je suis agriculteur bio et pour ma part je pense que vous oubliez quelque chose.
Je n’ai jamais fait d’élevage donc ne pensez pas que je parle dans mon intéret.
Obtenir un écosysteme équilibré est EXTREMEMENT DIFICIL.
Tous changement se paye cash et lourd de conséquence .
La première priorité des scientifique devrait donc etre que tout changement se fasse DOUCEMENT en tenant compte de tout les facteur.
Veillez m’excuser mais je pense que tous cela est irresponsable .
Un seul exemple simple : Les lapin en surnombre , cela veut dire Myxomatose la seconde année et extinction probable la troisieme et insi de suite (Désolé pour l’orthographe mais je suis Néerlandophone)
Non et non et non
J’en oublie de dire :N’oublions pas que nous vivons dans le nord et que l’hivert…
Manger des tonnes de riz et de fruits provenant d’azie et d’afrique par avion n’est pas la solution.
Rêve d'un monde végétarien.
c'est vraiment incroyable, un bon livre.
D’après ma propre expérience, ceux qui rétorquent à ces excellents arguments un « oui mais dans ce cas on ne mange plus rien », sont ceux qui ne veulent par remettre leur assiette en question.
Cet article, écrit par un médecin, est très bien expliqué, et surtout, très vrai, qu’on le veuille ou non. Merci.
Désolé,mais permettez moi de dire que c’est n’importe quoi…je suis tout à fait d’accord qu’il faut éviter la surconsommation de la viande pour éviter dles problèmes cardio vasculaire ET companie…D’ailleurs moi j’aime pas le gout de la viande mais je suis obligé de le consommer pour une petite carence en fer …On m’a expliqué que 100 GRAMMES DE VIANDE ROUGE est l’équivalent de 4 kg de lentilles…et ceci en terme d’apport en fer.en lisant cet article je vois que vous faites un amalgame entre la suppression de la vainde de notre alimentation etet lle combat pour préserver un environnement sain et une alimentation saine face à la course folle de l’humanité vers l’industrialisation excessive et la surproduction… Mais voir des comentaires qui disent que les extraterrestres vont un jour nous dévorer parceque nous mangeons les moutons ,les poules et les lapins…Là alors c’est hallucinant…..
bonjour,
1) j’ai arrêté de lire à partir du moment où vous dîtes que les larves dans les plait des animaux vous horrifiez, je ne doute pas de vos connaissances en médecine, mais j’ai tout de même était étonné, ne savez vous pas que les larves de muches nettoient les plait? elles sont même utilisées dans la médecine pour éliminer les tissus organiques morts renseignez vous…
2)Il faut savoir qu’en 1970 toutes les races chevalines étaient en voie de disparition, la seul chose qui les a sauvées c’est le fait que l’homme les a fait se reproduire pour les manger, ça peut vous paraître paradoxal mais allez vérifier par vous même!
cdlt
Bonjour,
Je suis bouchere de metier JE MANGE 4OO GRs de viande rouge par jour ainsi que de l acharcuterie quand bon me semble.
J ai 6O ANS et je suis en pleine sante .
Je vais dans les abbatoirs et ce n est pas vrai que les bete une fois tue sont mis dans un chlore quelconque pour enlever les bacteries;
Ou avez vous VU cela? Certainement dans un film d extra terrestre.
Quand a supprimer viande, cochon etc cest voulir changer le monde la culture francaise etc etc
Bien sur il faut etre MODERE mais je connais des vegetariens qui mangent comme vous dites . ET LES PAUVRES ils sont blancs comme des navets quand a voir sils sont en meilleure sante que nous CA C est a voir!!!
Je defends mes idees comme vous les votres
CHACUN sa theorie et son mode de fonctionnement
BIEN AVOUS
Bonjour Marie-Thérèse,
J’ai remarqué comme vous que certains végétariens sont très pâles, je le reconnais. Cette idée est d’ailleurs répandue. Pour ma part, je suis végétalienne et ne suis pas blanche du tout, mais d’un teint normal.
Je fais d’ailleurs un sport « violent », le squash, sans souci.
Je pense que tout est question de goût, mais il est vrai que le végétarisme est de plus en plus répandu et sera sûrement la norme à l’avenir (dans plusieurs décennies je pense).
C’est bien que vous soyez en bonne santé. Il n’est pas fatal que l’on tombe malade si l’on mange de la viande tous les jours, pas du tout, c’est juste que ce n’est pas très bon pour le corps, en général. Et puis cela dépend des tempéraments, du rhésus sanguin. Vous avez vos idées, et nous les nôtres 😉
Il y a aussi beaucoup de « non-mangeurs de viande voire poissons » qui le font aussi par éthique. Tous les abattoirs ne sont pas des enfers, il n’empêche que ces animaux-là sont juste élevés dans l’optique d’être tués et mangés… Nous sommes très loin de « tuer pour se nourrir si on meurt de faim dans la nature »…
Bon week-end
Marjorie
Bonjour Marie Thérèse,
Tout est dit dans vos premiers mots : vous êtes bouchère de métier. Donc votre métier représente votre gagne pain. Vous n’allez sûrement pas reconnaître (ou peut être vous l’ignorez honnêtement ) que le fait de manger de la viande est nocif pour notre santé, polluant pour la planète et cruel pour les animaux, sinon, vos clients ne viendraient plus ouvrir votre porte de commerce. Vous devriez changez votre métier, et vous ne semblez pas du tout prête à ça, au vue de vos propos sur le changement , je vous cite : » changer le monde la culture francaise etc etc « . Il est vrai qu’à votre âge, une reconversion dans le monde du travail, serait difficile, mais vous êtes proche de la retraite, donc tout va bien !°)
Parfois quand on reconnait la nocivité d’une chose, il est préférable de changer, même si c’est synonyme de bouleversement de moeurs, de culture, de tradition ou d’habitude.
Je vous rappelle que l’abolition de l’esclavage des noirs a été un véritable changement, l’arrêt des camps de concentration aussi, et pourtant grandement nécessaires ! donc pourquoi pas arrêter la production de viande ? Un jour, cela sera une telle évidence aux yeux de tous !
Quand à votre forme de 60 ans, ma mère était en grande forme également à votre âge, et 2 ans après, on lui a découvert un cancer du côlon ( qui a sûrement été causé par l’absorption de toute une vie de viande animale, faits scientifiquement prouvés, les protéines animales augmentent énormément le risque de plusieurs cancers : sein, utérus, prostate et côlon, et bien d’autres…. ), et elle est partie en 2 mois de temps. Donc je suis au regret de vous dire que votre forme actuelle n’est pas un gage pour votre santé avenir :-//
Quand à la blancheur des végétaliens( je vous cite ) « LES PAUVRES ils sont blancs comme des navets « , savez vous que l’homme le plus fort au monde est végan : Patrik Baboumian est né en Iran, mais c’est en Allemagne qu’il a fait ses armes. En 2011, il a remporté le titre de “l’homme le plus fort d’Allemagne” durant le championnat de Strongman. Patrick est surtout connu pour deux choses : il arrive à porter plus de 550 kgs sur 10 mètres et il est végétalien.
Vous pourrez constater au vue de sa photo, qu’il est loin d’être maigre et blanc. D’ailleurs, on peut vous retourner ce compliment : beaucoup de bouchers sont rouges au niveau des joues, alors synonyme de coup de sang ?….. ce sont des idées fausses et arrêtées mais vraiment INJUSTIFIEES !
Je suis végan depuis longtemps et je ne souffre d’aucune carence, mon mari ( qui était un grand viandard ) s’est arrêté de consommer des protéines animales du jour au lendemain, lorsqu’il s’est retiré ses oeillères (pourtant bien ancrées depuis de nombreuses années : depuis sa naissance) sur les méfaits de la viande et aussi la cruauté de tuer un être vivant et sensible comme l’homme.
Ce n’est pas parce que nous n’avons pas le même langage, qu’une espèce est plus forte que l’autre et qu’elle puisse avoir le droit de prendre le dessus de l’autre et de la maltraiter !
Je pense qu’on consomme à tord des protéines animales, nous consommateurs par mauvaises informations et habitude, et pour les industriels, ils entretiennent l’idée FAUSSE de l’obligation de consommer de la viande pour augmenter leurs profits ! C’est d’une telle évidence !
Marie Thérèse,
Il ne s’agit pas de critiquer ou juger les carnivores, mais de leur donner une occasion d’ouvrir leurs consciences. Encore qu’il ont toute liberté de continuer leurs habitudes, si c’est ce que leur nature leur dicte, c’est juste. Chez les humains il y a des proies et des prédateurs et du moment qu’un prédateur l’est consciemment et n’a pas de problème avec cela tant mieux pour vos affaires . Mais il faut quand même savoir que la dentition et le système digestif de l’homme ne sont pas faits pour manger de la viande, la littérature sur ce sujet ne manque pas….
Je suis d’accord avec le point de vue de Karine, mais je nuancerais ses dires car ne ne sommes pas égaux dans nos besoins alimentaires, je dirais juste que les carnivores devraient juste se poser la question, s’ils le sont vraiment ou bien seulement par habitudes et convenances, si la réponse est non, alors il doivent en manger, mais je pense, le moins possible, car l’excès nuit en tout. Moi je suis végétarienne presque végétalienne, je ne mange que très peu peu de beurre et d’œuf comme protéines animales et je ne suis pas spécialement blanche, car je crois que ça correspond à mes besoins et je m’en porte très bien . Peut – être avez- vous l’organisme adapté à un régime très carné, du coup, vous avez sans doutes les enzymes qui vous permettent de la digérer. Même même pour des gens comme ça, essayer de diminuer les rations de viande N fait pas de tort
Merci pour ce très interessant article, je parlerai de son contenu autour de moi!
Ça fait du bien de voir qu’il y’a des gens qui sont comme soi! Je n’ai jamais aimé la viande et les protéines animales ne m’ont que rarement tentée sauf parfois quand d’autres en mangent à côté de moi…Mais je me rends compte que je ne pourrais manger aucun de ces produits à l’état pur, seul le fait qu’ils soient cuisinés, dénaturés et les épices qui les accompagnent, me les rendent parfois appétissants… La viande crue c’est en fait très insipide, je suis loin d’être excitée comme mes chers et mon chien quand je sors leur morceau de poulet cru!
Or je pense que la nourriture crue devrait être l’essentiel de notre alimentation qui en général est beaucoup trop transformée, (en plus de contenir des substances étrangères à elle, arrivées trop récemment et en trop grand nombre sur le marché pour que nous puissionss les supporter) et le fait d’aimer un aliment cru ou non, permet de voir si on l’apprécie vraiment.
Cependant, les humains sont tous différents et je respecte le fait que certaines personnes aiment la viande sous toutes ses formes mais pour moi, ils devraient être capables de la tuer et aussi de la manger crue, ce sont les vrais carnivores et ils supportent d’en manger plus que d’autres selon moi, ce sont des prédateurs et cela n’a rien d’une critique, c’est dans leur nature. Mais je pense que ces humains sont rares.
La plupart des gens sont devenus carnivores par éducation et mangent de la viande par habitude, et le plus souvent, cuite. Je pense que ces gens continuent à en manger soit par réflexe conditionné ( ce qui est Acquis dans l’enfance est très tenace) et parce que soit parce que le goût de certains plats carnés et cuisinés leur rappelle le cocon familial ( Il les rassure), soit parce qu’on leur a à fourré dans la tête qu’il en fallait et que c’était indispensable pour la santé . Ces gens ne sont pas de vrais carnivores et n’auraient pas le courage de se voir eux- même en train de tuer un animal pour le manger ou non.
Pour la plupart de ces derniers, la viande n’est pas vitale et je pense qu’il ne faudrait pas grand chose pour qu’il passent au végétarisme presque exclusif et des crises comme la dioxine, la maladie de Creuzfeld Jacob, la rencontre d’un végétarien convaincu, des réflexions sur notre positionnement dans l’échelle du vivant( (c’est à dire notre non suprématie c’est à dire l’absence de loi du plus fort, qui met les animaux et nous sur un pied d’égalité au niveau de la création) ou des réflexions purement environnementales ou un peu de tout cela à la fois.
Les végétaliens, seront toujours une fraction plus réduite de la population, car enlever les produits laitiers et les oeufs de l’alimentation, c’est encore une autre étape dont je ne suis pas sûre de son utilité car si beaucoup d’entre vous se demandent tout ce qu’on peut faire d’un animal en dehors de le manger de boire son lait, ou de manger ses oeufs, c’est la partie la plus importante de la raison de possèder un animal, (de le laisser en semi liberté ou en liberté ) c » est l’utilisation de ses déjections comme engrais pour la culture entre autre des légumes pour végétariens ou végétaliens et les autres qui aiment aussi les légumes, j’oubliais la récupération de sa chaleur pendant les périodes de froid.
S’il n’y avait que des gens comme moi sur la terre, (ce qui est loin d’être le cas, je sais…), les animaux seraient non seulement en liberté, mais il seraient les alliés des hommes, ils communiqueraient dans certains cas avec eux; Le monde tolérerait aussi quelques carnivores parmi les humains et les animaux carnivores pourraient manger les autres parce qu’on respecterait la nature dans tous ses aspects. On a tellement besoins d’eux pour apprendre à communiquer autrement et on a tant de choses à apprendre d’eux.
Au sujet de l’élevage industriel, je n’arrive pas à me faire à l’idée qu’on puisse élever des animaux pour les manger. Je pense que la plupart des gens qui travaillent dans mes abattoirs, le transport de la viande ou son stockage sont soit des carnivores soit des gens qui ont fameusement endormi leurs consciences…
Tout le monde, tout être vivant, toute chose naturelle présent sur cette terre devrait être respectée. Celui qui tue lui- même pour manger ne manque pas forcément de respect pour l’animal tué tout dépend de l’état de gratitude celui ci a pour l’animal.
De plus en plus, quand je fais mes courses dans un grand magasin je perçois de manière aigüe tout ce système alimentaire broyeur de vie et qui a encore de beaux jours devant lui tant la plupart des gens, achète sans réfléchir et sans remettre en question la moindre chose de ce qu’ils ont toujours fait et de quel impact cela à sur l’environnement. Mais ce dont je suis sûre, c’est que les chose évoluent et que d’une génération à l’autre aussi grâce aux possibilités d’information qu’offrent internet et les échanges avec autrui (dialogue) il y aura de plus en plus de végétariens et aussi de végétariens . Mais je suis d’avis qu’ il ne faut pas brusquer les choses, devenir végétarien est un cheminement lent et il ne faut surtout pas se faire du mal en se privant de quoi que ce soit mais déjà arriver à en consommer de plus plus modérément d’abord parce que cela a un sens pour eux.
Tout ce qui arrive a un sens et l’humanité doit passer par là.. Ce la ne veut pas dire qu’il ne faut pas donner une chance aux gens de recevoir une information ou essayer de communiquer aux autres l’idée qu’on se fait d’un monde idéal, il ne faut surtout pas être fataliste car le dialogue permet aux deux parties qui le créent d’évoluer.
Voilà une suite de réflexions arrivées les unes après les autres et je remercie et admire ceux qui auront eu le courage de tout lire. Moi qui pensais au départ n’ avoir que 4 lignes à écrire… Merci pour ces publications.
Intéressant, oui, mais un brin extrême. Et comme cela a été dit plus haut, aucun extrême n’est bon.
Si, la population mondiale devenait végétarienne, alors les industriels chercheraient (comme aujourd’hui avec la viande) à produire plus, plus vite et sur un minimum de surface.
La quantité d’aliments végétaux en production seraient énorme sur terre, facilitant ainsi la création et la propagation de nouveaux organismes ciblés (microbes, virus) propageant de nouvelles maladies pour lesquelles il faudrait lutter à coup de pesticides puissants puis par les OGM, etc…
Les protéines animales ne sont pas dangereuses, et en effet c’est bien le sort qu’on leur réserve au moment de leur production qui l’est.
Dire que l’on peut nourrir la population mondiale avec des végétaux provenant d’une culture locale est également démagogue.
Peu importe ce que nous mangeons, viande ou végétaux, le plus important est d’en maitriser l’origine, et le traitement qu’ils ont subi. Aujourd’hui, nous ne savons plus ce que nous consommons, car ce n’est plus nous qui préparons notre nourriture, nous faisons trop confiance aux industriels pour gérer les « recettes » à notre place. Alors que l’unique but d’un industriel est d’augmenter ses marges, et que pour se faire, il trouve de très nombreuses idées malsaines. Comment épaissir, donner plus de poids, rendre onctueux… et ce sans utiliser de beurre ou de crème fraiche trop onéreux? On préfèrera adjoindre de l’huile de palme (une des pires huiles bien que végétale) ou on utilise par exemple de l’aluminium dans le lait infantile pour l’épaissir…
Jamais, vous n’auriez eu l’idée, chez vous, d’ajouter de l’aluminium dans vos aliments!
Bref, si le consommateur, décide de devenir végétarien. Les industriels changeront de communication et vanterons le mérite d’être végétarien, adapterons leur produits aux végétaux, et y appliquerons exactement les mêmes méthodes qu’avec la viande : ajout d’agents chimiques, modification génétique (adjonction d’adn animal ou synthétique) afin de donner un meilleur aspect (forme, couleur, brillance) et permettre de résister à la culture intensive, au froid, à la chaleur, etc… Utilisation douteuses de technique de conservation afin de permettre aux légumes de parcourir plus de kilomètres sans perdre leur aspect physique, adjonction d’adn (animal) modifié, et j’en passe.
J’ajouterai également à titre d’exemple que de nombreux allemands et quelques français sont morts d’avoir mangé du soja cette année (mauvaises conditions de conservation) et que d’autres sont mort en ayant mangé de la tapenade (olives) bio car contaminés par le botulisme. Ou encore un grand nombre de personnes malades en Angleterre ayant chopé une Salmonelle après avoir mangé de la salade verte. Certains parasites se trouvant dans les salades justement, sont capables d’engendre des paralysises musculaires définitives, etc…
Les végétaux ne sont pas plus sains, la viande non plus. Nous sommes omnivores depuis des millénaires. Il y’a autant de risque à manger des végétaux ou de la viande, tout le problème vient de l’industrialisation, et ce pour tous les aliments!!
comme je l’ai dit plus haut, c’est une affaire personnelle du consommateur et ne regarde que chacun de nous en tant que tel, chacun sait quels sont ses besoins, mais parlons de besoins basiques ( produits de base) et non de tous ces plats et mets déjà tous préparés que nous fourgue l’ agroalimentaire à coups d’additifs , bons, moins bons ou pas bons du tout qui ne répondent pas à un besoin basique mais cherchent à flatter bons palets d’ une manière souvent très douteuse.
Tout ce que vous dites se situe en terme de bon ou non pour la santé. Mais première chose à considérer quand on parle de consommation alimentaire, c’est l’impact de la de la production de ces denrées sur l’environnement, (qui selon moi, passe avant la santé humaine), la santé animale et végétale, car la bonne gestion de celui-ci a des conséquence positives sur la santé l humaine.
En effet, notre consommation sans cesse accrue d’une alimentation complexe, par le additifs qu’elle contient et l’ aseptisation à outrance, fragilise nos organismes, les rendant de plus en plus intolérants à tout organisme vivant, (pathogène ou non) .
Il est clair, qu’à l’échelle de la production agricole (actuellement le plus souvent irrespectueuse de l’environnement), nous ne faisons souvent pas le bons choix en achetant de produits issus de celle- ci. C’est nous, en tant que consommateurs qui (par nos achats et et notre mode de vie), décidons de ce qui se produira. Nous avons beaucoup de pouvoir, sachons-le!
Pour revenir au végétarisme, je maintiens que c’est une question personnelle, mais on ne doit en aucun cas, assimiler une alimentation végétarienne à une alimentation bio. Il y a de végétariens set végétaliens qui ne mangent pas bio et des carnivores qui ne jurent que par cela et ne mangeraient pour rien au monde un produit quel qu’il soit, non bio..
Je sais qu’on peut faire dire aux études ce qu’on veut et je ne donnerai pas de lien ici, chacun peut faire ses recherches, il y a assez d’informations facilement accessibles sur la toile pou vous faire votre propre opinion.
Mais la mienne, après mes recherches est qu’une consommation excessive de viande (vous l’avez dit, l’excès nuit en tout)) ne peut qu’avoir un effet négatif sur l’environnement et sur notre santé. Mais cela reste la responsabilité de chacun, de s’informer et de se faire une idée du fonctionnement du monde, de ses interactions et de sa propre place, au sein de celui-ci, tout en respectant ses propres besoins alimentaires. Il y a aussi des gens qui aiment la viande, mais pour une question éthique, ne consomment pas, c’est respectable, mais font-ils bien de ne pas céder à cette attirance?
Pour terminer, mon opinion est que, pour le respect de l’ environnement et de l’animal, on devrait consommer écologique (bio), (pour la plupart des végétaux, cela ne coûté pas plus cher que le conventionnel), manger le moins de viande possible et arrêter de penser que c’est bon ou indispensable pour la santé, et surtout, on devrait manger les aliments le plus proches de leur état naturel, si possible à l’état cru, cuisiner soi-même,transformer les aliments nous- même, et les préparer avec amour de nous- même et de notre terre qui nous fournit tout cela…. Quelle richesse de cuisiner, d’inventer avec ce que nous avons à notre disposition! Et ne plus laisser les autres décider de ce que nous mangeons.
À propos de ces maladies transmises par les végétaux, il faut encore voir dans qu’elles conditions ils ont été cultivés et stockés et cuisinés, mais il y a des moyens très simples de neutraliser ces bactéries pathogènes ou parasites, c’est la cuisson. Pour le cru, il y a toutes sortes de moyens très simples à trouver sur le net, ( entre autres, bicarbonate de sodium, vinaigre…) tapez « désinfecter les aliments crus » sur un moteur de recherche et vous allez trouver une mine d’information passionnantes!
C’est la plus grosse bétise pseudo-scientifique qu’il met était permis d’entendre jusqu’à maintenant!
Je te cite « car le cholestérol provient uniquement des produits animaux, quels qu’ils soient. » FAUX
Révise ton cours futur médecin Killer.
Le cholestérol est naturellement synthétisé dans le cytoplasme des cellules du foie et l’intestin en grande quantité.
D’où l’appellation hypercholestérolémie familial, c’est génétique, le CORPS produit trop de cholestérol.
Deuxième affirmation deuxième erreur : « supprimez les protéines animales, vous n’aurez plus de cholestérol ! » Faux et même dangereux, notre organisme manquerait alors de certains acides aminés essentiels qu’il ne peut synthétiser.
L’ironie du sort dans tout ça c’est que plus on mange de cholestérol et moins notre corps en absorbe en pourcentage, c’est le premier niveau de régulation, et au mieux on peut en perdre sachant qu’une partie du cholestérol que nous ingérons est transformé par une bactérie logé dans notre intestin en coprostanol, stable, non absorbable, et donc éliminé par les selles.
Dommage que ne ne somme pas d’accord sur ce point car je suis moi aussi sur l’optique de réduire la consommation de viande au niveau mondial aussi bien pour nôtre bien être que pour la préservation de l’environnement.
J’ai lu tout l’article ainsi que tout les commentaires et il y a un truc en plus du fait de manger de la viande(par viande, j’entends aussi poisson et oeuf, puisqu’un oeuf est un bébé en création après tout…) qui est rarement remis en cause :
Est-ce que l’humain est vraiment omnivore?
Si vous répondez oui, puisqu’on peut digérer la viande c’est que vous n’avez pas approfondi la question. Imaginer, un herbivore, quel qu’il soit, en mange, mais pas volontairement, il peut en manger parce-qu’il y a des moustiques sur l’herbe, ou un ver dans un fruit… Ce n’est pas que des petits animaux vous allez me dire, mais s’il ne digèrerait pas ces petits animaux sa aurait de sacré conséquence a mon avis. Et pareil pour les carnivores, quand ils mangent l’estomac d’un animal herbivore, s’il ne digère pas son contenu, sa aurait, là aussi de très mauvaise conséquence. (Comme les chiens, on les appels les avales tout, mais ils restent carnivores…)
En d’autres termes, pour vraiment savoir si on est herbivore, carnivore ou omnivore, il faut regarder la constitution de notre corps et celles-ci montre qu’on est herbivore et plus précisément frugivore. Voici quelques exemples :
Notre bouche :
-Les carnivores et omnivores peuvent ouvrir leurs mâchoires uniquement de bas en haut, alors que nous, tout comme les herbivores, on peut faire des gestes de droite à gauche.
-Il y a une enzyme digestive dans notre salive, comme celle des herbivore, mais il n’y en a pas dans celles des omnivores et carnivores.
(il y a d’autres points sur la mâchoire, je ne vais pas tout détailler)
Ensuite, comme dit plus haut, notre intestin est très long, contrairement a ceux des omnivores et carnivores, puisqu’ils doivent avoir une digestion rapide afin que la viande ne pourrisse pas.
Les carnivores et omnivores ont des griffes, alors que les herbivores ont soient des ongles plats soient des sabots.
Je vais rajouter le point le plus important, carnivores, comme omnivores a un instinct de chasse, je ne connais aucun humain capable de chasser sans arme, sans piège, juste en courant après la proie, en l’attrapant avec ces mains et en le mangeant complètement (peau, os, cerveau, organes) sans même la cuire, exactement comme le ferait tout animal étant à la base carnivore ou omnivore.
Je n’ai pas décris tout les points commun qu’on a avec les herbivores et ceux qu’on a pas avec les omnivores, puisque la liste est plutôt longue.
PS: Désolé pour les fautes d’orthographe, ce n’est pas mon point fort.
Le truc c’est que l’on nous dis que la viande est mauvaise pour la santé mais si on se sert des arguments cités au dessus on ne mange pas grand chose, car les légumes aussi ont des pesticides ou autres…Le problème ne vient pas de la viande ou des légumes mais de nous et de notre rapport avec la nourriture. Et dire que les légumes sont bons pour la santé, c’est une foutaise, car ce qui a justement civilisé les hommes et les a rendus apathiques, ce sont l’agriculture, la production de légumes et l’élevage ce titre, lisez le livre de jj rousseau sur le discours sur l’origine et le fondement des inégalités entre les hommes. Ce qui a perdu l’être humain, ce sont les légumes, l’agriculture, l’élevage et la culture intensive. Aujourd’hui, également celle des animaux. C’est cette raison qui amène les hommes à avoir de larges épaules, la déchéance s’empire, la faiblesse devient une vertu. L’on oublie la vrai culture de la chasse et de cueillir les pommes dans les arbres. Mangeons une alimentation saine et surtout énergisante, les légumes ramolissent, le bœuf en trop grand quantité ramolisse aussi, mangeons du gibier, des fruits en abondance, du saumon, des sardines….
« les animaux que nous mangeons sont MALADES : la quasi-totalité (plus de 95%, voir les références pour plus d’informations) »
FOUTAISE, celui qui raconte ça n’a jamais du mettre un pied dans une ferme ou vivre à la campagne.
Certaines émissions sont un peu trop alarmistes à mon avis et nous font beaucoup trop peur…
Je garderai toujours l’exemple de mes grands parents paysans en tête. Ils étaient totalement écologique : pas de voiture, pas de pesticides, pas de déchets. Aujourd’hui encore il élève des lapins et des poules dans leur jardin. Et quand on vient manger chez eux, le plat principal est bien sur composé d’un de ces lapins ou poulet ! Ils sont naturel et plein de bonne chose 😉
Bien sur maintenant beaucoup de chose on été industrialisé, mais je crois que nous pouvons revenir (pour ceux qui le souhaite) a une agriculture plus raisonnée. par exemple le label bio permet de choisir une viande qui présente peu d’antibiotique, des bêtes qui on plus d’espace pour vivre. Et puis on peu s’intéresser d’avantage aux fermes qu’il y a aux alentours et ainsi gagner en confiance avec le produit que l’on achète. Grâce à des circuits cour comme « la ruche qui dit oui » ou on rencontre le producteur directement et ou l’argent ne va pas pour des grandes surfaces…
Et puis surtout ne pas oublier de PROFITER de la vie, parce qu’on a beau suivre tous les conseils pour vivre le plus longtemps possible, on ne sait pas de quoi sera fait demain 😉
Que de conneries concernant les protéines animales !
Dire que les protéines végétales peuvent se substituer aux protéines animales est faux, archi-faux.
Il faut cesser cette intox.
Tout d’abord l’auteur de ce laïus n’a jamais mis les pied dans un abattoir pour oser parler d’animaux malades, blessés, écorchés …. il n’a jamais entendu parler des services vétérinaires omniprésents, des contrôles permanents.
Cet interne maintenant toubib va faire des dégâts si on le laisse officier.
Pourquoi l’homme s’est-il mis à chasser puis à élever des animaux pour se nourriture ? Les protéines ne sont pas que du muscle pour les muscles. Le développement et le fonctionnement du cerveau a besoin des protéines issues d’animaux. Certes on peut vivre en étant végétarien, mais ce pseudo interne aurait besoin de quelques années d’études supplémentaires, mais aussi de se nourrir d’autres protéines que celles contenues dans les fayots ou le maïs.
Si le corps humain termine son développement à 30 ans, il faut savoir que le cerveau lui ne cesse de se renouveler.
Que ce pseudo toubib replonge dans ses cours et étudie de près l’évolution des fonctions cérébrales après 60 ans.
ON en a suffisamment parlé des derniers temps lors de la semaine de l’AVC, de l’Alzheimer … Nul n’ignore que le plus gros fléau qui va menacer notre société à l’avenir concernera la prise en charge des individus atteints de dysfonctionnements cérébraux, et cela pour plusieurs raisons, la première étant l’abus de substances toxiques, stupéfiants et autres, chez les jeunes, la seconde étant se campagnes de manipulation idéologiques ce masse, comme le récit de conneries plus haut dont l’auteur devrait ouvrir ses livres de cours sur le structure typique d’un neurone.
Pourquoi s’acharner à vouloir la dégénérescence de la population ? Quels intérêts, promouvoir le végétal ? Les végétaux sont utiles aux hommes comme aux animaux, mais ne suffisent pas pour nourrir et faire grandir les omnivores que nous sommes, tous comme les poules, cochons,… même les ruminants mangent de la viande, à un moment prévis de leur vie, les femelles dès qu’elles viennent de mettre bas, elles ingurgitent leur placenta.
Pourquoi assiste-t-on à plus de cannibalisme parmi les volailles nourries exclusivement au grain ? Pourquoi les poules grattent-elles la terre ? Pour le rouge les attire-t-elles ?
N’avez-vous donc jamais fait le lien avec les personnes de plus de 80, 90, 100 ans qui ont une activité cérébrale et une mémoire intacte et leur nourriture ? Surtout à la campagne ?
Bien-sûr les protéines végétales nous permettront de vivre vieux et en bonne santé, mais quitte à vivre longtemps, je préfère que la tête soit toujours là ….
A Georges Cabon : eh bien, vous semblez maîtriser à la perfection le sujet du végétalisme Mr ? Rappelez nous, vous êtes docteur ou scientifique en quoi déjà ?????
Il a été prouvé scientifiquement qu’il existe un lien étroit entre la maladie d’Alzheimer et les produits d’origine animale : « Des études ont montré que les gens qui mangent de la viande et des produits laitiers ont un risque plus élevé de développer la maladie d’Alzheimer.
En fait, la graisse saturée, le cholestérol et l’absence totale de fibres dans la viande et les produits laitiers sont liés à de nombreuses maladies, y compris les trois plus gros fléau du pays: les maladies cardiaques, le cancer et les infarctus ainsi que la maladie d’Alzheimer.
Une récente étude de l’université de Toronto montre que les régimes alimentaires riches en graisses comme le régime typique occidental à base de viande et produits laitiers privent le cerveau de ses ressources énergétiques. Les chercheurs démontrent que les régimes riches en graisses peuvent entraver le fonctionnement normal du cerveau en augmentant la résistance à l’insuline. »
Selon vos dires » les ruminants mangent de la viande « , oui, en effet, on a très bien vu le résultat avec les farines animales et la vache folle ! Une vache doit manger de l’herbe et non pas ses congénères !
» Pourquoi assiste-t-on à plus de cannibalisme parmi les volailles nourries exclusivement au grain ? « , ce problème découle du manque de place dans les élevages intensifs où les volailles sont entassées les unes sur les autres, par manque de place, elles stressent et se mutilent ! Regardez la triste réalité des conditions déplorables de leur pauvre existence avant de critiquer des personnes qui sont saines de corps et d’esprit, et qui se donnent les moyens de ne plus cautionner toute cette horreur si lucrative !
La seule chose indispensable à la bonne santé de vos petites neurones est la vitamine B12, qui est additionnée en granules à la nourriture du cheptel, donc la vache ne sert que d’intermédiaire ! Les végétaliens se supplémentent en B12 ( après 4 ans de total végétalisme, une carence peut apparaître, il suffit simplement de se supplémenter soit avec des ampoules buvables dans un simple verre d’eau, soit avec l’équivalent des comprimés donnés au bétail, qui n’est donc qu’une victime intermédiaire de tout ce système d’exploitation, et se retrouve nourrit aux OGM et aux antibiotiques, etc…..
Donc pourquoi tuer tant d’animaux inutilement si ce n’est que par le profit financier de riches lobbys, et par les habitudes et manques d’informations des consommateurs ?
Donc oui, le régime végétalien est reconnu bon et très sain pour la santé quelque soit l’âge, il suffit simplement de bien se renseigner avant de suivre ce régime alimentaire, de faire les bonnes combinaisons afin de ne pas avoir de carences !
Voilà tout. C’est un changement de vie pour, à long terme, une meilleure santé, que celle que la majorité des gens connait actuellement ( recrudescence des cancers, etc…).
Il a été prouvé également que notre organisme est la plus proche copie de celui des herbivores ( dont le gorille, qui est notre plus proche cousin )et non des omnivores.
Juste à titre informatif, ma grand-mère paternelle consommait des produits laitiers et de la viande de façon normale, et elle est décédée d’Alzheimer, alors que ma seconde grand-mère, elle est végétalienne depuis l’âge de 25 ans, et est toujours parmi nous avec toute sa tête !
Go Vegan !! Soyez bien dans votre corps, ce sera mieux dans votre tête 😉
Bonjour,
Quelques corrections :
– Oui il y a des végétaliens avec du mauvais cholestérol. Les huiles partiellement hydrogénées constituent la principale source de gras trans d’origine industrielle. Et c’est végétal.
– Alzheimer et les produits d’origine animale. En fait, les dites études montrent surtout une corrélation sans équivoque entre consommation de sucre et maladie d’alzheimer. Les végétaliens mangent moins de junk food et donc de sucres. Ils sont moins à risques de développer cette maladie.
– La carence en vitamine B12 peut subvenir bien avant 4 ans de végétalisme pure. C’est pourquoi il est préférable de se supplémenter le plus tot. La vitamine B12 vendu comme supplément est obtenue par prélèvement dans l’intestin des bovins puis multiplier en cuve. La vitamine B12 n’est donc pas vegan.
– Votre dernier exemple n’a aucune valeur. Je connais un homme qui à fumé pendant 45 ans et qui est mort de vieillesse, un autre qui n’a jamais fumé et est mort à 38 ans d’un cancer des poumons.
A noter également, le gorille n’est pas végétarien. Il mange aussi des insectes, donc des proteines animales.
C’est dommage parce que votre article tendait à être sérieux. Malheureusement trop d’imprecisions dans votre discours et aucunes sources citées le discrédibilise totalement.
Bravo et merci
pour cette magnifique synthèse, un encouragement pour une vie végétarienne plus saine… michel
Un grand bravo a toi Ludivine pour ton ouverture d »esprit car je sais combien il est difficile de remettre en cause des croyances et toute une éducation et de surcroit lorsqu’on fait médecine…..voila 25ans que je suis végétalienne et j ‘ai commencé à …..14ans!!!mes parents élevaient quelques lapins et animaux de basse cour j »ai donc un jour assisté sans le vouloir a l abattage d’ un coq magnifique, ce fut pour moi un choc et une prise de conscience extraordinaire….Du haut de mes 14ans j’ ai alors imposé mon végétalisme a mes parents et je me porte très bien ainsi depuis.Alors oui on peut trouver dans les végétaux tout les nutriments dont a besoin notre corps j’ en suis la preuve vivante ; quand aux animaux je préfère les voir heureux de vivre et m ‘en régaler avec mes yeux.
Bonjour,
La viande n’est pas et ne sera jamais un bon aliment pour l’humain mais ce problème soulève des polémiques depuis toujours car les lobbyistes de la viande sont puissants et très agressifs quand on touche leur intérêts. Pour eux peu importe si la viande est bonne ou pas pour l’humain, ce n’est pas leur problème, ce qui les intéresse c’est uniquement le profit.
Je regrette que la science nutritionnelle et biochimique ne se penche pas réellement sur sujet. Aujourd’hui nous disposons de moyens et d’appareils permettant d’étudier sérieusement les métabolismes afin de régler ce problème une bonne fois mais il semblerait que ce n’est pas aux programmes des études car il ne faut pas déplaire et il faut rester dans le politiquement correct, peu importe la santé des populations.
J’ai commencé à me poser cette question bien avant mes études de biochimie nutritionnelle, métabolique et pathologique, je devais avoir 14 ans quand j’ai commencé à me poser cette question: A t-on le droit de tuer les animaux pour se repaître de leur dépouille? La réponse à cette question m’a poussé vers les études précitées et les études d’agronomie. Mais il me fallut de nombreuses années d’études et d’expérience pour comprendre ce la cause de certaines pathologies car il faut tenir compte de beaucoup de facteurs. Nous sommes tous différents et complètement inégaux devant la digestion de certains aliments et devant les pathologies.
Je savais beaucoup de choses mais je sentais que quelques chose m’échappait, quelque chose que je n’arrivais pas à saisir.
J’ai repris les études pour étudier les groupes sanguins, les tempéraments, les caractères el les comportements individuels. Par tous ces facteurs, nous avons des métabolismes et des réactions biens spécifiques devant certains aliments. Il n’y a pas de régime alimentaire standard, il faut tenir compte de notre atavisme héréditaire, de notre tempérament, de notre groupe sanguin, de nos activités physiques et intellectuelles, du stress quotidien de plus en plus présent. Tout ceci est important mais quel enseignement scientifique se penche sur ce problème?
Je ne vais pas me lancer dans un cours de biochimie métabolique avec ses formules moléculaires compliquées resteraient incomprises pour beaucoup mais je dirais simplement que mon expérience aujourd’hui me permet de dire modestement bien sur que la viande et les produits carnés ne sont de bons aliments pour l’humain mais je reste humble car j’ai pu constater que certain tempéraments et groupes sanguins la digèrent mieux que d’autres.
Je dirais aussi que chacun de nous doit être son propre diététicien car nous sommes bien les seuls à ressentir les effets de tel ou tel aliment après un repas, avons des aigreurs, des douleurs ou des brûlures stomacales, sommes nous ballonnés, avons nous des diarrhées ou somme nous constipés, voila des ressentis à prendre en compte pour arranger vos repas mais encore faut-il avoir la volonté de vouloir changer car la gourmandise est souvent plus forte que la volonté. Personnellement, je n’impose rien à personne, je donne un enseignement mais chacun reste libre de le prendre ou de le laisser et d’agir selon sa conscience.
Je voudrais aussi mettre en garde les personnes qui, suite à la lecture d’ouvrages relatifs au végétarisme désirent se lancer du subitement sur cette voie sans connaissances physiologiques et médicales suffisante de ne pas le faire. On ne devient pas végétarien par un coup de baguette magique d’un seul coup, c’est dangereux car on ne peut pas bousculer le métabolisme et les habitudes alimentaires d’un jour à l’autre, il faut d’abord être convaincu de ce que nous allons faire, et procéder par étapes pour éviter les problèmes.