Pour devenir plus zen au quotidien

Comment rester zen avec son enfant? Mes 3 meilleures astuces !

Quel parent ne rêve pas d’être plus zen avec son enfant ? Qui ne regrette pas d’avoir perdu patience un peu trop rapidement ces derniers jours ? Il faut reconnaître que nos enfants savent parfaitement comment nous faire sortir de nos gonds ! Pourtant avec quelques astuces toutes simples, il est possible d’avoir un quotidien plus serein.

Je vous propose de découvrir, dans cet article, mes trois meilleures astuces pour être plus zen avec vos enfants.

Note : cet article invité a été écrit par Claire du blog Parent Zen.

Comment énoncer une bonne consigne pour être zen avec son enfant?

Il faut bien reconnaitre qu’une des sources de stress quand on a des enfants, c’est qu’ils ne respectent pas et/ou n’écoutent pas les consignes qu’on leur donne. Que cela les mette en danger (« ne traverse pas la route ») ou que cela nous tape tout simplement sur les nerfs (« je t’ai déjà demandé 20 fois de ranger cette voiture qui traine par terre »), il est facile de perdre son calme !

Pourtant, avec quelques astuces, il devient plus facile de faire respecter une consigne et ainsi retrouver un quotidien plus zen avec son enfant.

Il est d’ailleurs intéressant de noter que cette question n’est pas réservée aux enfants en bas-âge. En effet, elle se pose également pour des enfants plus grands. En témoigne le mémoire réalisé par Sébastien Salabura, aujourd’hui professeur de technologie au collège Gustave Monod à Montélimar. Dans le cadre de son cursus, Sébastien fut amené à étudier les caractéristiques que devait avoir une consigne si on voulait qu’elle soit comprise par des élèves de 6ème [1].

Ces réflexions ont été confortées quelques années plus tard par le travail de Jean Proulx, philosophe et théologien canadien [2].

Ces études sont réalisées dans le cadre scolaire, mais je remarque qu’il y a quelques similitudes avec les enfants en bas-âge et pour des activités extra-scolaires.

Utiliser le bon temps pour être écouté

Tout d’abord, la consigne doit être formulée avec un verbe conjugué à l’indicatif présent ou futur, voire à l’impératif…mais il faut oublier les temps plus complexes. On privilégiera donc une formule du type « Tu ranges ta chambre » à une formule qui se voudrait plus polie « et si tu rangeais ta chambre ? » ou encore « je souhaiterais que tu ranges ta chambre ».

Une consigne explicite pour plus de réussite

comprendre une consigne âge des enfants

Une consigne doit être explicite pour être appliquée

Il faut également que la consigne soit claire et précise, sans quoi, l’enfant, ne comprenant pas ce qu’on lui demande, ne suivra pas la consigne ! Je parlais d’ailleurs d’une anecdote à ce sujet dans un article et celle-ci fut un réel déclic pour moi. C’est à ce moment que j’ai compris l’importance des consignes.

C’était un jour où j’accompagnais mon ainé à vélo. Cela faisait peu de temps qu’il savait faire du vélo. Il maitrisait l’équilibre, le pédalage mais pas vraiment le freinage. En vue d’un croisement de route, je lui demande de s’arrêter avant celui-ci, auprès de la maison aux volets bleus. « Oui, oui » me répond-il. Sauf que je le vois allègrement traverser le carrefour sans regarder et aller s’arrêter après, auprès d’une maison aux volets verts. Je peux vous assurer que mon sang n’a fait qu’un tour. Je vous avoue même que sur le moment, j’ai perdu mon calme. Mais après coup, j’ai réalisé qu’il croyait bien faire ! Il avait simplement confondu la couleur des volets. Ma consigne n’était pas assez claire pour lui qui ne reconnaissait pas encore les couleurs ! Il est primordial de toujours adapter la consigne donnée à l’âge de l’enfant.

À titre informatif, les enfants de moins de 3 ans comprennent des consignes simples avec une seule chose à faire et sans repère spatio-temporel : « mets tes chaussures », « sors de la baignoire ». Ce n’est qu’entre 3 et 5 ans que les enfants comprennent peu à peu des consignes plus complexes, pouvant aller jusqu’à 3 actions et utilisant des repères spatio-temporels : « Va chercher un livre, pose-le sur l’étagère et va prendre un coussin », ou encore « va ranger tes jouets dans le bac bleu, après on ira faire du vélo » [3].

Donner une direction…

Selon l’âge de l’enfant, une consigne doit également être directive, sinon il se perd ! Un exemple tout simple : si vous dites à un enfant « range ta chambre », je peux parier que cela ne sera pas fait ! Cette consigne est bien trop vague ! L’enfant ne sait pas par où commencer, ni ce qu’il doit ranger, ni où le ranger. Au contraire, si vous accompagnez votre enfant en lui disant : « range les livres dans la bibliothèque » ou encore « range tes poupées dans la caisse », la consigne est directive et l’enfant sait parfaitement ce qu’il a à faire.

…mais n’indiquez pas le moyen d’y arriver

La consigne doit être directive, oui. Mais elle ne doit pas tuer la liberté de l’enfant ! Il faut lui laisser le choix des outils, de la manière. Si votre enfant préfère ranger ses livres du plus petit au plus grand alors que vous êtes un irréductible de l’ordre décroissant, et bien tant pis pour vous ! Laissez votre enfant ranger comme il le souhaite ! Il peut aussi préférer manger avec la petite cuillère au lieu de la fourchette ou encore mettre son short vert au lieu de sa jupe jaune. Bref, vous avez compris l’idée.

Personnellement, quand je demande à mes loulous de ranger leurs cubes de bois qui trainent par terre, inévitablement, ils partent chercher leurs engins de chantier pour charger les cubes dans les godets des pelleteuses, avant de les transférer dans un camion benne qui va ensuite les verser dans la caisse des cubes. Je vous l’accorde, ce petit manège prend un peu plus de temps qu’un rangement conventionnel. Mais peu importe ! Le principal est que les cubes soient rangés et que cela se fasse sans cris.

L’objectif doit être clairement identifié

Une dernière chose que Sébastien Salabura et Jean Proulx mettent en évidence : il faut que l’objectif de la consigne soit clair, net et précis. « Regarde avant de traverser pour vérifier qu’aucune voiture n’arrive ». « Range les livres pour ne pas les abîmer ». Je ne sais pas vous, mais je suis comme une enfant. Si je n’ai pas l’objectif clairement identifié, je vais avoir du mal à respecter la consigne !

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Bannissez la négation

Je rajouterai à cela deux éléments clés qui vont faire que la probabilité de respect de la consigne est plus élevée : tout d’abord, comme l’explique Isabelle Fillozat [4] dans son livre intitulé J’ai tout essayé, il est de bon ton d’oublier la négation quand on donne une consigne.

Comme un exemple vaut bien mieux que 10 000 explications je vous dirais simplement : « ne pensez pas à un éléphant rose sur la plage, n’y pensez surtout pas ! » Résultat ? Vous avez tous pensé à un éléphant rose sur la plage, non ? Et bien c’est exactement la même chose chez les enfants ! Il faut donc faire une petite gymnastique mentale pour transformer le « ne saute pas sur le canapé » en « reste assis sur le canapé ». C’est trois fois rien mais ça fait tellement du bien d’énoncer une consigne de manière efficace !

Réduire le nombre de non pour être plus zen avec son enfant

Enfin, la dernière astuce dont je voulais parler est tout simplement le nombre de « non » qu’un enfant reçoit dans la journée. Avez-vous déjà essayé de les compter ? C’est incroyable ! Leurs journées sont semées de ce petit mot ! Alors posez-vous juste deux minutes pour essayer de savoir si les « non » que vous dites sont vraiment essentiels.

J’en parlais un peu plus précisément dans un article, mais il y a certains « non » qui peuvent sans aucun doute passer aux oubliettes. J’ai remarqué qu’après une bonne grosse journée, le « non » devient presque une habitude, un moyen de défense que l’on sort avant même d’avoir analysé la demande de notre enfant. Si on sort un « non » par confort, ça passe sans problème. Mais au bout du vingtième, mon enfant pète un plomb et moi avec lui ! Et c’est normal ! Moi aussi cette suite de « non » m’aurait poussé à bout !

trop de non tue le non pour être zen avec son enfant

Un nombre trop élevé d’interdits favorise l’apparition d’une tempête émotionnelle

Comprendre son enfant pour être plus zen avec lui

On a beau mettre tout son cœur dans une magnifique consigne, admirer le résultat…il y a bien souvent un moment où l’enfant va avoir une réaction complètement imprévue. La consigne « assis-toi sur le canapé » sera suivie d’une grosse crise de larmes Ou alors une demande pour enlever des chaussures précèdera une explosion de violence avec jet des dites chaussures à travers l’appartement. Mais pourquoi ? Que se passe-t-il ?

Il faut savoir que les émotions ne sont pas tout à fait au point chez les enfants. Enfin, plus précisément le contrôle et la compréhension de ces émotions ne sont pas encore parfaitement câblés.

Il existe différents type d’émotions

Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe deux sortes d’émotion : les émotions de base et les émotions sociales.

Les émotions de bases sont les plus simples à identifier : la faim, la colère, la joie, la peur…

Les émotions sociales sont induites par le fait que nous vivons en société et sont donc influencées directement ou indirectement par les personnes qui nous entourent [5]. Ces émotions regroupent la honte, l’empathie, la fierté, la culpabilité…

D’après Lewis [6], ces dernières n’apparaissent que durant la seconde année de vie. N’attendez donc pas de votre tout petit l’empathie ! Son cerveau n’est tout simplement pas assez mature pour ressentir ce genre d’émotion. Par contre, toutes les émotions de bases, elles, sont ressenties dès la première année de vie. Vous pouvez donc être sûr que votre bambin ressentira joie, colère, peur ou encore faim !

Jusque-là, il n’y a pas trop de surprise ! Mais pourquoi ces émotions semblent parfois complètement disproportionnées? Je me souviens d’un jour où j’ai annoncé qu’on allait acheter une pizza pour le dîner et je revois encore mon petit garçon de 3 ans se mettre à crier, à sauter, à chanter et à danser à cette simple nouvelle. J’ai trouvé cela très rigolo !

À l’inverse, quand c’est la colère qui semble disproportionnée, c’est beaucoup moins drôle !

Un enfant est débordé par ses émotions

Tout d’abord, il est essentiel de se souvenir qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise émotion. Toutes sont utiles. Pour Jean Cottraux [7], les émotions sont la réponse comportementale et physiologique, brève et intense, qui reflète et/ou révèle le vécu subjectif de celui qui est affecté par un événement interne ou externe. » C’est donc quelque chose de normal et il faut absolument arrêter de voir la colère ou la peur comme un sentiment négatif. Et non seulement c’est normal de ressentir de la colère mais c’est également essentiel de l’exprimer !

Il faut se souvenir que le vécu de la personne influence ces émotions. Quelque chose qui me met, moi, en colère, ne mettra pas forcément en colère mon voisin ou ma voisine et vice versa.

Chez un enfant, les émotions sont décuplées pour deux raisons principales.

gestion des émotions enfant

apprendre à gérer ses émotions enfants

Une histoire personnelle en pleine construction

La première est justement le fait que c’est notre histoire personnelle qui sculpte les émotions. Chez l’enfant, cette histoire personnelle n’en est qu’à son début ! Pour mon petit garçon, l’annonce d’un dîner fait d’une pizza arrivait dans le top 3 des trucs les plus merveilleux qui pouvait lui arrivait dans sa vie ! En grandissant, il se rendra compte qu’il y a tellement mieux que ça (même s’il faut savoir s’émerveiller des petits bonheurs !) ! Pareil pour la colère. Le fait de se voir interdit de sauter sur le canapé lui est insupportable parce qu’à ce moment-là, dans sa vie il ne voit rien de pire qui pourrait lui arriver !

Mais n’essayez pas de raisonner votre enfant dans un tel moment, ce serait peine perdue ! Vous pourrez lui démontrer par A+B qu’il y a bien pire dans la vie, il ne vous croira pas et verra cet interdit comme une offense du plus haut degré. D’où une terrible colère.

Un enfant ne peut pas gérer ses émotions

La deuxième explication à leurs émotions débordantes, c’est qu’ils n’ont pas encore appris à réguler leurs émotions. Leur cerveau est immature [8] et lorsqu’une colère se profile, c’est tout le cerveau, donc tout le corps qui est envahi par ce sentiment.

À ce moment-là, l’enfant n’est que colère. Il est complètement déconnecté du fait qu’il y a 5 minutes encore il rigolait à gorge déployée. Selon les enfants, cette tempête émotionnelle, comme l’appelle Isabelle Fillozat [4], va se traduire par différentes actions : de grosses larmes, des cris, des coups…

Les lecteurs de cet article ont également lu :  Comment parler aux enfants de sujets difficiles tels que le divorce ou la mort?

C’est bien beau de savoir tout ça mais si mon enfant ne sait pas gérer ses émotions, comment, moi, je fais pour supporter cela ?

Apprendre à un enfant les émotions

Il faut tout simplement apprendre à l’enfant à gérer ses émotions ! C’est aussi simple que ça ! Comme il apprend à compter, à écrire, à lire, à faire du vélo, il va apprendre à gérer ses émotions !

Identifier et légitimer une émotion

Dans un premier temps, il faut identifier l’émotion : « je vois que tu es en colère parce que je t’ai demandé de rester assis sur le canapé », « j’ai bien l’impression que tu es heureux de manger de la pizza ce soir »

Puis il faut légitimer cette émotion. L’enfant ressent des émotions et c’est tout à fait normal ! « Je comprends que tu sois en colère parce que je ne veux pas que tu sautes sur le canapé », « c’est normal d’être heureux quand on va manger une pizza ». Il ne faut surtout pas dénigrer une émotion. Les traditionnels « ce n’est rien », « arrête ton cirque », ou encore « ce n’est qu’une bête pizza » déconnectent les enfants de leurs ressentis les plus profonds.

Apprendre à gérer ses émotions

Une fois que l’on a fait cela, on peut passer à l’étape suivante : la gestion de l’émotion. « Si tu es en colère, tu peux taper sur ton coussin », « on peut peut-être avancer ensemble sur ce chemin qui te fait peur », « est-ce que tu crois que tu pourrais remplacer tes super cris par des pas de danse pour ne pas réveiller tout le quartier ? »

Il y a de plus en plus de livres voire même de jeux pour parler des émotions. Je pense en particulier à l’excellent livre « La couleur des émotions » d’Anna Llenas. Sur le moment, on peut lui montrer l’image qui correspond à son émotion. Mais parfois l’émotion est trop intense pour pouvoir en parler. Dans ce cas, il faut rouvrir le livre quand le calme est revenu. Il est également très important de parler de ses propres émotions. Ce n’est pas un exercice facile, mais il est essentiel que l’enfant comprenne qu’on ressent des émotions à tout âge et que, oui, nous aussi il nous arrive d’être triste, en colère ou heureux. On peut même partager avec lui nos astuces pour gérer nos émotions sans débordement : « et bien moi, quand je suis triste, j’écoute de la musique joyeuse. Et toi ? Tu fais quoi ? »

Mais dans tous les cas, il ne faut pas oublier que le cerveau des enfants est immature. L’ingérence des émotions est tout simplement physique jusqu’à l’âge de 6-7 ans. Bien évidemment ceci n’est qu’une indication de temporalité à moduler selon chaque enfant [8].

Passer du temps de qualité avec son enfant pour être plus zen

Ma troisième et dernière astuce pour être plus zen avec son enfant c’est tout simplement de passer du temps avec lui. On ne le répétera jamais assez, passer du temps et du temps de qualité [9], est la base d’une relation zen entre un enfant et ses parents.

En effet, ce temps passé avec lui ou elle, permet de construire une relation de confiance, d’égal à égal. On sort du schéma traditionnel de celui qui éduque et celui qui est éduqué. Il s’agit ici simplement d’un temps passé entre deux personnes qui s’aiment. Cet amour permet de souder les liens mais également de produire de l’ocytocine, hormone du bonheur.

Si votre enfant est heureux, s’il a sa jauge de sécurité affective remplie à son maximum, s’il se sent aimé et accompagné dans la vie de tous les jours, il est fort probable que les crises se feront plus distantes et moins violentes. Elles ne disparaitront pas, soyons honnêtes ! Mais la vie quotidienne sera quand même globalement plus zen.

Comment passer un bon moment zen et agréable avec son enfant? Il y a tellement de possibilités ! On peut faire un jeu de société, lire un livre, faire une balade à pied ou à vélo…Moi, ce que j’aime particulièrement, c’est faire des expériences scientifiques avec mes enfants. Cela me permet de voir leurs petits yeux s’écarquiller devant quelque chose qu’ils découvrent! C’est ce qui s’est passé la fois où nous avons créé un cristal à partir d’un peu de poudre et d’eau. Les sciences ont quelque chose de magique et les pratiquer avec un enfant permet de le faire entrer dans cet univers incroyable!

Après avoir partagé un tel moment, un tel secret, impossible de ne pas être zen avec son enfant!

partager des temps de qualité en famille

Il est indispensable de passer du temps de qualité avec son enfant

Conclusion

Il suffit parfois de pas grand-chose pour arriver à ramener la sérénité sous un toit. Une consigne bien donnée (adaptée à l’âge de l’enfant, directive, avec un objectif, sans négation et pas trop fréquente), de l’écoute et de la compréhension et enfin du temps passé avec son enfant permettent généralement d’apporter une touche zen au quotidien. Bien évidemment ces recettes ne sont pas magiques et les crises existent toujours. Elles sont simplement plus espacées et entrecoupées d’excellents moments!

Et vous? Quelle est votre meilleure astuce pour être plus zen avec votre enfant?

N’hésitez pas à la partager en commentaire!

À bientôt

Claire de Parent Zen

Sources

  • [1]         S. Salabura, « Comment rédiger les consignes pour que les élèves de 6e soient autonomes lors d’une séance de travaux pratiques ». 2001.
  • [2]         J. Proulx, Enseigner : réalité, réflexions et pratiques /. Cégep de Trois-Rivières, 2009. Disponible sur: https://eduq.info/xmlui/handle/11515/34108 
  • [3]         « Comprendre les consignes: 3 à 5 ans », Naître et grandir. https://naitreetgrandir.com/fr/etape/3-5-ans/langage/fiche.aspx?doc=comprendre-consignes-3-5-ans
  • [4]         I. Fillozat, J’ai tout essayé, Jean-Claude Lattès.
  • [5]         J. Haidt, « The moral emotions », p. 852‑870, 2003.
  • [6]         M. Lewis, « Self-conscious emotions: Embarrassment, pride, shame, and guilt », in Handbook of emotions, 3rd ed, New York, NY, US: The Guilford Press, 2008, p. 742‑756.
  • [7]         J. Cottraux, Therapie Cognitive Et Emotions. Elsevier Health Sciences, 2014.
  • [8]         A. Crétin, Vivre mieux avec les émotions de son enfant. Odile Jacob, 2013.
  • [9]         M. A. Milkie, S. M. Kendig, K. M. Nomaguchi, et K. E. Denny, « Time With Children, Children’s Well-Being, and Work-Family Balance Among Employed Parents », J. Marriage Fam., vol. 72, no 5, p. 1329‑1343, 2010, doi: 10.1111/j.1741-3737.2010.00768.x.
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